« La peur a tant de noms. Et soudain, j'ai l'impression de les connaître tous. Ici, dans le château de La Roche-Guyon, elle est partout. Elle rampe le long des murs, fait grincer portes et planchers, hurler les chiens et trembler les hommes. » Tir à l'arc et duel au corps à corps sont au nombre des épreuves qui attendent le jeune Michel au château de la Roche-Guyon. Mais son apprentissage de chevalier est interrompu par une série de meurtres. Guillaume, le maître des lieux, reste reclus dans son donjon alors que son épouse, la belle Morgane, semble en danger...
Prêt à tout pour la protéger, Michel percera-t-il enfin le secret du Seigneur sans visage ?
Une ancienne légende vénitienne raconte que, sous l'archipel, sommeille un monstre - dragon ou bête de l'Apocalypse - que seuls les gardiens de la lagune tiennent en respect...
Nous sommes en 1162, des ossements enfouis sous les décombres d'une église font ressurgir un passé que beaucoup auraient préféré garder secret... Quelques jours plus tard, un cadavre est retrouvé dans le canal du Rialto. Un meurtre qui entache le nom du doge Vitale Michiel II. Malédiction, crime politique ou vengeance ?
Hugues de Tarse aura besoin de toute sa sagacité et de celle d'Eleonor de Fierville pour comprendre à quel point les Vénitiennes jouent un rôle fatal dans cette sombre histoire d'amour, de jalousies et de haine.
Cette histoire commence il y a bien longtemps... à une époque où légende et réalité se mêlaient si étroitement qu'on ne les pouvait délier. Nous sommes en 960 dans les entrailles de la terre. Dans l'obscurité, quelque chose scintille... Une escarboucle couleur de vin, d'un vin rouge clair comme si l'éclat de la neige l'imprégnait : l'Orphanus. Cet « Orphelin » sera garant de l'honneur royal, puisqu'il ornera la couronne du Saint-Empire germanique. Puis il disparaîtra, se jouant des hommes, de leurs désirs et de la vanité du monde.
Sa sinueuse destinée rejoindra de nos jours celle de Sixtine Dangeli, gemmologue et cristallière, au coeur du massif du Mont Blanc.
Pour Sixtine, tout commence par un homme qui frappe à sa porte en pleine nuit.
Un montagnard dans lequel elle reconnaît son grand-père Bartolomeo, tel qu'il apparaissait sur l'unique photo en sa possession... Fantôme ou vision prémonitoire ? Ce que la jeune femme ne sait pas encore, c'est ce que la police des montagnes va lui révéler : son grand-père a été assassiné et cette tragédie va ramener Sixtine vers une très ancienne histoire ancienne : la mystérieuse cage de fer du Vatican et les trésors de guerre nazis. Des trésors et une pierre, qui brille encore...
L'enquête de Sixtine la conduira auprès de l'historien italien Federico Valente, un homme au charme duquel elle aura bien du mal à résister.
Au coeur des glaciers des Alpes, entre l'Italie, l'Allemagne, la Bohême et la France, c'est un immense et incroyable voyage que nous fait découvrir l'Orphanus.
Du Moyen Âge au XXIe siècle, le temps de la pierre transcende celui des hommes.
Paris, hiver 1587. La glace a figé les eaux de la Seine, les miséreux envahissent les rues. Au Louvre, le premier valet du roi trouve sur la table de chevet d'Henri III une figurine de cire percée d'aiguilles et une bougie d'envoûtement. Le jeune commissaire Jean du Moncel devra mener l'enquête au plus près du pouvoir mais surtout découvrira une nouvelle facette de cet art étrange qu'est l'alchimie. Une fois de plus, sorcellerie et médecine se côtoient, le passé et le présent se mêlent, séparant Jean de son amante, la mystérieuse Sybille, disparue sans laisser de traces dans le dédale de la Cour des Miracles.
La femme sans tête.
Paris, 1581. Jean du Moncel, jeune commissaire au Châtelet, est sur les traces d'un tueur de prostituées. Le corps décapité de l'une d'elles le mène jusqu'à Théophraste Le Noir, médecin qui, replié dans son laboratoire avec sa fille Sybille, cherche sans relâche le secret alchimique de l'Élixir de Vie. Sorcellerie ? Rites occultes ? Machination ? L'alchimiste est-il le monstre que poursuit Jean, ou bien l'humaniste en avance sur son temps que défend passionnément sa fille ?
L'homme au masque de verre.
Paris, 1584. Jean du Moncel est chargé d'enquêter sur un vol de cadavres au gibet de Montfaucon. Une affaire qui va le ramener, bien malgré lui, vers l'alchimie et ses mystères et le remettra sur la trace de celle qu'il n'a jamais cessé d'aimer, la fascinante et singulière Sybille le Noir.
