La pharmacopée écolo est à la mode, et Pline en est le précurseur. Il fait de son jardin un véritable dispensaire, nous renseignant avec un éclairage rafraichissant sur la vie antique. La civilisation romaine maîtrisait la flore, la nommait et la consommait à la source: elle n'oubliait pas les bienfaits de la nature quand son empire était au plus fort.
La pharmacopée écolo est à la mode, et Pline en est le précurseur. Il fait de son jardin un véritable dispensaire, nous renseignant avec un éclairage rafraichissant sur la vie antique. La civilisation romaine maîtrisait la flore, la nommait et la consommait à la source: elle n'oubliait pas les bienfaits de la nature quand son empire était au plus fort. Ce volume est une nouvelle traduction du livre XX de l'Histoire naturelle.
Pline l'Ancien fut l'un des esprits les plus curieux de son temps. Son Histoire naturelle constitue une extraordinaire encyclopédie des connaissances de l'époque. Du tilleul au cyprès, de l'olivier au cerisier, le chêne, le pin et le sureau, il nous convie à une promenade salutaire dans les vergers de l'Antiquité, et dans les forêts riches en remèdes et en recettes de santé.
Né en 23 après J.-C., mort en 79, Pline l'Ancien fut l'un des esprits les plus curieux de son temps. Son Histoire naturelle constitue une extraordinaire encyclopédie des connaissances de l'époque. Du tilleul au cyprès, de l'olivier au cerisier - en passant par le laurier-rose, l'orme, le chêne, le platane, le pin et le sureau -, il nous convie à une promenade salutaire dans les vergers de l'Antiquité, et dans les forêts riches en remèdes et en recettes de santé. Ce volume propose une nouvelle traduction des livres XXII, XXIII et XXIV de l'Histoire naturelle.
Pline l'Ancien (mort en 79 lors de l'éruption du Vésuve) est un des plus extraordinaires tempéraments d'érudit qui ait existé. Son Histoire naturelle, qui le révèle tout entier, est une encyclopédie des connaissances positives de son temps, fondée sur le dépouillement de quelque deux mille volumes d'auteurs grecs et latins. Tout s'y trouve : cosmographie et géographie, anthropologie, biologie animale et végétale, pharmacologie, histoire des arts, - en un mélange étonnant d'informations sérieuses, de recettes magiques et d'anecdotes invérifiables...
L'Histoire naturelle est un des ouvrages les plus lus de l'Antiquité tardive et du Moyen Âge ; la Renaissance y a vu le livre par excellence des merveilles de la nature. Depuis le milieu du XIXe siècle, quand Littré entreprend de la traduire, son auteur nous apparaît comme un témoin des curiosités et des croyances de son temps et comme un merveilleux conteur.
Édition d'Hubert Zehnacker.
Pline (23-79 ap. J.-C.) est l'auteur d'une monumentale oeuvre encyclopédique, l'Histoire naturelle. Le livre XXXV est une source presque unique pour l'histoire de l'art antique, apportant des données biographiques et des jugements critiques sur des artistes grecs très connus, des descriptions d'oeuvres aujourd'hui disparues et enfin des informations sur les matériaux et les techniques employés dans l'Antiquité.
Le livre XXXIII de l'Histoire naturelle marque une charnière dans l'oeuvre de Pline l'Ancien : après l'ensemble consacré aux êtres vivants, ce livre inaugure une nouvelle section où Pline traite des matières inanimées, mais précieuses - en l'occurrence l'or et l'argent.
Sont tour à tour examinées les origines mythiques, l'évolution historique et les utilisations diverses de ces métaux (bijoux, monnaie, richesse).
Mais Pline est avant tout sensible aux implications sociologiques et morales de son sujet : l'histoire clé la monnaie romaine qu'il brosse, si elle n'est pas dénuée d'intérêt économique (fluctuation des prix), débouche sur un large exposé consacré à la richesse et à ses méfaits.
De la technologie on passe à la morale et à l'histoire des sociétés.
