Une expérience artistique unique au coeur de la capitale !Fermé à la circulation depuis 2016, le tunnel des Tuileries (re)trouve des couleurs ! Sous la direction de Nicolas Laugero-Lasserre, une dizaine d'artistes - Madame, Romain Froquet, Jussi TwoSeven, Ërell, Lek & Sowat + Tcheko, Andrea Ravo Mattoni, WAR !, Sifat, Bault et Hydrane - ont été invité·e·s à réaliser d'immenses fresques autour de quatre grands thèmes : Paris, la Seine et ses quais, le Louvre et les Tuileries, les Jeux olympiques et paralympiques.Des oeuvres in situ révélées au public durant l'été 2022 et très vite rejointes par des centaines d'autres, réalisées spontanément par les graffeurs et street artistes du monde entier venus combler les espaces laissés libres. Véritable galerie d'art souterraine, le tunnel des Tuileries est le reflet, en constante évolution, de la création urbaine contemporaine.
Les oeuvres de Christo et Jeanne-Claude sont des monuments fugaces. Gigantesques par leur envergure, ils sont toujours éphémères, créés pour n'exister que pendant un temps défini et ne laisser derrière lui que des impressions uniques, inégalables. «Depuis les plus petits Emballages réalisés à Paris au début des années 1960, jusqu'au motif délicat dessiné par des centaines de branches enlacées dans un voile textile translucide... les oeuvres de Christo et Jeanne-Claude n'ont rien d'abstrait, rien d'imaginé; tout est là - corporel et tangible.» (Lorenza Giovanelli) Entre biographie, analyse critique et catalogue, cette édition actualisée remet à l'honneur la fameuse Édition collector de TASCHEN. Elle revient sur l'ensemble de l'oeuvre de Christo et Jeanne-Claude, depuis les premiers dessins et les photos de famille jusqu'aux plans des futurs projets. Des centaines de photographies et d'oeuvres originales retracent les créations du couple ces 10 dernières années, telles que The Floating Piers et The London Mastaba, et abordent les travaux en cours comme Le Mastaba, Projet pour les Émirats Arabes Unis et L'Arc de Triomphe Empaqueté, Projet pour Paris.
Avec l'importante documentation photographique de Wolfgang Volz, il forme une célébration de l'oeuvre de deux artistes dont l'imagination a touché le paysage de chaque continent.
Voilà dix-neuf ans que le M.U.R. est apparu sur un panneau publicitaire du 11e arrondissement de Paris, dix-neuf ans que des street artists de France et du monde se relayent pour y proposer une nouvelle performance deux fois par mois, dix-neuf ans que l'association se développe dans les villes de France et de Belgique. Depuis 2019, malgré les confinements et couvre-feu successifs, le M.U.R. n'a jamais cessé son activité et à aucun moment n'a pensé à baisser les bras. Aux racines de cette ténacité, on retrouve la conviction qui guidait les deux fondateurs de l'association, Jean Faucheur et Thomas Schmitt : faire vivre le street art sur les seize mètres carrés de ce panneau publicitaire, entretenir un lieu où vit une contre-culture bigarrée, incontrolable, toujours recréée.
Cette troisième collaboration du M.U.R. et des éditions Hermann livre les prestations des 74 artistes qui ont participé à cette aventure du street art entre 2019 et le premier trimestre de 2022. Autant d'oeuvres saisissantes, autant de tons de voix : couleurs enjouées, visages graves, scènes hallucinées ; toutes les sensibilités y trouveront leur compte. Ces créations font aussi office de porte-voix à des artistes inquiets des inégalités de genre, de la crise climatique, du sort des animaux et du bien-être des enfants. Un ouvrage kaléidoscopique qui inscrit sur papier des oeuvres éphémères à garder en mémoire et près du coeur.