Le souffleur de cendres.
Paris, hiver 1587. Au Louvre, le premier valet du roi trouve sur la table de chevet d'Henri iii une figurine de cire percée d'aiguilles et une bougie d'envoûtement. L'enquête de Jean du Moncel le mène au plus près du pouvoir et lui fera surtout découvrir une nouvelle facette de cet art étrange qu'est l'alchimie. Une fois de plus, sorcellerie et médecine se côtoient, le passé et le présent se mêlent, séparant Jean de son amante, la mystérieuse Sybille, disparue sans laisser de traces dans le dédale de la Cour des Miracles.
Et un texte inédit : Le Fils de la lune.
Le commissaire au Châtelet Jean du Moncel est chargé d'enquêter sur un vol de cadavres au gibet de Montfaucon, dans le Paris de 1584, et croise la route de la fascinante Sybille le Noir.
Paris, en l'an 1584. Une année troublée par la mort de Monsieur , le frère du roi et par l'assassinat du prince d'Orange, un mois d'octobre avec des pluies de sang en Anjou et la peste à Chenonceau. Tandis que rumeurs et pamphlets circulent sur les pratiques occultes du roi Henri III et de la reine mère Catherine de Médicis, le jeune commissaire au Châtelet Jean du Moncel est chargé d'enquêter sur un vol de cadavres au gibet de Montfaucon. Une affaire qui va le ramener, bien malgré lui, vers l'alchimie et ses mystères, mais aussi vers les envoûteurs et sorciers au service des puissants. Une enquête, enfin, qui le remettra sur la trace de celle qu'il n'a jamais cessé d'aimer, la fascinante et singulière Sybille le Noir.
Dans le Paris du XVIe siècle, Théophrastus, médecin et alchimiste, doit affronter les haines déclenchées par sa pratique. Bientôt, l'un de ses patients, un mignon en vue à la cour de Henri III, est retrouvé mort. Jean du Moncel, un jeune lieutenant de police, mène l'enquête. Il tombe sous le charme d'Aude, la fille de Théophrastus, bien décidée à lui apporter son aide.
Quand, en l'été 1156, débute ce cinquième épisode de la saga de Tancrède le Normand, des siècles ont passé depuis la domination des Grecs et des Romains, mais les étendues sauvages de l'intérieur de la Sicile sont restées inchangées. C'est dans ce pays de légendes, entre villa romaine et temples grecs, qu'est découvert le cadavre atrocement mutilé d'une servante. La "bête", homme ou démon, fait régner la terreur en s'attaquant aux filles et aux femmes qui ont la malchance de croiser son chemin. Pour la première fois de sa vie, Tancrède d'Anaor, le disciple de Hugues de Tarse, se trouve seul face au crime et doit, tout en se débattant dans les affres d'une passion tumultueuse, débusquer celui qui le défie. Il ne peut se douter que c'est bien plus que sa vie qu'il risque en se lançant dans la traque du monstre dont seul le sang des ombres peut apaiser la fureur...
En ce printemps 1163, alors que Tancrède d'Anaor et le bédouin Rafik s'évadent des geôles d'Alep, l'ost du roi de Jérusalem attaque l'armée du sultan Noureddin sous les remparts du Crac des Chevaliers Hospitaliers. A quelques lieues de là, à Antioche, une patrouille découvre des cadavres à la bouche tordue par une terrible agonie. L'occasion pour le Normand de mettre en pratique l'enseignement de son maître Hugues de Tarse. C'est au coeur de cette enquête où se mêlent les intérêts de Byzance, de Venise, de Gênes et de Pise, qu'il croisera Naïri, la princesse Arménienne dont le regard couleur de Nil hantait ses rêves bien avant leur rencontre.
En ce mois de juin 1156, quand commence le quatrième épisode de " La Saga de Tancrède le Normand ", les prisons de Palerme résonnent de cris de souffrance et d'agonie. Les ennemis du royaume de Sicile sont légion, et le palais royal est en proie à une série de crimes mystérieux. C'est pourtant le moment que choisit Hugues de Tarse pour présenter son protégé à la cour, et c'est en enquêtant dans cette " ville dans la ville " qu'est le palais, ses jardins enchanteurs, son harem envoûtant ou ses geôles sordides que le jeune Tancrède d'Anaor va prendre, au péril de sa vie, la mesure de l'enjeu politique que représente son illustre lignée. Mais Eleonor de Fierville est prisonnière, et l'inquiétante silhouette du chevalier noir jamais loin. Par amour pour la première et par haine pour le second, Hugues va arriver à un tournant de sa tumultueuse existence. Et il se pourrait bien, s'il y survit, que pour Tancrède, la fin de cette aventure soit un nouveau commencement.
