300 mètres carrés, 111 hommes, 70 jours sous la mer:bienvenue à bord d'un SNLE (sous-marin nucléaire lanceur d'engins), seigneur des océans. Monstres d'acier, cathédrales de silence, les sous-marins rôdent sous les flots, veillant sur notre sécurité, et nous n'en savons rien. Pourtant, bien des choses se passent au fond des eaux, et la vie à bord est tout sauf ennuyeuse. Elle obéit à des règles, une discipline stricte et sereine, des rituels, des loyautés et des amitiés qui ont le goût de l'aventure et sans lesquelles risquer leur vie aurait peut-être moins de sens pour ces hommes.L'amiral François Dupont nous emmène à bord du bateau qu'on lui a confié, immergé avec les hommes dont il a la responsabilité, pour, le temps d'une traversée, partager avec nous la beauté de ce métier où s'incarnent à chaque instant le sens de l'engagement et la notion du devoir.
300 mètres carrés, 111 hommes, 70 jours sous la mer : bienvenue à bord d'un SNLE, c'est-à-dire d'un sous-marin nucléaire lanceur d'engins, seigneur des océans. Monstres d'acier, cathédrales de silence, les sous-marins rôdent sous les flots, veillant sur nous et notre sécurité, et nous n'en savons rien. Pourtant bien des choses se passent au fond des eaux, et la vie à bord est tout sauf ennuyeuse. Elle obéit à des règles, une discipline stricte et sereine, des rituels, des loyautés et des amitiés qui ont le goût de l'aventure et sans lesquelles peut-être risquer leur vie aurait moins de sens pour ces hommes.
Sous-marinier pendant plus de vingt ans, l'amiral François Dupont nous emmène à bord du bateau qu'on lui a confié, immergé avec les hommes dont il a la responsabilité, pour, le temps d'une traversée, partager avec nous la beauté de ce métier où s'incarnent à chaque instant le sens de l'engagement et la notion du devoir.
"Vu les échecs à obtenir de l'Union européenne une solidarité intergouvernementale, d'autres priorités citoyennes apparaissent. Face à l'imbroglio institutionnel créé par nos dirigeants, leur inaction, l'absence de souveraineté européenne et la menace de la Chine, remettre de l'ordre démocratique dans l'UE est une priorité. Il s'agit de refonder l'Europe comme un authentique Etat de droit. Le Charte des droits fondamentaux de l'UE donne de nombreux arguments en faveur d'un changement de structure du pouvoir. En réponse aux Gilets jaunes en colère devant le Parlement européen, la société civile européenne peut et doit étoffer ses revendications de projets de réforme. Elle peut réaliser son propre projet de Constitution d'un Etat de droit européen : les Etats-Unis d'Europe."
Qui pilote vraiment Bruxelles ? Pour servir qui ? Au nom de quelle légitimité, de quelles valeurs, de quel droit ? Avec quels outils, quelle cohérence d'architecture des pouvoirs ?
Le projet initial était d'unir 500 millions d'hommes en société stable et prospère pour tous. L'enquête citoyenne permet de saisir comment s'y est substitué celui d'unir seulement des capitaux, des économies et des pouvoirs locaux restés rivaux. Le résultat est un système intergouvernemental bloqué, impuissant à gérer ce continent.
L'Europe politique dans l'impasse va-t-elle se livrer définitivement aux fonds souverains qataris ou chinois, à Wall Street ?
Que voulons-nous conserver ou changer de l'UE ? L'inventaire en est fait ici, proposant des pistes concrètes, participatives, hors des sentiers politiciens nationalistes rebattus et des idéologies passéistes.
François Dupont est un citoyen aquitain, français et européen, anglophone, et engagé. Après des études de biochimie et d'informatique, également menuisier et enseignant, il se consacre aujourd'hui au projet Democratise Europe, aux côtés de Yanis Varoufakis dans DiEM Democracy in Europe Movement. Il est intervenu notamment au Parlement européen lors du débat Crise des institutions européennes du 4 juin 2013, en ligne sur le site Voxeurop. Il soutient également l'ONG citoyenne Finance Watch et l'association Anticor.
Le tout premier « Goûter philo » propose aux enfants de réfléchir sur le cycle de la vie et de la mort, sur la valeur et l'importance de chaque être vivant et sur notre rapport à la mort et au devenir de notre planète.
Comment on sait que quelque chose est vivant ?
Pourquoi la mort fait-elle souvent peur ?
Pourquoi est-ce qu'on meurt ?
Et si personne ne mourait ?
Qu'est-ce qui reste quand on est mort ?
Y a-t-il des vies plus importantes que d'autres ?
À quoi ça sert de penser à la mort ?
Est-ce qu'on choisit sa vie ?
C'est drôle à dire, mais nous mourons parce que nous vivons. Le caillou ne meurt pas parce qu'il ne change pas. Tout ce qui pousse, grandit, change, meurt un jour.