100TAUR/2flui/Abys/Ador/Alessia et Betan/Alias Ipin/Ardif/Arnaud Liard/Asu/Blancbec/Bom.K/Brez/Cannibal Letters and Dante/Claire Courdavault/Danny Rumbl/Dawal/Delicious Brain/Der/Dino Vodoo/Does/Dyva/El Xupet Negre/Ender/Erell/Fafi/Fonki/Goddog/Halfstudio/Hayley Welsh/Homey et Timotée Li/Jean Jérôme/Jean Rooble/Jonone/Lek/Logan Hickes/L'Outsider/Kogaone/Kraken/Marko 93/Mat et Zekky/Matt_tieu/Mist/Mohamed L'Ghacham/Mono Gonzalez/Murmure/Nesta/Nubian/Onie Jackson/Parvati/Perrine Honoré/Petite Poissone/Piotr/Quentin DMR/Ratur/ReaOne/Reso/RNST/Romain Froquet/Rouge/Ruben Carrasco/Scaf/Sitou Matt/Softtwix/Soten/Steek/Swed Oner/Swiz/Tempo Nok/Théo Vallier/Toqué frères/Veks Van Hillik/War !/Zdey
Qu'il ait été pensé comme un message politique, une dénonciation sociale, ou simplement un divertissement visuel, le street art s'est emparé de l'art, discipline jusque-là réservée à quelques privilégiés, pour l'offrir au plus grand nombre. Professeur d'art, critique, et historien, G. James Daichendt présente ici le street art à travers le monde et nous montre les teintes particulières que cette forme d'art universel prend à la couleur des cultures et des coutumes locales.
De nombreuses villes en France proposent un festival, un musée, des murs, des quartiers, des visites consacrés au street art. Dans le sillage du Guide du street art à Paris, les auteurs de cet ouvrage, spécialistes des scènes locales, invitent un public de plus en plus vaste à parcourir dix villes sous le signe de l'art urbain grâce à des itinéraires conçus avec passion. Lille, Rouen, Nantes, Rennes, Bordeaux, Toulouse, Sète, Lyon, Marseille et Strasbourg, avec des échappées vers la périphérie ou d'autres villes voisines.
Des peintures géantes sur les murs de la ville, des mosaïques, des graffitis, des pochoirs... vous en avez-peut-être déjà vu autour de vous ? Mais savez-vous ce qu'est le street art ?
Quatre enfants présentent un artiste, Céz Art, son travail et ses oeuvres. Au fil des pages, ils vous guideront dans la découverte de cet "art de la rue", depuis leur projet d'école jusqu'aux plus grands musées !
Découvrez les meilleurs spots d'art urbain et de graffiti...
... à Lille, Roubaix, Tourcoing et leurs alentours grâce à ces 8 itinéraires richement illustrés :
- De la gare au Vieux-Lille, destination l'art urbain.
- À Wazemmes, l'art urbain dans tous ses états.
- De Saint-Sauveur à Moulins, Street Art XXL.
- Échappée street art AU FIL DE L'EAU et à vélo.
- Au coeur de Roubaix, renaissance par l'art urbain.
- Voyage street art autour de la Condition Publique.
- Entre art et vélo, sur les pavés roubaisiens.
- Entre friches et graff à Tourcoing.
Pour chaque parcours retrouvez :
- une carte pour se repérer immédiatement.
- un itinéraire, « Suivez le guide », détaillé rue par rue.
- des focus « À ne pas manquer » pour découvrir des oeuvres incontournables.
- des encadrés « Artiste à la une » pour comprendre la démarche des artistes emblématiques du quartier.
- de nombreuses infos pratiques pour signaler les festivals, les lieux de culture urbaine ou les adresses à visiter.
- des « Zoom » pour en savoir plus sur le street art (collectifs, associations, galeries...).
- une double-page de photos pour saisir l'identité visuelle du quartier.
Bonnes balades !
