En 1993, deux Bretons, audacieux, ont pris le relais des « Bonneteries d'Armor », fondées par un Suisse, Walter Hubacher, et tenté l'aventure « Au pays de la qualité », pour reprendre l'expression écrite en gros caractères sur le fronton de l'usine de Kerdroniou en Kemper. Pour Armor-Lux, Jean-Guy Le Floch et Michel Guéguen ont abandonné confort et sécurité chez le premier industriel et financier français Vincent Bolloré, pour relever le défi de sauver les emplois en étoffant la mode-celtitude. Ce livre raconte « la grande histoire de la petite rayure ». La leur en quelque sorte. Et celle d'une entreprise qui met de l'éthique sur une marinière.
L'aventure des Thermes marins de Saint-Malo est une belle histoire qui nous ramène à la Belle Epoque à Saint-Malo tout en nous plongeant dans l'univers contemporain de la thalassothérapie. Il lui a fallu monter à l'abordage. Economiquement parlant. Quand en 1981, la famille Raulic rachète la Thalassothérapie de Saint-Malo, Serge n'est pas fier. Il a 34 ans. Tout est à restaurer. De la toiture aux soubassements. Mais qu'il en impose le majestueux bâtiment, les pieds dans l'eau, sorti de terre en 1881 ! Il veut le soigner. Lui redonner vie. Et il est aujourd'hui la référence qui porte haut le pavillon breton. Serge Raulic est à la tête d'un groupe qui compte plusieurs hôtels, golfs, résidences, centres de cure... Il est aussi l'inventeur de l'Aquatonic, concept qui sera exporté dans le monde. Sans complexes, face aux empires internationaux, la famille Raulic fait l'Ouest en conjuguant tourisme et santé.
Une histoire incroyable. Claude Ollivier, journaliste, raconte comment l?homme au ciré jaune parti de rien et ses héritiers n?ont cessé et continuent d?élargir les murs de l?abri du marin?.
Il aurait pu hériter de la petite ferme de Kermatret en Sud Finistère et devenir paysan. Il s?en est fallu de peu pour qu?il revête le maillot de coureur cycliste professionnel. Il avait même envisagé de créer un élevage de poulets en Algérie. Et c?est le ciré jaune qui l?a rendu célèbre !
Son nom est passé dans le langage courant. Qui un jour ou l?autre, au champ comme sur les flots, en ville comme sur les pentes des Alpes, n?a pas porté un Cotten ? Le petit bonhomme jaune a habillé la mer, du Japon au Groenland en passant par l?Amérique du Sud. Les pêcheurs comme les pilotes des formules 1 des courses transocéaniques lui ont fait confiance.
Guy Cotten s?est battu pour hisser haut le pavillon breton. Aujourd?hui, sa fille Nadine Bertholom, entourée de sa famille, sait aussi saisir les vents porteurs. Pour relever les défis, une usine d?avant-garde, éco-conçue, est sortie de terre à Trégunc. Belle promesse d?avenir.
Approchez-vous, prêtez une oreille docile et vous saurez tout ce que Dieu octroie à ceux qui l'aiment véritablement. Ils deviennent un jardin de délices ; un arbre chargé de fruits, à la sève vigoureuse, grandit en eux et ils sont ornés des plus riches fruits. Car c'est là le terrain où ont été plantés l'arbre de la science et l'arbre de la vie, mais ce n'est pas l'arbre de la science qui tue, c'est la désobéissance qui tue. Car ce n'est pas sans raison qu'il a été écrit que Dieu au commencement planta au Jardin l'arbre de science et l'arbre de la vie. Les premiers hommes, qui ne surent pas bien en user, furent mis à nu par l'imposture du Serpent : car il n'y a pas de vie sans la science et de science sûre sans la véritable vie : c'est pourquoi les deux arbres ont été plantés l'un après l'autre. Ce sens, l'Apôtre l'avait bien vu quand, blâmant la science qui s'exerce sans obéir aux préceptes de vie que donne la Vérité, il dit : La science enfle, mais l'amour édifie (1 Co 8, 1). Car celui qui croit savoir quelque chose sans la véritable science, celle à qui la vie rend témoignage, celui-là ne sait rien : le Serpent le trompe parce qu'il n'a pas aimé la vie. Mais celui chez qui la science est accompagnée de crainte et qui recherche ardemment la vie, celui-là plante dans l'espérance et peut se promettre les fruits. Que la science s'identifie à ton coeur : que le Verbe de vérité, reçu en toi, devienne vie. Lettre à Diognéte (190-200 ?) XII, 1 à 7.
