Pour Méryl Pinque l'homme est la caricature de Dieu.
Dans ce recueil de nouvelles, elle parle souvent du mal. Notre modernité ne lui fait pas peur. Elle l'aborde crument, avec force et violence. Sans fard et sans emphase. Certaines nouvelles, comme L'Alibi qui met en scène une fête hyper art et jet set à Berlin où les animaux sont tués en masse pendant les « performances » festives, sont des morceaux d'anthologie.
Plus que des tranches de vie, les nouvelles de Méryl Pinque sont des gros plans sur notre modernité qui n'est pas toujours très belle, avouons-le. Mais, comme tous les grands auteurs de nouvelles (Maupassant, Tchékhov, Carver), Méryl Pinque ne démontre rien, elle raconte des histoires. Histoires qui se passent aux quatre coins du monde, mais qu'unit une vision particulière de l'homme et de sa condition.
Seuls les grands écrivains révèlent le monde au travers du chaos apparent. C'est le cas de Méryl Pinque dont les nouvelles scrutent de manière unique le magma de la postmodernité. Ce faisant, elle fait sienne la fameux mot de Romain Gary : « L'humanité est un mythe ! »
Écrites dans un style puissant, les seize nouvelles réunies ici témoignent d'un monde cruel, le nôtre, et affirment que le salut est dans la beauté.
Pour Méryl Pinque l'homme est la caricature de Dieu.
Dans ce recueil de nouvelles, elle parle souvent du mal. Notre modernité ne lui fait pas peur. Elle l'aborde crûment, avec force et violence.
Sans fard et sans emphase. Certaines nouvelles, comme L'alibi, qui met en scène une fête hyper art et jet set à Berlin où les animaux sont tués en masse pendant les « performances » festives, sont des morceaux d'anthologie.
Plus que des tranches de vie, les nouvelles de Méryl Pinque sont des gros plans sur notre modernité qui n'est pas toujours très belle, avouons-le. Mais, comme tous les grands auteurs de nouvelles (Maupassant, Tchékhov, Carver), Méryl Pinque ne démontre rien, elle raconte des histoires. Histoires qui se passent aux quatre coins du monde, mais qu'unit une vision particulière de l'homme et de sa condition.
Seuls les grands écrivains révèlent le monde au travers du chaos apparent. C'est le cas de Méryl Pinque dont les récits scrutent de manière unique le magma de la postmodernité. Ce faisant, elle fait sienne le fameux mot de Romain Gary : « L'humanité est un mythe ! »
Mettre fin à la domination de l'homme sur l'animal:tel est l'objectif du mouvement végan. À l'heure où les consciences s'éveillent face à la cruauté des pratiques observées dans les élevages et les abattoirs et où le nombre de végétariens ne cesse de croître, la philosophie végane, la plus radicale d'entre toutes, semble se faire une place dans nos sociétés contemporaines.