Lorsqu'en 2003 Jean Faucheur et Thomas Schmitt lancent le mur Oberkampf, l'idée semble saugrenue. Pas tant parce qu'elle concède un panneau d'affichage aux street artistes, mais parce qu'elle circonscrit une contre-culture vivante, incontrôlable, merveilleusement éprise de liberté et d'espace, pour la ramasser sur quelques mètres carrés. Seize ans plus tard, le concept « Modulable - Urbain - Réactif » a fait taire les sceptiques. Il s'exporte dans la France entière et gagne l'étranger. Les artistes se sont-ils assagis au point d'accepter de couler leurs oeuvres sur des confettis ? Les maires ont-ils gagné un double pari : maîtriser la fringale vandale en réduisant leurs frais d'aérogommage ? Plus insidieusement, s'agissait-il de vouloir baliser les champs d'expression de tagueurs sans dieu ni maître, de les récupérer en les institutionnalisant ? Heureusement non.
Ce livre est le troisième tome dédié au kaléidoscope du 107 rue Oberkampf. Il recense les oeuvres et le profil de quatre-vingts artistes qui ont rejoint la sarabande en 2016, 2017 et 2018. Ils viennent de toute la planète et proposent des images qui valsent avec le coeur du monde. Autant de pulsations qui résument les peurs, les espoirs, les joies, les esthétiques, les délires, les angoisses, les fragilités d'aujourd'hui avec beaucoup de conviction, de lucidité, de poésie et de beauté.
Le Street Art s'invite au musée à l'occasion des 20 ans du musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg. Depuis quelques années, cet « art de la rue » d'abord réservé à quelques initiés s'est démocratisé : les street artists sont aujourd'hui des artistes réputés et reconnus, y compris par les institutions muséales, à l'instar de l'artiste engagé Banksy, du photographe parisien JR ou encore du mosaïste Invader. En 2018 à Strasbourg, le musée d'Art moderne et contemporain accueille sur ses façades extérieures une fresque du collectif FAILE. Ce duo basé à Brooklyn et composé des street artists nord-américains Patrick McNeil et Patrick Miller investit depuis une vingtaine d'années l'espace public de grandes métropoles, de New York à Londres en passant par Lisbonne, avec des procédés aussi divers que le collage, le pochoir, l'installation ou encore la sculpture. FAILE s'est créé une véritable identité reconnaissable, caractérisée par un style graphique et typographique inspiré des comics et du pop art.
L'ouvrage propose de plonger au coeur du processus de création, en mettant en avant les constantes du travail artistique de ce duo. La naissance ainsi que le déroulé du projet sont explicités à travers un entretien et un reportage en images des différentes phases d'installation de l'oeuvre qui, malgré ses dimensions monumentales, est éphémère puisqu'elle n'est amenée à rester en place que pendant une année.
Le mur est le message !
Beau livre, à ne classer ni en « histoire », ni en « photos », ni en « design » et ni en « guides » car truffé de mensonges éhontés et d'avis outrageusement subjectifs.
Mais il est incontestablement sur le Street Art.
Il est aussi sur aujourd'hui, ici et maintenant.
Où est passée l'audace des pionniers au style sauvage sur laquelle s'est construit le Street Art ?
Voila que de viles oppositions voient le jour entre les puristes et les progressistes. Et les marteaux des commissaires-priseurs consacrent des artistes inintéressants en les introduisant dans le grand marché de l'Art contemporain pendant que des promoteurs immobiliers financent des performances de Street Art relayées dans la presse conservatrice.
Ah oui, et Banksy qui s'attaque au mur de Gaza !
Est-ce que quelqu'un prend tout cela au sérieux ?
D'ailleurs faut-il prendre tout cela au sérieux ?
Le Street Art ne serait-il pas qu'un gigantesque foutoir de « poker faces », de manipulation et d'ironie ?