« C'est beau, c'est arrivé tout seul, par hasard ! » ou « C'est beau, merci Dieu de l'avoir créé » ? Le 44e « Goûter philo » propose aux enfants de réfléchir à cette question essentielle : comment vivre ensemble alors qu'on ne croit pas aux mêmes choses ?
La religion est un sujet d'actualité, toujours brûlant, qui passionne et parfois aussi tue. Ce « Goûter philo » propose de réfléchir sur la laïcité et sur la religion. Mais également de comprendre l'athéisme : on peut choisir librement qu'aucun dieu n'existe. Comment expliquer qu'il y a des centaines de religions ? Est-ce qu'on vit mieux avec ou sans religion ? A-t-on le droit de critiquer la religion ? De manière beaucoup plus large, ce « Goûter philo » propose quelques pistes pour comprendre ce que signifie donner du sens au monde, à la vie sur Terre et à sa propre vie... avec ou sans religion.
Qui a déjà confié ses soucis à son chien, cherché le réconfort en câlinant son chat ? Pourquoi dit-on une faim de loup, bavard comme une pie, fier comme un paon ? Pourquoi invoque-t-on les animaux pour décrire un trait de caractère humain ? Les animaux sont des êtres vivants et sensibles, comme les humains. L'homme et l'animal se ressemblent. Respecter un animal, est-ce respecter l'humain en nous ? Les animaux devraient-ils avoir des droits ? "L'Homme et l'Animal", le "Goûter philo" pour réfléchir en classe et en famille aux relations complexes qui lient l'humain et l'animal. "Mes goûters philo", la collection philo illustrée pour tous les petits qui ont faim d'idées !
Le « Goûter philo » « Le Respect et le Mépris » propose aux enfants de réfléchir sur ces deux notions au coeur des relations entre humains.
Qu'est-ce que ça veut dire « se faire respecter » ?
Est-ce que tout le monde a droit au respect ?
Est-ce qu'on peut se respecter soi-même ?
Peut-on mépriser quelqu'un sans le faire exprès ?
Le respect, cela s'apprend ?
On s'imagine qu'en se faisant obéir, on se fait respecter. On s'imagine qu'en se faisant craindre, on se fait respecter. Confondre le respect avec la politesse, l'obéissance, la peur ou d'autres choses, c'est embêtant : à force, on ne saura plus ce que c'est, le respect, le vrai.
La colère fait peur : on parle de rage, de fureur. On dit aussi de celui qui est en colère qu' »il n'est plus lui-même ». Bref, face à la colère, il n'y aurait qu'une chose à faire : la combattre, l'éviter, et même l'empêcher de naître.
Mais qu'en est-il vraiment ? La colère n'est-elle pas une force de résistance et de révolte autant qu'une force d'agression et de destruction ? N'est-il pas parfois légitime, voire raisonnable, d'entrer en conflit ?
Toute la question est alors de savoir jusqu'où il nous est possible de contrôler nos colères et de nous assurer que nous ne nous trompons pas d'objet ni ne manquons nos objectifs.
Le « Goûter philo » « Moi et les autres » pour réfléchir à la place que chacun donne à l'autre, cet autre très différent de moi, qui est un semblable, un humain.
Pourquoi, quelquefois, les autres nous font peur ?
On peut se mettre à la place de quelqu'un d'autre ?
Le racisme, c'est quoi ?
Est-ce que je pourrais vivre tout seul ?
Pourquoi on est tous différents ?
Pourquoi on se sent jugé par les autres ?
Pourquoi ça fait du bien d'avoir des amis ?
Comment on sait ce qui se passe dans la tête des autres ?
Comment avoir une idée de ce que l'on est, sans les autres ? Comment savoir si l'on est gentil, méchant, jaloux, affectueux, attentionné... si les autres ne sont pas là ? Pour se connaître, on a besoin de passer par les autres.
Pourquoi le travail que donne le professeur, ça s'appelle les devoirs ? A-t-on plus de droits ou de devoirs ? Comment on sait qu'on a le droit de faire quelque chose ? Le « Goûter philo » « Les Droits et les Devoirs » pour réfléchir à la vie en société.
« Les Goûters philo » aident les enfants à réfléchir sur les questions importantes qu'ils se posent, ici sur ces deux notions que sont les droits et les devoirs. Toute une série de livres clairs, directs et drôles pour éveiller aux idées.
