À la fameuse question « Pensez-vous qu'on peut rire de tout ? », François Morel répond à sa façon : « Oui, mais on n'est pas obligé. » Quand un auditeur l'aborde gentiment pour lui dire : « Je ne rate jamais une de vos chroniques », il répond : « Moi, hélas, ça m'arrive... » Ainsi parle l'auteur des centaines de textes savoureux rassemblés dans ce volume, qui, depuis septembre 2009, continue à réjouir chaque semaine des millions d'auditeurs de France Inter. En partant du principe que l'humour est un ingrédient et non une discipline, il nous amène à réfléchir en nous amusant, réussit à nous émouvoir en nous bousculant, qu'il s'agisse de nous donner des nouvelles du Bon Dieu ou du cardiologue d'Alain Finkielkraut. Il n'hésite pas non plus à flirter avec l'impertinence et la causticité lorsqu'il écrit une lettre à son papa avant un grand rendez-vous électoral ou qu'il fait la liste d'un certain nombre de personnalités qui ont fait la France sans porter un prénom d'origine française. Courageux, François Morel ? Non, réplique-t-il, pas spécialement. Mais « libre » oui.
Qu'il se fasse poète en rendant un hommage félon à Jean Dutourd en alexandrins ou qu'il s'interroge sur la capacité de Francis Lalanne à déchaîner les passions, Morel croque l'époque dans ce qu'elle a de pire et parfois de meilleur, en quelques phrases ciselées avec un sens inimitable de la satire tranquille. Et c'est encela que François Morel nous est indispensable !
Parce que ça ne va pas fort, si ? Moyen-moyen depuis trois ans... Chaque vendredi matin, sur France Inter, François Morel prend le pouls de l'actualité. Faiblard, le pouls. Mais encourageant, le pronostic. Ça va aller, qu'il dit. Promesse de Normand...
Qu'il traite du (triste) spectacle du monde ou dresse un éloge des Charentaises, c'est avec la fantaisie d'un Vialatte qu'il chronique nos années - les pires qu'aient connues l'humanité, à part bien sûr toutes celles d'avant.
Tous les succès de FRANCOIS MOREL sont chez Pocket.
Philippe Bonneval, adolescent aux préoccupations de son âge, fils unique des propriétaires du plus beau magasin de confection de Rochebrune, se transforme en une fière vache laitière de 800 kilos prénommée Blanchette. Contraint de quitter le giron familial pour de vastes prairies, Blanchette va mener une vie paisible, faite de rencontres, de ruminations et de réflexions sur sa nouvelle condition.
Loufoque, drôle et tendre, le récit de François Morel, illustré de gravures de Christine Patry, nous offre le témoignage unique d'une vache qui va chercher à s'affirmer à tout prix. Humour et dépaysement garantis à 100%.
Les hommes ont douze ans. À personne ils ne laisseront dire que c'est le plus bel âge de la vie.
Isabelle Samain.
Isabelle Samain.
Isabelle Samain...
C'est une litanie sensuelle, les vers du seul poème d'amour qui les englobe tous, et qu'à douze ans on déclame à l'infini. François Morel narre avec une tendre ironie les premiers émois amoureux de l'adolescent qu'il a été, et rappelle que cette expérience, ô combien troublante, a une portée universelle !
Béni soit le vendredi ! Chaque semaine, c'est la même chose : le peuple de France égrène les minutes, compte les heures - moment sublime, les ondes frissonnent - Monsieur Morel va causer dans le poste. Retour sur deux ans de chroniques du bocage, l'homme étant à l'humour Normand ce que Vialatte fut à la tomme d'Auvergne. Inventaire d'actualités intemporelles, éloge du sabotage, ivresse du pont-l'évêque, bilan cardiaque d'Alain Finkielkraut... Le temps passe, les pommes donnent, et c'est ainsi que Morel est grand !
Préface de Guillaume Meurice.
