Durant les vacances de Noël chez sa grand-mère Olga, Lisbeth trouve un grimoire de sorcières en compagnie de son ami Edward. Elle découvre une galerie de portraits de femmes au destin hors du commun, persécutées parce qu'elles étaient différentes. Elle est surprise de découvrir qu'Olga en fait partie, ainsi qu'elle-même.
Un coffret exceptionnel en édition limitée contenant le nouvel album de Benjamin Lacombe La Petite Sorcière et un fac-similé du fameux Grimoire de sorcières.
Cette année encore, Lisbeth va passer les vacances de Noël chez sa grand-mère Olga.
Un après-midi où elle explore le grenier, elle tombe sur un ouvrage étrange et poussiéreux. un « Grimoire de sorcières ». En le feuilletant, Lisbeth découvre une généalogie de femmes qui ont été persécutées parce qu'elles étaient différentes, trop intelligentes, trop belles ou. trop rousses. En tournant les pages, Lisbeth n'en croit pas ses yeux : il est dit que sa grand-mère Olga serait une sorcière. (« N'importe quoi ! ») Mais à la page suivante, c'est l'apothéose : elle découvre un portrait d'elle au milieu d'une nuée de corbeaux tenant son chat dans les bras. « C'est ridicule et puis, de toute façon, je ne suis pas rousse ! » dit Lisbeth en refermant rageusement le grimoire.
Mais la petite fille n'est pas au bout de ses surprises.
Tous les ans à la même période, des êtres géants, les Échassiers, viennent se nourrir de la végétation d'une forêt où vit une petite communauté. Sans même s'en rendre compte, ils détruisent au passage les habitations des êtres minuscules qui, impuissants et fatalistes, assistent au saccage. Jusqu'au jour où l'un d'entre eux décide de faire cesser ce carnage et de manifester leur présence aux Échassiers...C'est la rencontre de deux civilisations imaginaires: l'une en parfaite osmose avec la nature, l'autre, inconsciente et destructrice.
- Dans le pensionnat, les enfants et l'intendant Monsieur Jacques mènent l'enquête : ils découvrent depuis plusieurs jours des petits morceaux de papier peint sur lesquels sont griffonnés des portraits, moqueurs ou amusés, de la plupart d'entre eux. Mais qui est donc le mystérieux auteur de ces petits mots anonymes qui semble si bien les connaître ?Monsieur Jacques finit par trouver cet ultime papier : "Il y a des mots que l'on doit dire soi-même. Rendez-vous dans le vieux théâtre abandonné."Surgit alors sur la scène celui que personne ne remarquait : le garçon le plus timide du pensionnat, un enfant si discret qu'il n'avait jamais été nommé dans cette histoire. Il entonne une chanson expliquant que sa mère l'appelait "Rossignol", tant sa voix est pure merveille. Le jeune garçon existera enfin aux yeux de ses camarades.Dans cet album, Benjamin Lacombe nous fait découvrir ainsi une nouvelle facette de son talent en utilisant crayons aquarelle et collages de papiers peints.
- Benjamin Lacombe, illustrateur au succès fulgurant, est diplômé des Arts Décoratifs de Paris. Au Seuil jeunesse, il est l'auteur d'albums très remarqués : Cerise Griotte (2006), Les Amants Papillons (2007), Généalogie d'une sorcière (2008), La Mélodie des tuyaux (2009), et du livre pop-up Il était une fois (2010). Benjamin Lacombe vit à Paris. www.benjaminlacombe.comSébastien Perez se découvre très tôt une passion pour l'écriture. Dans ses contes se mêlent le fantastique et l'humour. Au Seuil Jeunesse, il est déjà l'auteur de deux textes d'albums : Généalogie d'une sorcière (2008) et Thomas le magicien (2010). Sébastien Perez vit à Paris.
Un coffret exceptionnel en édition limitée contenant le nouvel album de Benjamin Lacombe La Petite Sorcière et un fac-similé du fameux Grimoire de sorcières.
Cette année encore, Lisbeth va passer les vacances de Noël chez sa grand-mère Olga.
Un après-midi où elle explore le grenier, elle tombe sur un ouvrage étrange et poussiéreux. un «Grimoire de sorcières». En le feuilletant, Lisbeth découvre une généalogie de femmes qui ont été persécutées parce qu'elles étaient différentes, trop intelligentes, trop belles ou. trop rousses. En tournant les pages, Lisbeth n'en croit pas ses yeux : il est dit que sa grand-mère Olga serait une sorcière. (« N'importe quoi ! ») Mais à la page suivante, c'est l'apothéose : elle découvre un portrait d'elle au milieu d'une nuée de corbeaux tenant son chat dans les bras. « C'est ridicule et puis, de toute façon, je ne suis pas rousse ! » dit Lisbeth en refermant rageusement le grimoire.
Mais la petite fille n'est pas au bout de ses surprises.