Après avoir consacré plusieurs livres à la présentation des thérapeutiques tirées de la botanique (xviii à xxxii), pline examine dans le livre xxx tous les remèdes provenant du monde animal et les pathologies qu'ils peuvent soigner.
Témoignage capital pour l'histoire de la magie dans l'antiquité, ce texte est aussi une source extraordinaire pour aborder les relations entre science et savoirs traditionnels : comment se construisent les catégories concernant les maladies, comment s'élaborent les savoirs destinés à les interpréter et à les traiter ?
Au carrefour de disciplines différentes, pline nous livre ici, à la manière d'un " ethnomédecin ", ses connaissances sur les recettes pratiques de la pharmacopée médico-magique du monde romain.
Ce volume est un des derniers de l'Histoire Naturelle de Pline l'Ancien. Le livre IV appartient aux quatre livres géographiques (III-VI) et achève la description de l'Europe commencée dans le livre précédent. Pline y décrit successivement les régions de la Grèce, de la Macédoine et de la Thrace, puis les îles de la mer Égée et la partie européenne de la Mer Noire : région danubienne, côte septentrionale y compris la Tauride (l'actuelle Crimée), et plus au nord les monts Riphées et le peuple mythique des Hyperboréens. Vient ensuite une description des côtes de l'Océan, des terres qui donnent sur l'Océan et les îles : le nord de l'Europe, avec la Germanie, la Bretagne et l'Hibernie (la Grande Bretagne et l'Irlande actuelles), Thulé et les autres îles nordiques ; la Gaule chevelue (à l'exclusion de la Narbonnaise traitée dans le livre III, c'est-à-dire les trois provinces de Belgique, Lyonnaise et Aquitaine) ; la péninsule ibérique (à l'exclusion de la Bétique traitée elle aussi dans le livre III, c'est-à-dire les deux provinces de Tarraconnaise et Lusitanie). L'édition est fondée sur une nouvelle collation des sept principaux manuscrits, et suit les principes déjà utilisés dans l'édition du livre III. La préface traite en particulier des délicats problèmes de l'organisation du livre et des sources utilisées par Pline. Un commentaire abondant (mais qui ne pouvait prétendre à l'exhaustivité, en particulier dans les parties du texte concernant des provinces de l'empire romain) fournit toutes les informations nécessaires à l'identification des toponymes et à la discussion de la valeur des indications de distances. Le volume est pourvu d'indices qui en faciliteront l'utilisation.
Il a paru nécessaire de faire précéder cette nouvelle édition de l'Histoire Naturelle de l'Index que l'auteur a lui-même placé en tête de son ouvrage pour faciliter les recherches de ses lecteurs et leur épargner tout perte de temps. Il aurait été paradoxal que le Livre I ne parût pas dans les premiers, comme cela s'est toujours fait, et surtout gênant de devoir attendre la parution des 36 autres livres pour avoir un aperçu d'ensemble sur l'oeuvre monumentale de Pline l'Ancien.
C'est donc cette immense table des matières précédée d'une biographie de Pline l'Ancien et de la propre préface de l'auteur qui sont présentés ici.
Polymathe, père de l'esprit encyclopédique et surnommé à juste titre « le plus illustre apôtre de la science romaine », Pline l'Ancien s'est, entre autres, intéressé à la géographie. En effet, les livres III, IV et V de l'Histoire Naturelle décrivent le monde connu d'alors, les terres groupées autour de la Méditerranée, la « mer intérieure » et « entourées » par le fleuve Océan, « la mer extérieure ». La description s'organise comme un périple, dont le départ est l'actuel détroit de Gibraltar, les fameuses colonnes d'Hercule, et se poursuit dans toute l'Europe, qui occupe les livres III et IV, pour se finir, au livre V, par la description de l'Afrique. A intervalles réguliers, l'auteur s'arrête et intercale une incursion vers l'extérieur des terres pour rendre compte, autant que possible, de toute l'étendue des régions.