La France est riche de traditions sucrées et de talents pâtissiers. Ce livre fait honneur à cet artisanat en présentant 50 pâtissiers et 100 recettes à faire saliver tous les amateurs. De ville en ville, nous découvrons des créations personnelles, mais aussi des spécialités régionales réinterprétées avec brio : cannelé, kouglof, bugne, tropézienne, kouign-amann, gâteau nantais, gaufre du Nord, etc.Parcourir la France des pâtisseries, c'est aller à la rencontre des recettes de personnalités déjà célébrées - Thierry Bamas à Anglet, Sébastien Bouillet à Lyon, Christophe Felder à Mutzig, Christine Ferber à Niedermorschwihr, Vincent Guerlais à Nantes, etc. - mais c'est aussi se laisser tenter par les meilleures recettes d'une nouvelle génération haute en couleurs. Ces pâtissiers sont tous incontournables et forment ici un précieux carnet d'adresses.
Tolérance et intolérance, le vivre-ensemble est un sujet plus que jamais au coeur des débats qui animent notre société.
Le 47e "goûter philo" propose aux enfants de réfléchir à la question du vivre-ensemble.
Le 48e Goûter philo propose aux enfants de réfléchir à la question du rôle des artistes et de l'art dans la société. Van Gogh, Picasso, Léonard de Vinci... Quelle place les artistes occupent-ils dans notre société ? Que nous apportent-ils ? Pourrions-nous nous passer d'eux ?
Les agriculteurs, les architectes, les artisans, les commerçants, les professeurs... ont tous une raison d'être bien définie : leurs activités répondent à des besoins liés à la survie ou à la vie en société. Mais qu'en est-il des artistes ? Certaines oeuvres d'art ont le pouvoir d'orienter notre regard là où il n'allait pas, elles peuvent aussi nous toucher, nous bouleverser, nous faire réfléchir, et parfois transformer quelque chose en nous et dans notre manière d'être. Dans le monde actuel, que l'on appelle une société de consommation, les oeuvres d'art sont-elles englouties dans la masse des produits de divertissement, à consommer, ou peut-on et sait-on encore repérer des oeuvres d'art à contempler ?
Qui est susceptible de nous trahir ? D'où viennent les trahisons qui déchirent une relation et nous laissent dans une grande détresse ? De nos proches bien sûr, de ceux en qui nous avons placé toute notre confiance. Pour qu'il y ait trahison, il faut d'abord qu'il y ait eu de la confiance. Alors forcément la question se pose : faut-il décider une fois pour toutes de ne plus jamais faire confiance pour se protéger de l'éventualité d'une trahison et de l'atroce douleur qui l'accompagne ? Ou bien devrait-on prendre le risque de la trahison afin de goûter au plaisir de s'abandonner à l'autre, de vivre le bonheur d'aimer et de tout partager, de se confier ?
Qui est susceptible de nous trahir ? D'où viennent les trahisons qui déchirent une relation et nous laissent dans une grande détresse ? De nos proches bien sûr, de ceux en qui nous avons placé toute notre confiance. Pour qu'il y ait trahison, il faut d'abord qu'il y ait eu de la confiance. Alors forcément la question se pose : faut-il décider une fois pour toutes de ne plus jamais faire confiance pour se protéger de l'éventualité d'une trahison et de l'atroce douleur qui l'accompagne ? Ou bien devrait-on prendre le risque de la trahison afin de goûter au plaisir de s'abandonner à l'autre, de vivre le bonheur d'aimer et de tout partager, de se confier ?
« Qui a approché vraiment les Wexler ? Qui a vécu chez eux ? Qui a surtout disparu avec eux ? Seule Aurore en sait plus que moi, bien plus. Mais tous deux, nous avons failli être absorbés voire digérés par le singulier organe qu'était cette famille. » La veille de la rentrée scolaire, la famille Wexler s'installe dans une villa reculée, nichée entre collines et sapins. Le père, personnage charismatique, est le nouveau professeur de français de Mathias, 16 ans. L'adolescent va côtoyer les enfants de cet étrange clan. Il y a Karl, qui ne se sépare jamais de sa carabine. Cheyenne, qui passe son temps à cheval. Et Charlotte, la camarade de classe de Mathias, dont il s'éprend. Alors que les deux jeunes gens vivent un premier amour lumineux, une relation trouble se noue entre monsieur Wexler et l'une de ses élèves.
Vingt ans plus tard, Mathias est de retour dans sa ville natale. Il «?redouble son adolescence?» et replonge dans les zones obscures de son passé.
Découvrez l'incipit de Villa Wexler :
Le vote, le moment des élections, c'est le moment où le peuple utilise son pouvoir : celui de choisir ses représentants.
Mais c'est aussi le moment où le peuple peut renvoyer les représentants qu'il juge mauvais. C'est extraordinaire ! La démocratie est un système qui permet de se débarrasser des dirigeants politiques, sans violence, sans couper de têtes, sans bain de sang.
« Les Goûters philo » aident les enfants à réfléchir sur les questions importantes qu'ils se posent, ici sur ces deux notions que sont la joie et la tristesse, traitées dans la veine de ce qui fait le succès de la collection.
