Ce titre va remplacer les 3 précédents volumes des « Contes » d'Andersen.Une nouvelle sélection de 11 contes : les plus connus, les plus souvent cités dans les programmes scolaires, auxquels a été ajoutée l'inévitable « Reine des neiges » qui n'apparaissait pas dans les précédents volumes (elle est bien éloignée de celle de Disney, mais peut fournir l'occasion d'une comparaison intéressante entre le texte et le film avec des élèves). « La princesse au petit pois », « La petite Poucette », « La petite sirène », « Les habits neufs de l'empereur », « L'intrépide soldat de plomb », « Le rossignol », « Le vilain petit canard », « La reine des neiges », « La bergère et le ramoneur », « Les souliers rouges », « La petite fille aux allumettes ».
Cette oeuvre fait partie de la série TREDITION CLASSICS. La maison d'édition tredition, basée à Hambourg, a publié dans la série TREDITION CLASSICS des ouvrages anciens de plus de deux millénaires. Ils étaient pour la plupart épuisés ou unique-ment disponible chez les bouquinistes. La série est destinée à préserver la littérature et à promouvoir la culture. Avec sa série TREDITION CLASSICS, tredition à comme but de mettre à disposition des milliers de classiques de la littérature mondiale dans différentes langues et de les diffuser dans le monde entier.
Cette oeuvre fait partie de la série TREDITION CLASSICS. La maison d'édition tredition, basée à Hambourg, a publié dans la série TREDITION CLASSICS des ouvrages anciens de plus de deux millénaires. Ils étaient pour la plupart épuisés ou unique-ment disponible chez les bouquinistes. La série est destinée à préserver la littérature et à promouvoir la culture. Avec sa série TREDITION CLASSICS, tredition à comme but de mettre à disposition des milliers de classiques de la littérature mondiale dans différentes langues et de les diffuser dans le monde entier.
cet ouvrage pose un nouveau regard sur les contes de toujours, patrimoine de la littérature des petits et des grands.
trois récits traditionnels qui ont bercé notre enfance et qui continuent de bercer celle de nos petits sont ici réinterprétés avec toute la poésie et le talent de cécile landowski. trois décors à déplier de 60 cm de long et 22,5 cm de haut sont encartés en fin d'ouvrage. magnifiques, immenses, comme des ailes d'oiseau déployées, ils s'ouvrent vers des contrées inexplorées, et peuvent même être encadrés.
On ne présente plus Andersen : La Reine des neiges, La Petite Sirène, La Princesse au petit pois, ou encore Les Habits neufs de l'empereur... Ses récits, faits d'un subtil mélange de fantaisie, de noirceur et d'humour ont ému et continuent d'émouvoir et de passionner des générations de lecteurs de tous les âges. Le succès cinématographique planétaire de La Reine des neiges ou la prégnance des amours malheureuses de La Petite Sirène montrent à eux seuls l'importance de sa popularité.
Inspirée de l'édition de 1911 conservée à la Bibliothèque de l'Arsenal, cette publication est magnifiquement servie par les aquarelles, virtuoses, d'Edmund Dulac, illustrateur majeur du merveilleux et de la féérie.
Textes et illustrations plongent ainsi le lecteur dans un univers magique fait d'aurores boréales, de miroirs maléfiques et de palais de glace. Univers où l'on croise de valeureux chevaliers, d'espiègles Laponnes, de diaphanes petites filles, et où l'on s'envole au gré du vent sur le dos d'un renne...
Dans une préface personnelle d'une grande délicatesse, l'écrivain Geneviève Brisac nous raconte l'importance qu'ont eue, pour elle, dans son enfance, ces contes et ces illustrations.
Elle retrouve et nous fait partager les images qui l'ont bouleversée, les mots qui l'ont émue, avec l'acuité de souvenirs intacts : la cruauté du froid, l'angoisse, le manque, mais aussi le museau du renne, l'univers où « la neige et les édredons rivalisent de douceur »...
Geneviève Brisac nous dit en outre combien la touche l'attention extrême qu'à travers ses contes, Andersen porte aux êtres, comme lui : fragiles, blessés, humiliés vulnérables. « Comme les enfants. »
L'OUVRAGE :Deux mondes aux mystérieuses correspondances. Quatre thèmes communs, quatre évidences.La notion d'hallucination. Dans Thérèse Raquin, une fois le meurtre de Camille commis, Laurent va constamment voir réapparaître son cadavre verdâtre. Dans La Petite Fille aux allumettes, chaque craquement, et donc chaque étincelle, vont donner lieu à une apparition illusoire. La solitude (la misère) sociale. Dans Thérèse Raquin, Thérèse et Mme Raquin ont une petite mercerie, dans une impasse pluvieuse. Tout cela ne respire pas le luxe, mais bien au contraire une précarité sociale. Dans La Petite Fille aux allumettes, évidemment celle-ci est obligée de vendre des allumettes à des clients indifférents pour d'une part, ne pas se faire battre par son père et d'autre part, gagner quelques sous pour se nourrir. Des êtres qui se consument. Thérèse est emportée dans l'ivresse de la passion physique et cette passion-là va la perdre, la consumer. Pour La Petite Fille aux allumettes, la métaphore est brutale puisque lorsque toutes les allumettes auront été consumées, elle sera morte. La fatalité du destin. Et Zola, et Andersen nous disent à leur manière qu'on n'échappe pas à son destin. Dès que Thérèse rencontre Laurent, son destin sera inéluctable et la pauvre petite fille aux allumettes si pauvre, si seule, mourra de cette pauvreté et de cette solitude.