Retour à l'essentiel avec l'humour et l'esprit de François Morel. Du Frexit à la cour de récré, du valsovirus au pâté en croûte, ce grand agitateur livre une centaine de chroniques fines, drôles et piquantes. Entre billets d'humeur et journal de confinement, chaque texte est une bouffée d'oxygène hebdomadaire pour "tenir rester chez soi" , s'émouvoir, s'indigner ou rendre hommage aux chers disparus, Piccoli, Gréco et les autres.
François Morel, saltimbanque infatigable et enfant nostalgique, offre le meilleur remède à la morosité : le rire, parfois jaune et souvent aux larmes. Une échappée de l'esprit et du coeur.
François Morel s'attaque à la philosophie. Il affronte à mains nues les citations célèbres de Socrate, Camus, Judith Butler, Nietzsche ou Simone Weil. Il les tord, les décortique, les détourne et les renverse, jusqu'à les rendre méconnaissables. Heureusement, Victorine de Oliveira passe derrière lui et remet les morceaux, et aussi les idées, en place.
Voici donc à la fois un traité de déconstruction et de reconstruction philosophique.
« Le vendredi, c'est le jour où je branche mon réveil pour ne pas louper les chroniques de François Morel sur France Inter... Pendant quelques minutes, François nous réconcilie avec la réalité qui nous entoure, il met du baume sur notre mal au monde ».
C'est Yolande Moreau, l'amie de toujours, qui parle ainsi, et ils sont nombreux ceux qui, comme elle, attendent leur indispensable bouffée d'air frais, leur dialyse, leur dose d'antidote à la morosité ambiante.
Ce recueil regroupe les chroniques diffusées entre septembre 2013 et juin 2015, avec quelques bonus. On y retrouve la lettre à Patrick Pelloux, l'évocation du pont des Arts, l'ode à Luchini, la fête du slip, quelques nouvelles du Bon Dieu et le fameux merci au pigeon qui, lors de la grande manifestation du 11 janvier 2015, avait heureusement réenclenché la machine à rire.
« Auditeur assidu, attentif écouteur, ponctuel allocutaire, je t'imagine. Dans ta voiture ou ta salle de bains, dans ton lit ou ta cuisine, je te suppose. Tu prêtes l'oreille et tu t'interroges : "De quoi va-t-il nous parler cette semaine ?".
Oui, car c'est la question que se pose chaque vendredi matin la France branchée sur France Inter. "Comment va-t-il nous faire réfléchir en nous amusant ? Comment va-t-il nous émouvoir en nous bousculant ?".
Voici résumées les interrogations de la France la plus sagace, la plus éveillée, la plus dégourdie ».
Caustique, cinglant, émouvant, François Morel nous offre ici une compilation de chroniques, véritable antidote à la morosité ambiante.
Le Père Noël était embêté, très embêté !
Comme tous les matins, il regardait par la fenêtre...
Le soleil brillait, les vallons étaient verts...
Mais pas un flocon de neige à l'horizon !
Alors, il sortit de son chalet et réunit ses rennes :
" Comète ! Cupidon ! Dnaseur ! Eclair ! Fringant !
Furie ! Tonnerre ! Tornade ! Approchez !
Je dois vous parler ! L'heure est grave... " Une coédition France Inter et Michel Lafon.
S'imaginer encore un peu Presque éternel Presque immortel Juste avant de se dire adieu Ça va tomber par où ça penche La fin du monde est pour dimanche Si la fin du monde est pour dimanche, à quel jour finit l'enfance, à quel jour commence l'âge adulte ? Et à propos, j'en suis où, moi ? Jeudi ? Vendredi ?
Création en avril 2013 à la Coursive, Scène Nationale de la Rochelle, dans la mise en scène de Benjamin Guillard avec François Morel.
Tournée dans toute la France d'octobre 2013 à juin 2014.
