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Caroline Kurhan
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Un petit ouvrage d'une
historienne très renseignée sur l'énigme du dernier roi d'Egypte. Farouk aurait pu être un grand roi, réformant le pays et tenant le colonisateur anglais à distance, jusqu'à ce tragique accident qui lui casse toute volonté. Il devient une caricature.
Le romancier Gilbert Sinoué appuie la thèse d'un accident suspect.
Un petit ouvrage de l
'historienne Caroline Gaultier-Kurhan, une des meilleures spécialistes de la famille royale d'Egypte.
L'enigme du destin foudroyé du dernier roi d'Egypte, Farouk, dont la vie est une sorte de mystère comme un Toutankhamon moderne.
Une préface d'un auteur préstigieux de roman historique d'origine égyptienne, Gilbert Sinoué, qui vient apporter sa pierre à la thèse de l'autrice. Et si l'accident de voiture qui a secoué Farouk n'avait pas été que de pure malchance...
Le
13e titre de la collection de poche "Pépites" bien référencée chez les libraires -
Méhémet Ali d'Egypte : le Napoléon de l'Orient
Caroline Kurhan
- Hemispheres
- 17 Août 2021
- 9782377010981
À la suite de la campagne de Bonaparte en Égypte, un membre du contingent de volontaires ottomans venus de Kavala réoccuper le pays prend le pouvoir en 1805 et obtient le pachalik d'Égypte : Méhémet Ali. Il fonde une dynastie héréditaire qui règnera jusqu'en 1952, affirmant des liens d'amitié indéfectible avec la France et se voulant le continuateur en Égypte de l'oeuvre de Bonaparte. En évoquant les temps forts du règne du Méhémet Ali chef de guerre et réformateur, mais aussi en apportant des éclairages plus intimes sur sa vie familiale et sa vie quotidienne, c'est ce lien privilégié noué avec la France que revisite ce livre, au travers des relations qu'il entretint, durant son long règne (1805-1848), avec Napoléon Ier et avec les rois Louis XVIII, Charles X et Louis-Philippe. On y trouvera aussi les portraits de Français célèbres venus oeuvrer à la modernisation du pays et la narration de l'accueil fait à ceux qui, comme Champollion, s'y rendirent en chercheurs et en scientifiques.
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à la table des pachas, khédives et rois d'Egypte
Xavier Dufestel
- Riveneuve
- 24 Novembre 2016
- 9782360134120
« Je suis Turc, je mourrai Turc » aimait à rappeler Méhémet Ali, le fondateur de la dynastie royale d'Egypte au XIXe siècle, gardant en grande partie des habitudes alimentaires turques. Mais par goût et pour donner plus de décorum à sa cour, surtout pour les invités européens, il adopte également la cuisine et les arts français de la table. Les deux traditions sont conservées et cohabitent : les menus comptent des plats turcs (qu'on mange avec les doigts) et français (à la fourchette et au couteau) avec quelques plats traditionnels égyptiens. En 1845, le pacha fait même venir de France « un chef de la confiserie ». En 1862, Saïd pacha effectue un voyage en France et offre un dîner à l'empereur Napoléon III et à l'impératrice Eugénie ou l'or et les pierreries ruissellent sur la table et les serviettes.
Il passe de nombreuses commandes à la manufacture de Sèvres. L'inauguration du Canal de Suez avec l'impératrice Eugénie est l'occasion de banquets formidables. La « grande table », l'art de la table, la grande cuisine et la cuisine du monde avant l'heure, les traditions orientales des iftars, l'argenterie, la vaiselle où se croisent toutes les influences, autant de délices au menu de cet ouvrage.
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L'historienne Caroline Kurhan, qui connait bien l'Egypte où elle a vécu, revient sur une enigme ; comment Farouk qui avait tout pour devenir un grand roi en Egypte a pu se transformer en cet homme obèse et dépassé par l'histoire ?
En 1936, il monte sur le trône, adulé et porté par une nation toute entière. Jusqu'en 1943, il entreprend de grandes réformes comme la redistribution des terres, une politique de santé publique, une politique résolument pro-arabe. Il résiste aux Anglais, au parti Wafd, aux querelles de famille...
Tout s'arrête brutalement en 1943 après un violent accident de voiture ou il perdra la volonté de gouverner.
Le livre fournit des informations nouvelles et intimes issues d'archives inédites de différents membres de la famille royale.
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Princes et princesses s'illustrent dans de multiples domaines, acteurs de la vie politique, scientifique et artistique en Orient comme en Occident. Toujours en avance sur leur temps, à la pointe du modernisme, ils sont les témoins obligés de leur siècle.
