de breyne jean
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Les nouveaux papas ; engagez-vous pleinement dans votre paternité !
Mathias de Breyne
- Hatier Parents
- 10 Cles
- 3 Juin 2020
- 9782401039483
Nous n'avons jamais vu autant de papas à la sortie des écoles, dans les aires de jeux, dans les activités extrascolaires. Si les choses ont réellement changé, c'est justement parce que certains de ces pères, les « nouveaux papas » se sont rendu compte combien l'enfant était en attente de cela, d'une part, et combien ils étaient eux-mêmes dans une attente de paternité. Aujourd'hui, la société évolue, le père a un défi merveilleux à relever : prouver qu'il peut être papa à temps plein, à la hauteur de la tâche, au rendez-vous de son enfant.
Ce livre contient :
Des éclairages sur la paternité : comment s'y préparer, s'impliquer, accompagner son enfant dans tous les stades de son éveil, sans laisser les clichés ternir ce rôle. Une multitude de conseils efficaces et éprouvés qui complètent ces 10 clés pour réinventer le quotidien, grandir avec son enfant et resserrer chaque jour davantage le lien.
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Un petit garçon se met dans la peau de son papa et imagine leur quotidien à tous les deux... Leurs rôles et responsabilités sont inversés le temps d'une journée : quand l'un noue sa cravate avec soin, l'autre veut garder son pyjama Hulk pour l'école ; quand l'un joue aux petites voitures, l'autre peaufine la liste de courses pour la semaine. un garçon, son papa : oui, mais le petit garçon n'est pas celui qu'on croit !
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Blanca Argentina : M. ou le portrait de M. au moment
Jean de Breyne
- Artgo & Cie
- Au Coin De La Rue De L'enfer
- 15 Octobre 2021
- 9782919642472
« J'aimerais, aujourd'hui, savoir écrire quelqu'un en une ou deux pages. Écrire. Récit, Roman ? Je pense à M. que je voudrais écrire. Un portrait. Comme ça. » Couverture illustrée par Joël Frémiot.
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Les animaux ne sont pas obligés
Mathias de Breyne, Charles Dutertre
- Magnard
- 13 Octobre 2020
- 9782210969667
Les crocodiles ne sont pas obligés d'aller chez le dentiste. Les vaches ne se font pas obligées d'arrêter de faire pipi au lit. Les girafes ne sont pas obligées de lever la tête pour parler aux adultes. Les mouches ne sont pas obligées de porter des lunettes. Les fourmis ne sont pas obligées de ranger leur chambre. Les chauves-souris ne sont pas obligées de se coucher tôt... encore une petite ? Les cochons ne sont pas obligés de se tenir bien à table.
À travers une galerie cocasse d'une quarantaine d'animaux, les enfants découvriront avec humour, les nombreux avantages d'être un animal plutôt qu'un enfant soumis à toutes sortes de devoirs.
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étude de chaos
Mathias de Breyne, Guillaume Boppe
- Nuit Myrtide
- Projet Autographie
- 18 Octobre 2010
- 9782913192898
Un joli texte: pose tout sur la table on va trier, et avec style. Une bonne et belle approche des paysages intérieurs, de leurs lisières. Et cette question de l'écriture à quatre mains, collective, qui tarabuste nuitmyrtide depuis un bout de temps, trouvant là une occurence supplémentaire. Je paufinerai la notice après, avec le temps, en attendant je vais le relire illico presto.
Et en parlant de lecture, le texte est sorti à Nimes pour une lecture dans un petit théatre.
On va même pouvoir bientôt en mettre des morceaux ici.
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Les poètes Vanda Mikšic et Jean de Breyne (s')écrivent durant leurs déplacements de voyage, dans l'autobus, dans la voiture, dans le train, dans l'avion. Dans ce livre deux années d'une correspondance décidée : un ensemble de poèmes écrits chacun, d'elle et de lui en voyage, et chaque fois immédiatement envoyés elle à lui, lui à elle. Par voie électronique la plupart du temps. Ils écrivent le poème Des transports.
Livre fait de sensations, de rencontres, de réflexion sur le voyage, l'écriture, la traduction, deux poètes parlent de leur "transport"pais aussi de l'amitié.
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« Je suis un homme Frigo. » Le frigo, objet pratique tout autant que symbolique, ici au coeur d'un délire allégorique très argentin dans l'esprit, celui d'un homme qui devient littéralement frigo.
Le narrateur vit dans un appartement italien de Buenos Aires ; peu à peu, son obsession des frigos, qu'il se met à collectionner, l'entraîne dans une forme de délire le poussant à s'immiscer dans l'un d'eux, pour n'en plus ressortir. De là, entre réflexion et petits gestes du quotidien, nous l'entendons monologuer, ou plutôt dialoguer, nous raconter ce qui l'entoure, ce qu'il a vu aussi, dans ses longues déambulations, exposant les zones d'ombre et l'étrange magie de cette partie du globe, l'Amérique latine.
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Il y a des voyages qu'on préférerait ne pas faire.
Des voyages dont on se dit qu'ils ne valent pas la peine d'être vécus, car on croit en connaître tous les recoins, toutes les fins et les peines. pourtant, même si on aurait voulu éviter ce long voyage-là, celui d'un ami parti trop tôt, on réalise qu'il s'agit d'un des plus beaux voyages de la vie ; ce voyage incessant, ce voyage de l'accompagnement et non de l'éloignement que l'on vivra avec l'ami parti non pas pour toujours, mais avant nous.