Extraits :
Amélie s'énerve, elle a une idée géniale, mais elle n'arrive pas à la dire.
« Je sais exactement ce que je veux dire, c'est juste que je ne sais pas comment le dire. Pourtant, c'est clair dans ma tête, je te promets, je la sens cette idée, elle est là. » On a tous ressenti cela, cet énervement quand on ne réussit pas à exprimer une idée, à la sortir en mots.
Abeka regarde la première page d'un journal que son père a rapporté d'un pays très lointain. Il paraît que le dessin qu'elle voit sur cette page a créé d'immenses problèmes dans une grande partie du monde, des millions de personnes ont manifesté dans les rues, certains pour dire qu'ils étaient contre l'existence de cette image, d'autres pour dire qu'ils étaient pour. Des hommes et des femmes qui travaillaient dans ce journal ont été assassinés. Abeka regarde de plus près, elle ne comprend pas. Dans sa tribu, on ne connaît pas l'homme représenté sur cette image. Son histoire et celle de la religion qu'il a créée ne sont pas arrivées jusque-là, dans le Grand Nord. Cette image ne parle pas à Abeka. Nous interprétons les images avec ce que nous avons en tête, nos connaissances, nos idées, nos goûts, nos dégoûts, nos croyances, nos désirs, nos peurs. Les images nous parlent quand nous pouvons les faire parler.
Un court extrait du texte donne le ton du livre. Libre et amusant, le contenu n'en est pas moins sérieux avec des problèmes bien définis auxquels les auteurs apportent des réponses claires et utiles au quotidien.
"Le maître et le chien "Oh non pitié, Médor ! Pas là ! Pas en plein milieu du trottoir ! Pas question que je ramasse tes crottes !" Qui va vite partir pour ne pas être vu ? Le maître ou le chien ? Le maître ! Le seul capable de regarder ce qu'il fait, le seul capable de se juger lui-même.
Octave est rassuré, personne ne l'a vu, il file vite avant que quelqu'un ne le remarque.
Nous aussi, nous aurions vite filé. Car on est tous capables de se dire : oui, c'est vrai, je fais ça mais je ne devrais pas le faire. Nous avons tous une conscience morale, nous sommes tous des êtres moraux.
Depuis hier, Médor tire sur la laisse pour aller faire sa crotte dans le caniveau. Octave est très content et le félicite.
"Tu es un très bon chien, mon Médor !" Médor était-il un mauvais chien, qui agissait mal ? Est-il devenu un bon chien, qui agit bien ? Non. Médor est devenu un chien correctement dressé et très obéissant, rien à voir avec un être moral."
Les animaux n'ont pas le choix : soit ils trouvent dans la nature tout ce dont ils ont besoin, soit ils périssent. L'homme, lui, a ceci de spécifique qu'il n'est pas adapté à la nature, mais qu'il adapte la nature à ses besoins. Il transforme le monde pour le rendre habitable. Aujourd'hui, les premiers outils inventés ont cédé la place à des machines de plus en plus performantes : au cours d'une journée, nous ne faisons que quitter une machine pour en retrouver une autre - voiture, ordinateur, téléphone portable, télévision... Si les hommes inventent des machines pour diminuer la pénibilité physique du travail, pour augmenter l'efficacité de leurs actions et, de manière générale, pour rendre leur existence plus confortable, l'invention ne va-t-elle pas finir par se retourner contre l'inventeur ? Il y a une grande différence entre travailler avec des outils et travailler avec des machines. Si l'artisan reste le guide et l'âme de ses propres gestes, l'ouvrier, lui, est contraint de se soumettre aux rythmes qu'imposent les machines. Et, que signifie pour l'individu contemporain d'être environné par des machines dont il ne comprend pas les mécanismes ? Incapables de se représenter le fonctionnement interne d'un ordinateur, le principe de cuisson d'un four à micro-ondes ou le processus par lequel une centrale nucléaire produit de l'énergie, ne sommes-nous pas placés dans une nouvelle situation de dépendance ? Fondamentalement, l'homme n'est-il pas devenu ivre de sa puissance technique ?
La Guerre et la Paix, un « Goûter Philo » pour réfléchir sur ce que sont, philosophiquement, ces deux notions. Il y a des gens sur Terre qui veulent la guerre. Et il y en aura sûrement toujours. Mais il y a beaucoup plus de gens qui veulent la paix. La plupart des hommes détestent la guerre et ils ont très bien compris comment construire la paix. Alors qu'est-ce qui se passe oe
La loi du plus fort a longtemps dirigé le monde, puis on a établi des règles. De plus, la paix et le partage qui permet de l'instaurer ne sont pas dans la nature de l'homme, qui a toujours aimé le pouvoir et la possession. Certains disent qu'ils font la guerre pour préparer la paix de demain. La paix n'est-elle donc pas un combat de tous les instants oe