nous sommes en avril 1156 à barfleur, six mois après le tumultueux séjour de tancrède et de son maître hugues de tarse au château de pirou.
alors qu'une mystérieuse série de meurtres sème la terreur dans le port, les deux hommes embarquent sur un navire de guerre normand placé sous la garde d'une élite de combat les guerriers fauves. mais gagner la méditerranée par voie de mer quand on transporte un trésor offert par henri ii plantagenêt à guillaume 1er, roi de sicile, est un long et périlleux voyage. embuscades aux escales, tempêtes, récifs, attaques de pirates, les dangers ne manquent pas pour hugues et tancrède, surtout quand un membre de leur équipage est retrouvé mort, sa peau gravée de lettres de sang.
la sicile est au bout du voyage quand débute ce troisième volet de la saga de tancrède le normand.
mais, au printemps 1156, la méditerranée recèle plus d'un piège pour les deux navires de guerre partis des semaines plus tôt de barfleur. hugues de tarse et tancrède d'anaor devront une fois encore combattre côte à côte pour survivre tant aux tempêtes qu'à l'assaut des pirates barbaresques. mais les pièges les plus redoutables ne sont pas les plus visibles. un navire rôde alentour, menaçant, inquiétant, à l'image de celui qui le dirige et qui se fait appeler le diable de la seudre.
un homme qui n'en est presque plus un et qui, assoiffé de vengeance, risque fort de ne pas emprunter seul la route qui le mène vers l'enfer.
En cette année 1160, l'Etna gronde et un tremblement de terre ébranle la Sicile d'est en ouest. Alors que s'élabore un traité avec le doge de Venise, ces soubresauts de la nature seraient-ils les signes annonciateurs des bouleversements à venir ? Car l'on conspire à Palerme et c'est à la vie du trop puissant chancelier du roi Guillaume Ier que l'on en veut. Pris dans les mailles du complexe jeu politique du royaume normand, pour la première fois de leur existence, Tancrède d'Anaor et son maître Hugues de Tarse se retrouvent face à face. Hugues, dont l'amour qu'il partage avec Eleonor, son épouse, est mis à rude épreuve, est accusé de crime contre l'État. Et c'est un nouveau pan de la prophétie dont les termes jalonnent le destin du jeune Tancrède qui se joue.
La jeune romancière Gabrielle Dancel épouse Philip Sedley qu´elle a rencontréà Cherbourg lors d´une séance de dédicaces. Après leur voyage de noces en Italie, ils reviennent vivre au château de Tourlaville dont, enfant de la région, garçon manquéélevée sans le sou par une grand-mère analphabète, elle rêvait de devenir la châtelaine. Son enfance campagnarde a été bercée par le récit des drames qui se sont déroulés dans ce château dont elle peine aujourd´hui à prendre possession. C´est un monde nouveau et déroutant qu´elle découvre, avec ses codes, ses non-dits, ses serviteurs et un époux plus mystérieux qu´il n´y paraissait de prime abord. Un monde dans lequel la jeune femme puise le sujet de son prochain roman, directement inspiré de l´histoire authentique de Julien et Marguerite de Tourlaville, un frère et une soeur qui, au 16e siècle, ont vécu jusqu´à la mort un amour qu´on ne sait s´il ne fut que tragique ou incestueux. Dès lors, Gabrielle, habitée par son roman en cours, semble vivre à cheval entre le présent et le passé, et l´arrivée au château de Terry, la soeur de Philip, dont elle ne soupçonnait même pas l´existence, va jeter la confusion dans son esprit. L´Histoire est-elle en train de se répéter ou bien l´angoisse qui monte en Gabrielle est-elle le fruit de son imagination ? Drames, folie, amours tragiques... N´est-ce pas le château lui-même qui, à travers les siècles, s´en prend sans relâche à ses habitants ?
En ce mois de septembre 1155, la Mort s'invite au château de Pirou. Tancrède et son maître Hugues de Tarse sauront-ils démasquer le mystérieux assassin ? Tancrède verra-t-il se réaliser la prophétie : Vous irez loin, fort loin, messire. Par terre et par mer, vers des pays où les femmes sont si belles qu'on les enferme, vous serez prince parmi les princes, et mendiant aussi... ?
Un personnage attachant, qui n'a sûrement pas fini d'étonner les lecteurs Michel Parouty, Les Échos
La peur rôde autour du château de Coucy. Paysans et serviteurs meurent, frappés d'un mal étrange. Le feu qui les dévore est-il une punition divine ou bien une manifestation du diable lui-même ? Il faudra à l'écuyer Michel de Gallardon bien plus que son courage pour affronter ce terrible adversaire, contre lequel ni les épées ni les plus hautes murailles ne peuvent rien !