Le numéro 227-228 de L'Homme contient deux dossiers thématiques, proposés en miroir, autour des graffitis. Deux manières d'aborder, lire, déchiffrer et interpréter ces inscriptions murales, éloquentes et énigmatiques à la fois, qui marquent tant l'espace des villes contemporaines que celui des grottes préhistoriques. Par la mise en perspective d'objets, de méthodes et de questionnements radicalement éloignés, à partir d'enquêtes menées respectivement par des anthropologues et sociologues dans des grandes métropoles d'aujourd'hui (New York, Montevideo, Téhéran et Paris) et par des préhistoriens dans des grottes du Paléolithique supérieur, ce numéro fait ressortir, en filigrane, des interrogations autour des contextes sociaux de production des oeuvres, des enjeux de patrimonialisation ou de la mobilisation des sens et des émotions.
De tout temps, capitaines d'industrie et boss du commerce transcendent leurs trajectoires par le mécénat. Une façon de partager leurs bonnes fortunes en élevant l'âme de leurs concitoyens au travers d'un soutien à toutes les formes d'arts. Cette quête formalise un rêve fraternel : celui de fédérer les coeurs et les esprits au gré des affinités esthétiques. La beauté comme ticket d'un bonheur universel. A Tours, nombre de grandes familles sacrifient à l'humaniste tradition. Parmi elles, les Duthoo. Débarqué des marches bataves, Arthur s'ancre aux bords de Loire en 1880. Il ouvre avec son épouse Germaine, née Delaleu, le Grand Bazar, rue Nationale. Le magasin se développe, croît, embellit, devient les Nouvelles Galeries, épicentre du négoce de la ville. L'aventure nourrit l'aisance d'une famille ambitieuse. Madeleine, Jacques et Jean pérennisent la dynamique économique de la dynastie. En marge des affaires florissantes, la lignée fête Jacques particulièrement. Ce peintre émule de Mondrian, Kandinsky et Paul Kleee illustre la sensibilité artistique des Duthoo. Disparu trop tôt en 1960, à l'âge de 50 ans, cet artiste complet peignait la nuit, à la lumière artificielle en écoutant dans le calme de la musique classique. Soixante ans plus tard, son aventure intérieure agit comme un facétieux clin d'oeil aux graffeurs invités au parking Gambetta. Dans ce garage à quatre niveaux, courant sur 3.000 m2 coté Monoprix en bord de fleuve, qui tutoie les reliques d'un site gallo-romain, les artistes déroulent une fresque vivante et contemporaine. Leurs graffs poétiques ou flashy réjouissent le dédale des autos. Ils brossent un jeu de l'oie où la clientèle du Monoprix puise une optimiste et insatiable curiosité.
Qui ne se souvient pas de ces affichages géants sur les murs des maisons de nos campagnes vantant les bienfaits des apéritifs Byrrh ? La marque fondée en 1866, depuis la Belle Époque et jusque dans les années 1960, a employé des centaines d'illustrateurs pour ses publicités et possède aujourd'hui le plus grand foudre de chêne du monde.
Isabelle Bonté-Hessed2 s'est emparée du livre de Bachelard, La Psychanalyse du feu, pour une performance filmée : chaque soir, soir après soir - jusqu'à épuisement du livre -, une page était lue à la lumière d'une bougie, puis brûlée, puis incluse dans de la paraffine encadrée par un cercle à broder. Ce livre d'Isabelle Bonté-Hessed2 est littéralement né des cendres de celui de Gaston Bachelard.
D'immenses visages sombres et énigmatiques surgissent sur les murs des grandes villes depuis bientôt dix ans. Les yeux mi-clos peints en blanc sur fond noir, une figure logo typique surprend par son regard sur le passant. Quelques rues plus loin, ce sont des figures féminines des années 20 aux 70's, ou des portraits qui renvoient à la lutte contre l'esclavage et pour les droits civiques qui retiennent l'attention.