Deux choix se présentent alors: laisser l'ami voguer seul, à tout jamais, ou voguer avec lui - comme avant -, et passer, ensemble, d'un monde à l'autre, les deux n'étant désormais qu'un. avec en voyage avec mon ami mort, mathias de breyne, géographe des sentiments, nous offre une ode bouleversante à l'amitié et à l'errance, convaincu que la mémoire est une longue rue paisible qui mène à un petit pont en bois.
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Quotidien heureux d'un père et de son bébé
Mathias de Breyne
- Sciences Humaines
- Accent Aigu
- 20 Février 2014
- 9782361060497
Rafraîchissant ! Voilà un livre qui n'engendre pas la mélancolie ! L'histoire d'un père qui raconte avec fougue et brio sa vie avec son bébé. Banal ? Pas du tout : à chaque instant, on suit ce duo avec intérêt et on a envie de connaître la suite. Car la vie - ou plutôt ces vies - ne sont pas de tout repos. Racontés par Mathias de Breyne, ces moments de la vie d'un père et de son enfant se déroulent sous sa plume vive et alerte, comme autant d'épisodes passionnants ou émouvants : chaque moment, chaque geste, chaque rencontre, chaque émotion est source de réflexion, d'émerveillement, de fou rires. S'ajoute à cela le côté cosmopolite de la vie de l'auteur qui jaillit à toutes les pages. Beaucoup de livres existent sur la vie quotidienne des bébés, écrits par des femmes et trop souvent uniquement pour des femmes. Le livre de Mathias de Breyne est donc un texte rare et précieux où il est question. in fine, d'instinct paternel.
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Derrière le dialogue entre intervieweur et interviewé qui court tout au long du livre, se révèle vite l'introspection ludique d'un auteur qui utilise cette forme vivante afin, réellement, de s'interroger sur son écriture, sur son existence et sur le monde auquel les deux sont confrontées.
La spontanéité et la complicité des deux voix, parfois leurs taquineries, leurs attaques à fleuret moucheté, soutenues par de savoureuses inventions langagières, amènent le lecteur à se prendre d'amitié pour ces "deux" compères et peut-être ira-t-il jusqu'à s'identifier à eux, se voyant lui aussi croqué par ce jubilatoire autoportrait collectif. Car, dans ce jeu subtil où l'humour et l'autodérision ont la part belle, c'est bien nos aspirations à tous, nos élans, mais aussi nos fragilités qui sont évoqués, même si la vie de l'auteur est clairement ancrée dans un temps et dans un lieu : le Buenos Aires et l'Argentine d'aujourd'hui, dont l'atmosphère imprègne et pimente le livre, ajoutant encore à son originalité.
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Le monde est un joyeux pilon. Pilonnage de livres, pilonnage humain et pilonnage constant de notre planète. Dans cet "essai fictionnel"- livre hybride, à la frontière du roman et de l'essai - Mathias de Breyne nous parle de lui auteur, de son livre, de leur relation amoureuse et charnelle, très ambiguë. Dans une langue truculente, il nous entraîne dans une aventure loufoque où l'auteur s'autopilonne avec son livre, s'ébat érotiquement avec lui page après page et où, ensemble, sans doute dans l'attente du pilon, ils bavardent en observant notre monde abîmé et en tentant de tisser des fils de mots avec les lambeaux de ce qui n'a pas été totalement détruit.
A quoi sert d'écrire finalement si ce n'est préserver l'illusion de se prendre pour un arbre millénaire.
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Ruée vers l'homme
Mathias de Breyne
- Editions Du Cygne
- Le Chant Du Cygne
- 3 Janvier 2011
- 9782849242117
L'errance dans la rue, son importance cruciale, en accompagnatrice et témoin de la quête d'un être troublé et marqué au fer rouge par la vision de son père faisant corps avec elle, jour et nuit, et qu'il (pour)suit obsessionnellement, sans jamais l'approcher, qu'il observe de loin. On devine que la distance physique n'est que le reflet d'une incapacité à faire autrement, la douleur en filigrane, le schéma d'une relation où le fils n'a jamais pu « atteindre » le père, même en des temps lointains où celui-ci n'avait pas élu domicile dans la rue. Des lettres du fils au père, du père au fils, non lues par les destinataires, ajoutées à l'évocation des lettres de la mère, amorcent des dialogues, développent en de longues introspections l'attente de l'autre, la blessure de l'absence. Et dans cette quête du père se dessine un univers peu à peu transfiguré, fantasmagorique. Dans l'atmosphère de présence/absence qui préside aux rapprochements filiaux, la rue en devient un personnage avec lequel le héros dialogue, et le moyen par lequel le père et le fils « se voient l'un dans l'autre ». D'autres rapprochements s'y manifestent par l'expérience similaire où ils côtoient des êtres souffrants, un homme qui tremble, une femme en larmes, ou quand ils s'entretiennent par personnes interposées. La rue étant le lieu des rencontres possibles, des entrevues muettes, où le héros chemine, que ressort-il de ces épreuves ? Un cri : « J'ai envie de vivre ! »