Pierre a tout juste neuf ans quand il entre à l'hôpital, atteint d'un cancer. À travers son journal, il décrit les premiers symptômes et l'annonce de la maladie, l'univers hospitalier et surtout parle de la douce Laura, sa voisine de lit dans la chambre 203. Plus qu'une amitié, ils découvrent sans le savoir les premiers sentiments amoureux et aiment à s'imaginer la vie après.
Etienne, 14 ans, a un frère trisomique, Nicolas, 9 ans. Son arrivée a été difficile à vivre pour ses parents, mais ils ont su accepter la situation; en outre, Etienne a beaucoup d'affection pour son petit frère. Alors qu'il discute avec des amis, Franck se moque de Nicolas devant Elodie, dont Etienne est secrètement amoureux. Etienne ne le supporte pas, un conflit s'engage entre les deux adolescents...
Pierre a tout juste neuf ans quand il entre à l'hôpital, atteint d'un cancer. À travers son journal, il décrit les premiers symptômes et l'annonce de la maladie, l'univers hospitalier et surtout parle de la douce Laura, sa voisine de lit dans la chambre 203. Plus qu'une amitié, ils découvrent sans le savoir les premiers sentiments amoureux et aiment à s'imaginer la vie après.
Dans les années 70 une jeune femme part en Angleterre. Que cherche-t-elle au bord de la Severn, dans cette petite ville du comté de Westershire ? Une nouvelle page à tourner ? Une identité née d'une autre langue ? Eros prend les traits d'un déserteur rencontré par hasard. Entre la France et l'Angleterre se joue une partie aux dés pipés. René Goldsmith, Joël Boon, et d'autres personnages forment une ronde ironique autour de leur indécise volupté.Roman choral, chronique du désenchantement, Comme un accent d'Oxford tisse entre deux langues, entre deux pays les fils de soie de la mélancolie.
Ce recueil permettra de mieux accompagner les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer au quotidien. Grâce à de nombreuses années d'expérience, l'auteur prodigue des conseils qui aideront les « aidants », leurs proches et les professionnels qui interviennent à domicile, à stimuler les malades de type Alzheimer, mais aussi à se sentir encouragés et soutenus. Ils seront mieux préparés, auront moins d'appréhension, de doute, d'agacement, et sauront adapter leur attitude, quotidiennement, face aux contrariétés du malade engendrées par la maladie. Cela permettra de maintenir le malade le plus longtemps possible chez lui, dans de bonnes conditions et en harmonie avec son environnement familial.
« Un univers apparaît. Des visages, des portraits, une atmosphère et des parfums, et bien plus que cela encore. L'essence d'une culture. (.) Un livre rare, un livre pour apprendre à vivre. » Stéphane Guilbourgé, Ulysse « Pas seulement émouvant, c'est aussi un document passionnant. (.) Bouleversée par la générosité et la noblesse des Berbères, « ces gens qui n'ont rien et qui donnent tout », Isabelle Demeyère a trouvé la meilleure manière de leur exprimer sa reconnaissance¤: elle est devenue l'une des leurs. » Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur
Le peintre belge Benjamin Demeyere relate en images le 2 septembre 2006, jour où il apprend par téléphone que son atelier est en feu alors qu'il assure la permanence de son exposition à la galerie anversoise «De zwarte Panter». L'histoire commence le matin du sinistre et se termine quelques semaines plus tard quand Ria de la maison d'éditions Bries lui propose de réaliser sa première bande dessinée en 24 heures. Cette chronique autobiographique sans paroles de 24 pages est agrémentée de quelques bonus ludiques.
Répertoire orthographique de plus de 30 000 entrées, Le Grand Eurêka ! est un outil de référence pour apprendre à écrire sans faute,dès 9 ans, grâce à un code de recherche pratique et ingénieux.
Une année d'immersion dans une famille berbère du Haut-Atlas : "Le journal d'Isabelle Idali-Demeyère n'est pas seulement émouvant, c'est aussi un document passionnant." Jérôme Garcin, La Provence.
Elle a partagé le vie de la vallée des Aït Ousertak, coupé l'herbe pour les animaux, porté les lourds fardeaux, dansé les Ahouach au soir des moissons, soigné, ri et pleuré les morts.
"Un univers apparaît. Des visages, des portraits, une atmosphère et des parfums, et bien plus que cela encore. L'essence d'une culture." Stéphane Guibourgé, Ulysse.
Les artistes de Patrick Modiano lui appartiennent comme l'auteur lui-même appartient au monde déréalisé du spectacle. Ils hésitent et s'éclipsent, jouent avec les masques, les noms et les formes. L'artiste est-il ce dandy, ce saltimbanque, cet homme déchu que guette le Néant ? Et l'artiste modanien n'est-il pas à double titre ce fantôme, cet être en quête de son identité ? Annie Demeyère nous convainc de cette unité du monde modanien en rassemblant les éléments d'une enquête sociologique, biographique et esthétique du Portrait de l'artiste.