Si dans les années folles Marie-Jeanne monte à Paris, ce n'est pas pour faire la "bonniche". La petite paysanne bretonne a de l'ambition. Elle veut s'imposer dans la mode, le cinéma, l'aviation, la course automobile...
Devenir l'égal de l'homme dans la jet-set de l'époque est son obsession. Cette vie incroyable s'inspire de celle de Viviane Elder.
14 ans, Yves Rocher abandonne ses études pour reprendre le magasin de son père.
C'est la fin de la guerre. La Gacilly - 1000 habitants - s'éteint. Peu de temps avant de rendre l'âme, Joseph, le père, lui dit : " Le pays est en train de mourir. Il faut le sauver. " Yves Rocher défie alors l'impossible. En cinquante ans, le petit village breton de La Gacilly devient la capitale du bien-être et de la beauté. Quarante millions de femmes à travers le monde ont un jour porté un parfum ou appliqué une crème Yves Rocher.
Incroyable ! C'est cette épopée d'un homme discret, parti de rien, qui est révélée dans ces pages.
Une biographie et une présentation des textes les plus importants de Jérôme, Père de l'Eglise latine.
Il aurait pu devenir coureur cycliste professionnel. Ou rester à la ferme. L'enfant de Kermatret, petit hameau de Saint-Yvi en Sud-Finistère, a préféré relever le défi commercial et industriel. Guy Cotten a habillé la mer. Il s'est fait un nom qui a traversé les continents. Sa marque est passée dans le langage courant. Parti de rien, l'homme au ciré jaune s'est battu contre vents et nuages comme tous ces pionniers des années 60 qui ont redonné à la Bretagne ses lettres de fierté. C'est cette aventure exceptionnelle qui est retracée dans ces pages, chez lui à la ferme, sur les quais de Concarneau et à travers le monde...
L'entrepôt de l'épicerie en gros de La Roche-sur-Yon est la cour de récréation de Jean-Paul Dubreuil. Endroit merveilleux pour jouer au marchand, entre les boîtes de sardines et les sacs de farines. Jean-Paul aime cet univers, admire ses parents qui y consacrent leur vie puis découvre petit à petit ce monde de labeur. A 13 ans, il donne des coups de mains ce qui ne l'empêche pas d'être bon élève, de passer son bac à 16 ans et demi et de décrocher son brevet de pilote à 17 ans ! Jean-Paul Dubreuil n'a pas attendu la majorité pour tracer sa destinée. A 20 ans, il dirige déjà des activités. P-DG à 24 ans, il grille ensuite toutes les étapes pour se retrouver 50 ans plus tard à la tête de son groupe éponyme, le premier vendéen en termes de chiffre d'affaires. 3140 salariés, 1,4 milliard de chiffre d'affaires dans 8 métiers différents. C'est cela aujourd'hui le Groupe Dubreuil. Connaît-on bien aussi son aventure aérienne ? Jean-Paul Dubreuil a été fondateur d'Air Vendée, puis de Régional Airlines, cotée en bourse et qui s'est imposée en Europe. Aujourd'hui, il fait voler Air Caraïbes, une flotte de 5 Airbus A 330-300 et des Embraer 190. Ce Vendéen dans l'âme, maire de la petite commune de Sainte-Foy, a créé discrètement un petit empire.