Le travail d'YZ, une street artiste franco-anglaise, se construit ainsi autour de thématiques dont la ligne directrice est l'humain. Multidisciplinaire, elle manie la bombe et l'affiche pour faire sortir du mobilier urbain ces portraits vivants, vibrants, qui, grâce aux infimes variations qu'elle apporte aux traits et aux regards, laissent transparaître les histoires personnelles et le passage du temps. À la croisée de JR ou de Space Invader, YZ révèle aux yeux de tous des portraits délicats disséminés à travers le monde après avoir investi aussi des institutions culturelles comme le Palais de Tokyo, le Grand Palais, et la Fondation Cartier.
Grâce à un style percutant et engagé, elle offre une quête identitaire, guidée par l'émotion, la curiosité et la sensibilité.
Huang Yong Ping, né en 1954, est une figure majeure de l'avant-garde chinoise des années 1980, quand il fonde le mouvement Xiamen Dada, dont le mot d'ordre est « Le zen est Dada, Dada est le zen ». Véritable fondateur de l'art contemporain en Chine, ce plasticien re?alise au sein de ce groupe des actions radicales cultivant un goût certain pour le paradoxe, la déconstruction et la contestation par l'absurde. Bon nombre de ses oeuvres ont été interdites en Chine.
Naturalisé français, il vit depuis 1989 en France, où il venait participer à l'exposition Les Magiciens de la Terre en 1989.
Pour Monumenta, Ping réalise une immense installation immersive, Empires.
En pénétrant dans la Nef, le visiteur se trouve confronté à un véritable « mur » de conteneurs superposés, atteignant 17 m de hauteur sur 60 m de longueur. La variété des couleurs et des inscriptions, dénotant de provenances des quatre coins du monde, matérialise puissamment la réalité actuelle de l'économie globalisée.
Les conteneurs sont l'instrument de la mondialisation. Ils représentent 90% du transport de marchandises. Ayant déjà servi, ils portent tous les marques d'usure des différents voyages. Ils semblent entreposés comme sur le pont d'un bateau ou dans un port, en transit entre deux voyages.
Une grue de chargement, instrument du déplacement, est posée sur ses rails. Elle complète et structure le paysage d'un immense musée transformé soudainement en cargo de marchandises, ou même en dock portuaire de transit...
Mais en contournant ces véritables pièces d'architecture, le visiteur est surpris par une présence gigantesque qui plane au-dessus de sa tête...
Cette installation représente le monde contemporain, scindé en 8 parties (8 chiffre important en Chine) qui se confrontent tels des Empires, qui réfléchissent stratégies, tactiques, politique, art et art de la guerre, volonté de pouvoir et de richesse, ruines, naissance ou renaissance des sociétés !
Ping matérialise la modification du monde, les métamorphoses des puissances politiques et économiques, l'ascension de nouvelles régions, le déclin d'anciens empires, l'apparition de candidats à la puissance et les violences que ces ambitions provoquent.
Stratégies, tactiques, politique, art et art de la guerre, volonté de pouvoir et de richesse, ruines, naissance ou renaissance des sociétés : chacun des pays, chacune des multinationales qui participent aux successions interminables de grandeur et de décadence cherchent à porter, ne serait-ce que quelques instants, un Empire.
Après Planète Street Art, Garry Hunter continue sa visite de l'Art Urbain mondial. C'est plus spécifiquement ici la décoration des espaces publiques qui combine le Street Art et le Graffiti qui intéresse ce grand spécialiste de la création hors galeries.
Quels sont les grands thèmes que les artistes chérissent, qui sont récurrents de pays en pays et que Gary Hunter nous dévoile ici ? En premier lieu, la défense des droits de l'homme en général, puis l'environnement et l'écologie en particulier, et ensuite les styles de vie, les choix de société, en rupture avec l'establishment. Beaucoup d'artistes aiment jouer avec des héros célèbres, des icônes, qui vont de personnages de BD, de dessins animés à des stars du rock, du cinéma ou de la politique. Et souvent, ils posent une rupture entre ces différents éléments pour mieux interpeller leur public, les arrêter dans leur mouvement, les figer dans leur parcours aveugle de la cité. C'est ce que nous montre Garry Hunter : à quoi sert l'Art Urbain ? A nous remettre en question là où l'on s'y attend le moins, pas dans une galerie d'art mais au coin d'une rue, en marchant sans y penser, un flash d'émotions inattendu. Tous les grands acteurs du Street Art sont ici représentés, ainsi que de nombreux inconnus. Car c'est aussi ça le Street Art, un cocktail naturel de célébrité et d'anonymat.