Vin au naturel, vin naturel, vin nature : l'idée est d'abord de marquer la rupture avec la viticulture intensive, aussi peu respectueuse du sol, de la plante et du terroir que du consommateur. Cette idée prospère sur le terreau d'une viticulture globalement soumise aux exigences productivistes de l'industrie agroalimentaire, et jugée comme telle inacceptable par une part non négligeable des vignerons de France et d'ailleurs. Le vin « naturel » rejoint la notion de culture « biologique », mais avec un projet étendu à l'ensemble du processus de production du vin, de la vigne à la mise en bouteille, associant ainsi dans une même démarche le travail du viticulteur et celui du vinificateur, réunis en une seule personne, le vigneron. Le vin « naturel » résulte du choix d'une agriculture qui s'adapte aux écosystèmes, à l'opposé d'une industrie agroalimentaire qui veut adapter les écosystèmes.
Loin de la conception industrielle qui use et abuse des engrais, des pesticides, des levures et bactéries « sélectionnées », du sucre de chaptalisation, du soufre, des acidifiants, etc., il s'agit donc de la prise en compte de cette matière vivante qu'est le vin.
Dans le monde merveilleux de François Morel, Raymond Devos est Dieu et Geneviève de Fontenay, un phénix renaissant de ses cendres à chaque nouvelle Miss France. Il accuse Gad Elmaleh d'affoler le correcteur automatique de l'ordinateur, Philippe Geluck d'être incapable de nous faire pleurer, et sur Souchon sèche. Des portraits désopilants, inattendus et décalés. avec les compliments de François !
L'ampélographie est la discipline étudiant la vigne et plus particulièrement ses espèces et variétés, les cépages. Cet ouvrage situe les travaux de Pierre Galet au coeur des enjeux de la viticulture moderne et sa place définitivement capitale dans les recherches sur la vigne et les cépages. L'oeuvre de Pierre Galet est avant tout un travail scientifique solitaire et de terrain, ce qui le distinguait des chercheurs universitaires. C'est selon ce double axe de sa carrière que ce livre déroule les différents aspects décisifs de ses contributions et insiste sur l'aspect ' homme de terrain ' et non de laboratoire de cet ampélographe hors du commun. Les deux CD audio inclus regroupent des enregistrements dans lesquels il nous raconte lui-même sa vie et constituent une autobiographie complétant la biographie de François Morel. Sur un total de plus de 20 heures d'interviews récoltées entre 2008 et 2013, près de 150 minutes ont été sélectionnées et agencées afin d'obtenir une riche substance accessible et souvent teintée d'humour. Ces CD, dont les musiques sont originales, comprennent le récit de quelques-uns de ses voyages ampélographiques, témoignages d'une époque, le XXème siècle ; un aperçu de ses connaissances théoriques et de son travail ; enfin des anecdotes plus personnelles. Étudiant à l'École d'Agriculture de Montpellier de 1937 à 1939, Pierre Galet ne reçoit qu'une faible formation en ampélographie mais se voit attribuer la prise en charge du Contrôle des Bois et Plants de Vigne, section du Service de la Protection des Végétaux qui vient d'être créée. Sa mission, c'est mettre au clair les collections des pépiniéristes, hors contrôle jusqu'à ce jour. Après un auto-apprentissage intensif, Pierre Galet met au point une clé dichotomique pour les porte-greffes. Lorsque il est nommé en 1946 Chef de Travaux de viticulture de l'École de Montpellier pour enseigner aux étudiants ' l'art et la manière de reconnaître les cépages ', il étend la clé dichotomique aux hybrides et aux cépages de cuve, et il perfectionne une classification des cépages qui a donné lieu à la première édition du 'Précis d'Ampélographie pratique' en 1952.
Là où beaucoup d'approximations entourent l'idée du vin au "naturel", voici un livre essentiel qui apporte un éclairage précis, synthétique et documenté. Vin au naturel, vin naturel, vin nature : l'idée est d'abord de marquer la rupture avec la viticulture intensive, aussi peu respectueuse du sol, de la plante et du terroir que du consommateur. Cette idée prospère sur le terreau d'une viticulture globalement soumise aux exigences productivistes de l'industrie agroalimentaire, jugée inacceptable par une part non négligeable des vignerons de France et d'ailleurs. Le vin "naturel" rejoint la notion de culture "biologique", mais avec un projet étendu à l'ensemble du processus de production, de la vigne à la mise en bouteille, associant ainsi dans une même démarche le travail du viticulteur et celui du vinificateur, réunis en une seule personne, le vigneron. Le vin "naturel" résulte du choix d'une agriculture qui s'adapte aux écosystèmes, à l'opposé d'une industrie agroalimentaire qui veut adapter les écosystèmes. Loin de la conception industrielle, il s'agit donc de la prise en compte de cette matière vivante qu'est le vin.
