Louise, fille naturelle de Marguerite Blanchon, n'a pas connu son père. A la mort de sa mère, la jeune fille, surnommée la "taiseuse", se retrouve bien seule pour gérer sa ferme et en période hivernale avec la neige qui est omniprésente, la vie quotidienne est particulièrement difficile. Son chien Azor et sa chatte Farinette sont ses plus fidèles compagnons, pourtant elle aimerait beaucoup trouver un mari et fonder une famille, mais dans sa ferme isolée de tout, cela n'est pas simple.
Alors qu'elle s'acharne à faire fructifier la propriété laissée par sa mère, elle n'hésite pas, devant la rudesse des travaux, à accepter l'aide de rouliers qui se présentent pour se louer. Jusqu'au jour où Auguste, le facteur, lui amène une lettre venant de loin... Ce roman nous entraîne dans le rude pays de Savoie pour une fabuleuse histoire aux côtés de personnages ancrés dans leurs traditions et menée par une héroïne entreprenante qui veut voir, malgré tout, son destin changer...
Retraité, vivant à Yenne en Savoie, l'auteur consacre la plus grande partie de son temps à la littérature et à l'association littéraire qu'il préside : Enlivrez-vous-Yenne.
En 2013, il obtient un prix littéraire (prix Coquelicot) avec Le Ramoneur des montagnes.
En Savoie, au XIXème siècle, la misère sévit dans les familles trop nombreuses. Les enfants sont alors enlevés tout jeune à leur famille pour quelques pièces. Utilisés pour le ramonage des cheminées des grandes villes et cela, dès l'âge de sept ou huit ans, ces enfants seront battus, maltraités et mal nourris. à pied et par tous les temps, rien n'arrêtera les cordées qui doivent, pour le profit de « maîtres » cupides et alcooliques, gagner chaque jour plus d'argent.
Cependant, deux petits ramoneurs, Jacquou et P'tit Louis, des « mauriennais », semblent avoir un peu plus de chance dans cette spirale de cruauté. Jacquou, mieux armé intellectuellement pour faire la lutte aux exploiteurs d'enfants, va rencontrer un homme généreux, un comte, qui voit en lui le fils qu'il n'a pas eu. Jacquou va alors pouvoir tenter de réaliser son rêve, devenir médecin.
Quant à P'tit Louis, après des années de galère et moult aventures, il va connaître un destin inattendu, sans abdiquer sa hargne et son désir de vengeance contre ceux qui profitent de la misère humaine pour s'enrichir.
Jacquou et P'tit Louis parviendront-ils à leurs fins ?
Alors que Castorex termine des vacances bien méritées en compagnie de sa chère - et tendre - Nadège, un article de journal retient son attention :
« Fort d'Aiton, un dangereux truand s'évade ! Profitant d'une livraison de pommes de terre, celui que la police considère comme le plus dangereux des truands du siècle a réussi à se faire la belle... » Après lecture de l'article, Nestor pousse un violent : « Putain Kopek ! » - Ma parole ils se sont bien foutus de notre gueule, en nous laissant croire qu'il était mort dans les prisons d'Ukraine avec son complice Piakof. Va encore y avoir de la rumba dans l'air !
Alors que le commandant Cyprien arpente le bois de Bagne un panier rempli de bolets à la main il se fait interpeler par son collègue le procureur Jaquin de retour d'une pêche infructueuse sur les rives de la Méline :
- Commandant ! Venez donc voir ce que je viens de découvrir.
Jaquin soulève un bras qui sort de dessous un tas de branches.
- Fichtre ! Qu'est-ce donc que cela ?
C'est ainsi que Nestor, François, Amédé Castorex, le célèbre commissaire de police, à peine revenu d'une croisière en Grèce, se voit investi d'une nouvelle enquête : une jeune femme a été retrouvée assassinée dans le bois de Bagne, la tête plongée dans la rivière la Méline. Ce ne sera que le début d'une longue série de crimes et de suicides, qui mèneront, soit-dit-en passant, la fiancée à quitter Nestor, puis, à revenir, pour « vivre le reste de ses jours » avec son commissaire préféré. Castorex, le légendaire célibataire, va-t-il succomber au chant des sirènes et finir dans la chapelle du mont du chat ? (Et, accessoirement, va-t-il résoudre les meurtres ?) - Toute la vie avec toi ? Ben merde alors. Ça demande réflexion, non ?