Ce livre rassemble 40 des plus beaux projets de fresques murales à travers le monde. Souvent conçues lors de festivals d'art urbain avec pinceaux, bombes et pochoirs, ces oeuvres aux dimensions monumentales deviennent un élément majeur du paysage urbain aujourd'hui.
De 108 à WK Interact en passant par Shepard Fairey, Twoone, Fintan Magee ou encore Boris Tellegen, vous saurez tout sur la scène internationale du moment. Avec Le Guide de l'art contemporain urbain 2015, Graffiti Art Magazine signe la 4e édition de son hors-série annuel dédié aux 100 artistes internationaux qui ont marqué l'année 2015 sur le marché de l'art (avec au moins une exposition personnelle en galerie dans l'année écoulée et une carrière à l'international).
Comme à son habitude, la publication de 244 pages met en avant une sélection d'oeuvres de 100 à 100 000 euros afin de savoir combien coûtent vos artistes préférés, ainsi qu'un index mondial des galeries proposant de l'art urbain, mis à jour. Pour la deuxième année consécutive, le Guide revient sur les ventes aux enchères spécialisées ou ayant proposé des oeuvres d'art urbain entre le dernier trimestre 2014 et le deuxième trimestre 2015, l'occasion de revenir sur les moments forts du marché et d'en comprendre les mécanismes.
Enfin, forts de leur expérience de plus de vingt ans dans le milieu de l'art urbain, pour la première fois, les membres de la rédaction de Graffiti Art ont souhaité concocter un guide pratique à destination des collectionneurs : pourquoi collectionner l'art urbain ? comment s'informer ? Acheter en galerie ou en salle des ventes ? quels sont les artistes à suivre ? comment financer sa collection ?
Sous la direction de Samantha Longhi & Nicolas Chenus. Anna Bochu, Christian Omodeo, Daphné Polski, Élodie Cabrera, Maxime Delcourt, Maxime Gasnier, Samantha Longhi, Sophie Pujas, Vittorio Parisi.
From witty road signs to bold painted street bollards, cute cartoons to politically inspired wall paintings, street art is colourful, vibrant, diverse and exciting. Now, you can create your own. Paint your own wall art, create your own billboards or transform road signs into colourful cartoons within the pages of this book. Transform your surroundings and distort street publicity. The Street Art Activity Book is filled with pages of city canvases on which to create your own graffiti masterpieces. Profiles of the most creative street artists in the world provide inspiration and explain how to be inspired by the shapes and colours on the streets and interact with the city surroundings. Discover the greatest graffiti artists transforming the urban landscape and bring your creativity to the street with a stroke of the brush or pencil.
Catalogue d'exposition "L'Atlas", galerie At Down, 2017.
Le calendrier 2018 officiel de Street Art Magazine vous propose 13 oeuvres de street art réalisées entre Los Angeles et Antibes, en passant par Paris, Antsirabe et Katmandou. Une compilation magnifique pour une année sur le thème de la protection des animaux. D'un commun accord, artistes, photographes, auteurs et éditeurs ont décidé de reverser leurs droits à Sea Shepherd France. Sea Shepherd est une organisation internationale à but non lucratif de conservation de la faune et de la flore marines.
Par ses actions directes, sa mission est de mettre un terme à la destruction des fragiles écosystèmes marins et au massacre des espèces, dans Le but de sauvegarder notre biodiversité pour les générations futures. Les droits liés aux ventes de ce calendrier aideront à financer l'opération "Mare Nostrum" pour le retrait des équipements de pêche fantômes et autres déchets des eaux de la Méditerranée.