Mars 1519, Hernan Cortés, à la tête d'une poignée de conquistadors, touche aux côtes du Mexique. Après avoir brûlé ses vaisseaux, sans espoir de retour, il s'enfonce à l'intérieur des terres et découvre les fabuleuses richesses de l'empire aztèque. Deux univers que tout oppose - l'un animé par la soif de l'or, l'autre, par la crainte des dieux -, vont s'affronter. En quelques mois, le puissant état de Montezuma s'effondrera, submergé par un déluge de sang et de feu. La conquête de l'Amérique ne trouvera son premier véritable historien qu'en 1843, en la personne de l'érudit bostonien William Prescott. Admirablement servie par la traduction d'Amédée Pichot, l'Histoire de la Conquête du Mexiquefut l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle. Par son ampleur et son souffle, cette immense fresque constitue encore aujourd'hui un monument, un très grand livre d'histoire qui place son auteur au rang de Gibbon et de Michelet. L'un des principaux mérites de Prescott demeure d'avoir été le premier, avec son ami John Lloyd Stephens, le fameux découvreur des Mayas, à reconnaître le génie propre des civilisations précolombiennes.
Véritable best-seller de l'historiographie américaine dès le XIXe siècle, l'Histoire de la conquête du Mexique est le premier récit complet de la confrontation entre les conquistadors européens et les populations d'Amérique centrale au XVIe siècle. D'une érudition sans faille, William H. Prescott poursuit dans ce deuxième tome la reconstitution minutieuse des étapes qui ont mené à la fin de l'empire aztèque, jusqu'à la mort d'Hernando Cortés en décembre 1547. Son ouvrage, aujourd'hui considéré comme un classique de l'histoire du continent américain, est un des premiers à avoir mis en valeur le génie propre des civilisations précolombiennes.
aztèques et incas : deux noms qui font rêver.
il fallut attendre les années 1840 pour qu'un historien américain de boston se penchât sur l'histoire de ces fabuleux empires qui disparurent dans un déluge de feu et de sang, sous les assauts des conquistadores, à partir de 1519. véritables best-sellers au xixe siècle, admirablement traduits par amédée pichot et hector poret, l'histoire de la conquête du mexique et l'histoire de la conquête du pérou firent l'effet d'une bombe à leur parution en révélant des pans entiers de l'histoire du continent américain.
d'emblée, l'oeuvre s'imposa comme un monument. maîtrisant parfaitement toutes les sources disponibles à son époque, faisant preuve d'une érudition sans faille, william hickling prescott fut le premier historien à reconnaître le génie propre des civilisations précolombiennes. cent cinquante ans après leur publication, ses deux ouvrages sont toujours considérés comme des oeuvres de référence. ils font sans conteste de lui l'égal de jules michelet.
Contient un tableau de la civilisation inca, puis traite des premières expéditions de Pizarre et de la conquête du Pérou jusqu'au guet-apens de Cajamarca et à la mort d'Atahualpa.
Relate le siège de Cuzco, la résistance des derniers Incas au coeur des Andes, et les guerres civiles qui précipitèrent la fin des conquistadores. 150 ans après sa publication, cet ouvrage reste un classique.
Mars 1519, Hernan Cortés, à la tête d'une poignée de conquistadors, touche aux côtes du Mexique. Après avoir brûlé ses vaisseaux, sans espoir de retour, il s'enfonce à l'intérieur des terres et découvre les fabuleuses richesses de l'empire aztèque. Deux univers que tout oppose - l'un animé par la soif de l'or, l'autre, par la crainte des dieux -, vont s'affronter. En quelques mois, le puissant état de Montezuma s'effondrera, submergé par un déluge de sang et de feu.
La conquête de l'Amérique ne trouvera son premier véritable historien qu'en 1843, en la personne de l'érudit bostonien William Prescott. Long poème épique écrit dans un anglais très pur (et admirablement servi par la traduction d'Amédée Pichot), l'Histoire de la Conquête du Mexique fut l'un des plus grands succès de librairie du 19e siècle : en révélant aux Américains des pans entiers du passé de leur continent, sa parution eut l'effet d'une bombe. Par son ampleur et son souffle, cette immense fresque à la Walter Scott constitue encore aujourd'hui un monument. Ajoutons qu'elle n'avait jamais été rééditée en France dans sa version intégrale depuis la fin du siècle dernier.
Chef-d'oeuvre littéraire, ce magnifique récit est aussi et surtout, un grand livre d'histoire, qui place son auteur au rang de Gibbon et de Michelet. Maîtrisant parfaitement toutes les sources disponibles à son époque sur les Aztèques et leurs conquérants (chroniques, codex, archives inédites), Prescott est considéré comme le père de ce qu'on appelle aujourd'hui l'<>. L'un de ses principaux mérites demeure d'avoir été le premier, avec son ami John Lloyd Stephens, le fameux découvreur des Mayas, à reconnaître le génie propre des civilisations précolombiennes, jusque-là considérées comme de simples répliques des civilisations égyptienne, phénicienne ou chinoise.
Aztèques et Incas : deux noms qui font rêver. Il fallut attendre les années 1840 pour qu'un historien américain de Boston se penchât sur l'histoire de ces fabuleux empires qui disparurent dans un déluge de feu et de sang, sous les assauts des Conquistadores, à partir de 1519.
Véritables best-sellers au XIXe siècle, admirablement traduits par Amédée Pichot et H. Poret, l'Histoire de la Conquête du Mexique et l'Histoire de la Conquête du Pérou firent l'effet d'une bombe à leur parution en révélant des pans entiers de l'histoire du continent américain. D'emblée l'oeuvre s'imposa comme un monument. Maîtrisant parfaitement toutes les sources disponibles à son époque, faisant preuve d'une érudition sans faille, William Prescott fut le premier historien à reconnaître le génie propre des civilisations précolombiennes. Cent cinquante ans après leur publication, ses deux ouvrages sont toujours considérés comme des oeuvres de référence. Ils font sans conteste de William Prescott l'égal de Jules Michclet.