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Palais éphémères, abandonnés aussitôt que construits, palais dynastiques qui ont pour beaucoup disparu. Les faire revivre c'est aussi une autre manière de raconter l'histoire de la dynastie de Méhémet Ali (1805-1952) Tous les souverains de la dynastie de Méhémet Ali (1805-1952) ont construit des palais fabuleux sur le territoire d'Egypte. Certains comme Saïd pacha ou Ismaïl pacha se sont signalés par une véritable "orgie de la truelle" selon l'expression de l'époque. Palais éphémères, abandonnés aussitôt que construits, palais dynastiques qui ont pour beaucoup disparu. Les faire revivre c'est aussi une autre manière de raconter l'histoire de cette dynastie. Ils bruissent de nombreuses anecdotes qui illustrent l'art de gouverner mais également la vie de cour, les traditions et les originalités de cette dynastie entre Orient en Occident. Les choix architecturaux, l'ameublement mais aussi les équipages et les trains royaux trahissent la volonté des souverains de faire de la monarchie égyptienne l'égale des monarchies européennes.
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Touristes et tourisme dans la vallée du Nil (1862-1952)
Caroline Kurhan
- Riveneuve
- 27 Avril 2017
- 9782360134366
Même si la situation n'invite guère à partir en voyage en Egypte aujourd'hui, la destination - parmi les préférées des Français (Egyptomania) - redeviendra incontournable dans les prochaines années. En attendant, "Touristes et tourisme dans la vallée du Nil (1869-1952" invite à se replonger dans la nostalgie des grands tours d'Orient et des voyageurs de la belle époque. Ouvrage très illustré (N&B).
- Un nouvel ouvrage signé par l'historienne Caroline Kurhan, une des meilleures spécialistes de l'Egypte de Mehemet-Ali et de sa dynastie, - Une riche inconographie du 19e et 20e siècles (N&B) - Un aspect oublié de l'Egypte, destination très populaire jusqu'au déraillage du Printemps arabe, mais qui était exclusivement haut de gamme du temps des rois avant le coup d'Etat de Nasser. -
Ismaïl pacha ; un khédive en exil, 1879-1895
Caroline Kurhan
- Hemispheres
- 5 Juillet 2018
- 9782377010226
Ismaïl pacha monte sur le trône d'Egypte en 1863. Il est le petit-fils de Méhémet Ali, fondateur de la dynastie. Poussé à l'abdication en 1879 par les Grandes Puissances en raison des dettes qu'il a contractées pour moderniser son pays, il part en exil à Naples. Un règne flamboyant et baroque s'achève. Le khédive passe à la trappe de l'histoire. Les déboires de l'ancien souverain avec son harem et ses créanciers pendant son exil alimentent les colonnes des gazettes. Une série d'incidents tragi-comiques dont la presse se régale émaillent cette période, occultant le fait que de son départ d'Égypte à sa mort en 1895, il développe une activité considérable et demeure en Europe un personnage de premier plan.
La postérité veut en faire un moderne Sardanapale, un gaspilleur sans cervelle et sans probité qui aurait ruiné son pays en vaines dépenses. Il est vrai que la dette sous Ismaïl pacha a atteint les 2000 millions de francs. Mais il donne à l'Égypte une administration moderne, des institutions parlementaires, fonde des milliers d'écoles, fait construire des ponts, des canaux, des chemins de fer, des télégraphes, des ports, des phares, introduit des cultures nouvelles, redessine les villes du Caire et d'Alexandrie pour en faire des villes modernes.
En conclusion, il lui arriva de se tromper, de dépenser des sommes abyssales, mais son seul but était d'élever l'Égypte au rang d'une grande puissance, l'égale des grandes puissances européennes. Cela suffit-il pour le disqualifier sans aucune autre forme de procès ?
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La princesse Fawzia d'Egypte ; l'impératrice oubliée, 1921-2013
Caroline Kurhan
- Hemispheres
- 15 Octobre 2019
- 9782377010516
Fille de roi, soeur de roi devenue impératrice d'Iran, à la légendaire beauté - « C'était un Boticelli réincarné avec une touche de Vénus asiatique », dira d'elle le photographe Cecil Beaton -, la princesse Fawzia d'Égypte est pratiquement oubliée. Seul son mariage en 1939 avec le prince héritier d'Iran, l'événement mondain le plus important de l'avant-Seconde Guerre mondiale, lui assure une postérité. Après son divorce en 1948, elle quitte progressivement les unes des journaux pour passer, la chute de la monarchie égyptienne en 1952 aidant, de la lumière au clair-obscur. Sa beauté hollywoodienne fera dire à la princesse Soraya, devenue à son tour impératrice d'Iran : « Dommage qu'elle n'ait pas épousée Clark Gable d'Autant en emporte le vent ! »
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Une saga égyptienne est la chronique familiale d'un membre de la famille royale d'Egypte. A travers le récit de Cherife Kurhan hanem effendi se déroulent grande et petite histoire qui s'entrecroisent pour nous livrer un tableau très loin des clichés historiques convenus. Elle raconte simplement l'histoire de sa famille au milieu des grands événements qui ont animé l'histoire de l'Orient mais ne s'arrête pas à la chute de la monarchie en 1952 provoquée par le coup d'Etat des Officiers libres. A partir de cette date, la famille royale privée de tous ses biens subit avec courage la dure loi, dite de la Confiscation, appliquée sans aucune humanité jusqu'à nos jours. Cet ouvrage historique dispose d'une iconographie exceptionnelle pour la plupart inédite.