Le dernier des livres géographiques de l'Histoire naturelle comprend en principe l'Asie tout entière, excepté sa partie occidentale, Iran, Syrie, Phénicie et Asie mineure, régions précédemment traitées (5, 66-151). Il passe en revue successivement d'ouest en est la côte méridionale de la Mer Noire, la Caspienne, l'Asir centrale et extrême-orientale, et revient vers le sud d'est en ouest avec l'Inde, la Parthie, la Mésopotamie et l'Arabie, conformément à sa méthode habituelle, qui est de suivre les côtes.
« C'est un sujet merveilleusement vain, divers et ondoyant que l'homme ». A l'image de la célèbre phrase de Montaigne, le livre VII de l'Histoire Naturelle, consacré à l'homme justement, frappe par sa variété. Quelles sont les lois de l'hérédité ? Les mécanismes de la naissance ? De la mémoire ? Qu'est-ce que le bonheur ? La mort ? Le courage ? Voilà les sujets, toujours abordés avec cette érudition curieuse et pittoresque propre à Pline l'Ancien, que le livre VII passe en revue. L'ensemble forme un formidable panorama des connaissances et d'erreurs au Ier siècle après J.-C. Loin de tout système, Pline accumule les anecdotes qu'il a glanées au fil de ses lectures et de ses observations. Si cette absence de théorisation est souvent reprochée au naturaliste, celle-ci se révèle particulièrement adaptée quand il s'agit de l'homme, le domaine par excellence où l'exception est plus intéressante que la règle. Au lecteur de se délecter des descriptions monstrueuses et bizarres des peuples des confins, de l'histoire d'Aglaus Psophidius, « le plus heureux des hommes » et des vicissitudes innombrables de la fortune d'Auguste.Notre édition présente à part le livre VII. L'introduction, assortie d'un plan permettant de circuler aisément dans le texte, fournit tous les éléments nécessaires à sa bonne intelligence et propose en outre une fine analyse des sources dont s'est servi Pline et du sens critique de ce dernier. La méthode utilisée par l'auteur est mise en évidence tandis que l'histoire des manuscrits est relatée en détail. Le livreVII est suivi d'un abondant commentaire et complété par une bibliographie succincte. L'ouvrage est en outre enrichi d'un Index Nominum et Rerum.
Après avoir traité de l'homme, Pline passe aux animaux qu'il appelle "terrestres" par opposition aux animaux aquatiques et marins, aux oiseaux et aux insectes. On peut distinguer dans ce livre deux grandes parties: les animaux sauvages et exotiques (1-141), et les animaux domestiques et indigènes (142-224), quoi qu'il y ait quelques infractions à ce plan général. Dans le premier groupe, c'est surtout d'Aristote que Pline s'inspire; dans le second, il emprunte en outre largement à ses compatriotes qui ont traité des choses de la campagne, et notamment du bétail, Varron et Columelle, pour ne nommer que les plus importants.
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré
« Des ouvrages de Pline un seul est arrivé jusqu'à nous, son Histoire naturelle. Ce n'est pas, à proprement parler, ce que dans notre langage moderne nous entendrions par un titre semblable. L'auteur commence par exposer des notions sur le monde, la terre, le soleil, les planètes, et les propriétés remarquables des éléments. De là il passe à la description géographique des parties de la terre connues des anciens. Après la géographie vient ce que nous appellerions l'histoire naturelle, à savoir, l'histoire des animaux terrestres, des poissons, des insectes et des oiseaux.La partie botanique qui suit est très considérable, d'autant plus que Pline introduit beaucoup de renseignements sur les arts, tels que la fabrication du vin et de l'huile, la culture des céréales, et différentes applications industrielles. La partie botanique terminée, il revient sur les animaux pour énumérer les remèdes qu'ils fournissent; enfin il passe aux substances minérales, et là (ce qui est une des parties les plus intéressantes de son livre) il fait à la fois l'histoire des procédés d'extraction de ces substances, et celle de la peinture et de la sculpture chez les anciens. On voit qu'à vrai dire l'ouvrage de Pline est une sorte d'encyclopédie. » Émile Littré