Légèreté : se dit d'une chose peu importante, peu sérieuse.
Depuis plus de trois ans, François Morel présente ses billets dans la matinale de France Inter. En toute liberté, il y traite de ce qui lui passe par la tête : l'importance du courage en politique, la bêtise des consignes affichées dans le métro, le pouvoir, sa maman, l'évolution du monde, la galette des rois. Des petites choses et grandes choses qui, traitées avec humour et ironie font, l'air de rien, l'air du temps.
"Pensez-vous qu'on peut rire de tout ? " Ah ! Très bonne question.
Merci de me l'avoir posée. On est toujours surpris par l'originalité des interrogations de tous ceux qui inlassablement nous invitent à toujours plus de non-conformisme, de personnalité, d'indépendance d'esprit. Donc, on peut rire de tout mais on n'est pas obligé. L'idée d'être le premier à trouver le bon mot sur le dernier désastre écologiste, l'ultime raid aérien sur Tripoli, la toute nouvelle catastrophe aérienne n'est pas dans mes préoccupations.
"Vous vous définissez comme un humoriste ? Comme un chansonnier ?" [ ] "Humoriste" ? C'est sans doute mieux que "comique", qui est un adjectif...Avoir un peu d'humour dans la vie, c'est utile. Il n'est pas non plus superflu d'avoir de la compassion, de la générosité, de l'affection, de la colère, de la tendresse, de l'indignation, mais à personne ne viendrait l'idée de se définir comme un compassionniste, un générosiste, un affectionniste, un colériste, un tendressiste, un indignationniste.
Humoriste, ce n'est pas un métier.
François Morel est acteur, auteur, metteur en scène, conteur, chroniqueur... et chanteur.
Ce livre CD contient toutes les chansons de son album La Vie, ainsi que les paroles.
Elles sont précédées du texte inédit « Le Grand Livre du Spectacle ». François Morel y entrouvre la porte des coulisses et livre un making-of poétique du spectacle.
Un texte drôle et touchant qui éclaire d'un jour nouveau les paroles de ses chansons.
L'auteur dans ce deuxième Tome porte un regard humoristique sur la Maçonnerie et ses travers, que nous avons tous vécu un jour.100 pages d'humour fraternel à lire et à offrir sans modération !
Chaque semaine, F. Morel présente un billet d'humeur dans la matinale de France Inter. Cet ouvrage rassemble ses chroniques diffusées entre septembre 2011 et juin 2013. S'inspirant de l'air du temps, il livre sa vision du monde avec humour.
Il y a quelque chose de magique dans la métamorphose du raisin en une boisson subtile et complexe. Pour autant, l'univers de la vigne et du vin reste bien celui des travailleurs de la terre et des artisans. De la conduite de la vigne aux vendanges, de la vinification à l'élevage, de la mise en bouteille au service du vin, entre en jeu une multitude de métiers, de savoir-faire et de techniques qu'accompagne un extraordinaire arsenal d'outils et d'objets. Cet ouvrage, richement illustré de plus de 500 photographies, gravures ou peintures, propose un parcours à travers les outils de la vigne, les ustensiles de la viticulture et les objets du servie du vin dont la forme et l'usage ont, bien souvent, traversé les siècles. Des houes et araires aux sulfateuses d'autrefois, des hottes de vendange aux pressoirs, des fûts aux pipettes, des bougeoirs de cave aux tire-bouchons, des pichets et carafes aux étiquettes, se dessine un véritable musée de l'univers du vin.