« Tu ne te rends pas bien compte que tu es rentré dans une nasse mieux qu'un poisson ! Ici, on danse, on mange et on boit pour oublier que le diable rouge nous guette... Sauf qu'on ne pense qu'à lui et qu'on ne parle que de lui ! » Après Le Seigneur sans visage et La Nuit du loup vert, voici le troisième et dernier volet de la trilogie d'Au temps noir des fléaux, les aventures de l'écuyer Michel de Gallardon.
C'est sur les terres de l'abbaye de Jumièges, où rôdent des créatures des ténèbres et où d'étranges rites druidiques enflamment les bûchers de la Saint-Jean, que notre jeune écuyer, Michel de Gallardon, et la jolie Héloïse devront affronter la sorcellerie du loup vert...
Mais les pires monstres ne sont pas forcément ceux que l'on croit. "Il y avait tant de légendes autour des loups, à commencer par celle de la métamorphose d'hommes en loup garou, les nuits de pleine lune... Je refusais de croire à tout cela pourtant un frisson se propagea de mes reins à ma nuque... Quelque chose se tenait derrière moi".
« Les flics doivent me chercher partout.
Partout, sauf ici. Ils ne pourront pas imaginer que moi, l'étranger, le gaijin, je me suis dissimulé dans la gare Shinjuku de Tokyo. Il y a là des centaines de cartons alignés le long des souterrains, des cartons habités par des humains qui rangent leurs chaussures à l'entrée. Le mien, c'est un carton Sony. Ça fait deux nuits que j'y dors, fuyant ce qui a fait de moi un architecte et... un assassin. » C'est en virtuose du polar que Viviane Moore nous entraîne une nouvelle fois au Japon, dans l'univers trouble d'un architecte que phobie et passion amoureuse mèneront à l'irréparable...
Tandis que s'élèvent de lugubres incantations et que brûlent les feux trompeurs, des navires aux cales chargées d'ambre, de tissus précieux, de fourrures et de sel disparaissent. Des hommes sont sauvagement massacrés, des innocents torturés...
La peur et la haine se répandent aux confins du duché d'Aquitaine.
De Blaye jusqu'à Talmont, le chevalier Galeran de Lesneven devra affronter seul les périls d'une contrée étrange où se mêlent les mystères du dragon et du grand fleuve, les rites des sorcières et la férocité des naufrageurs...
«Il était peintre... et mendiant. Il peignait l'eau. Où qu'il soit, il avait toujours peint l'eau, cet élément instable, fuyant.
C'est lui qui, le premier, remarqua le cadavre. Il le scruta avec attention, non parce qu'il était surpris, ou effrayé, mais parce que son métier de peintre lui avait appris à regarder.
Viviane Moore nous immerge ici dans le premier volet d'une série de polars urbains sauce Wasabi.
L'inspecteur Tanaka, les Otaku, un corps jeté dans la Sumida - la rivière qui traverse Tokyo - une série de meurtres rituels, une tête retrouvée sur l'ancien champ d'exécution des shogun...
Ce Japon-là n'a guère l'épure des jardins zen ni la lenteur des danses buto. Tokyo des ténèbres se dégustera plutôt tel un saké brûlant dans l'ambiance sous néons de bars Tokyoïdes ultra-modernes...
En 1134, un incendie a ravagé la bonne ville de Chartres. Les causes du désastre - ou leurs auteurs - n'ont jamais été découvertes.
Mais dix ans plus tard, Galeran de Lesneven, jeune chevalier breton et fin lettrré, soupçonne le criminel de hanter toujours les lieux du sinistre. Alors que des centaines d'ouvriers édifient la grande cathédrale à la gloire de Dieu, Galeran fait connaissance avec l'enfer dans les bas-fonds de la ville, où écorcheurs, prostituées et assassins se livrent une bataille sans merci.
Créée en 1997, la collection Labyrinthes publie des romans historiques à suspense. On retrouve dans le catalogue des auteurs classiques tels que Wilkie Collins ou Emile Gaboriau, pionniers du roman policier, mais aussi un grand nombre d'auteurs contemporains : Jean d'Aillon, Viviane Moore ou encore Patrick Weber. Source inépuisable d'événements propres à nourrir l'imaginaire romanesque, vous redécouvrirez l'histoire telle que vous ne l'avez jamais lue !
En cette année 1154, la foire de Provins bat son plein. Epices aux mille parfums, cuirs de Cordoue, étoffes de Sicile, de Byzance ou de Bagdad ornent les étals des marchands. Mais ce qui fait la richesse de la ville ne ferait-il pas également son malheur oe Pendaisons, trafic d'esclaves, monnaie noire, massacre dans une maison close... Le chevalier Galeran de Lesneven devra affronter bien des périls, dont le moindre n'est pas la mort « souriante », pour trouver le terrible secret que tous veulent posséder, et qui coûte plus que la vie des hommes qui le convoitent...