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emma lavigne
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Nouveau musée parmi le réseau de lieux et d'initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, la Bourse de Commerce - Pinault Collection propose un point de vue sur les oeuvres contemporaines que le collectionneur rassemble depuis plus de cinquante ans, à travers un programme d'expositions et d'événements. Le regard du collectionneur La collection, un ensemble exceptionnel de plus de 10?000 oeuvres de près de 350 artistes, est constituée de peintures, de sculptures, de vidéos, de photographies, d'oeuvres sonores, d'installations et de performances. Les artistes dont François Pinault collectionne les oeuvres sont issus de tous les pays et représentent toutes les générations. Ils explorent tous les territoires de la création et témoignent de l'attention toute particulière portée par le collectionneur aux courant émergents. Cet ensemble, dédié à l'art des années 1960 à nos jours, offre un regard sur l'art de notre temps, le regard d'un passionné, un regard subjectif, qui contribue à saisir notre époque. Un parcours sans cesse renouvelé, une collection en mouvement La collection est présentée à travers un programme dynamique d'accrochages temporaires régulièrement renouvelés?: expositions thématiques à partir des oeuvres de la collection, expositions consacrées à des artistes présents dans la collection, mais aussi cartes blanches, projets spécifiques et commandes. La Bourse de Commerce - Pinault Collection offre dix espaces d'exposition dont le Studio, consacré aux oeuvres sonores, vidéo, et aux formes plus libres, des espaces de médiation, mais aussi un auditorium accueillant conférences, rencontres, projections, concerts et événements. Ouverte à tous les publics et à toutes les disciplines artistiques, aux oeuvres qui font déjà l'histoire de l'art contemporain comme aux artistes les plus émergents, la Bourse de Commerce - Pinault Collection accueille les connaisseurs comme les découvreurs et les curieux. Elle leur propose de s'ouvrir à l'art et à l'histoire de l'art contemporain, quel que soit leur niveau de relation à la création ou leur expérience, quelles que soient leur expertise et leur compréhension des oeuvres. Cycle «?Une seconde d'éternité?» La mise en lumière des affinités créatives, d'hommage ou d'influence plus ou moins explicité, est au coeur du projet de la Collection Pinault. Ces relations souvent confidentielles sont des clés structurelles décisives pour comprendre le travail des artistes L'exposition inaugurale «?Ouverture?» avait déjà souligné ces affinités spirituelles et artistiques en exposant Peter Doig et son ancien étudiant Florian Krewer, Lili Reynaud Dewar et l'une de ses inspiratrices Martha Wilson, Luc Tuymans et Kerry James Marshall, ou encore le portrait en cire de Rudolf Stingel réalisé par Urs Fischer.
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14e biennale d'art contemporain de Lyon ; mondes flottants
Emma Lavigne
- Les Presses Du Reel
- 18 Septembre 2017
- 9782840669739
Le catalogue de la 14e édition de l'exposition internationale, conçue par Emma Lavigne autour du thème de la vie moderne : une biennale qui se déploie à travers six parcours, comme un voyage au sein d'un archipel d'îlots, avec plus de 50 artistes du monde entier.
Depuis sa création en 1991, Thierry Raspail, directeur artistique de la Biennale de Lyon, propose un mot aux commissaires qu'il invite. C'est à partir du mot « moderne », et à la suite du commissaire Ralph Rugoff lors de la précédente édition, La vie moderne, 2015, qu'Emma Lavigne, directrice du Centre Pompidou-Metz, construit le parcours de la 14e Biennale de Lyon.
C'est dans le contexte d'une mondialisation galopante générant une constante mobilité et l'accélération des flux, cette « liquidité » du monde et des identités analysée par le sociologue Zygman Bauman, qu'elle explore l'héritage et la portée du concept de « moderne » dans la création actuelle, selon la définition qu'en fit le poète Baudelaire, qui envisage le moderne comme « le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l'art dont l'autre moitié est l'éternel et l'immobile ». La présence des sons, du paysage imaginaire Rainforest de David Tudor aux bruissements du monde diffusés par la tour de Babel de l'artiste brésilien Cildo Meireles, certaines oeuvres restent délibérément ouvertes, dans la lignée des oeuvres majeures de la modernité, tels le Livre de Mallarmé, laissant transparaitre la pensée de Luigi Pareyson définissant l'oeuvre « comme l'ouverture d'un infini qui s'est rassemblé dans une forme » et celle d'Umberto Eco qui, dans son ouvrage L'oeuvre ouverte, 1965, analyse l'oeuvre d'art comme un « champs d'événements ouvert au hasard d'un devenir accidentel ». La Biennale se déploie comme un paysage mobile et atmosphérique en expansion, qui se recompose sans cesse, à l'image de certains chefs-d'oeuvre de la modernité provenant, dans le cadre des quarante ans de l'institution, du Centre Pompidou-Musée national d'art moderne, tels que la partition aléatoire de formes suspendues dans l'espace de Calder, ou les peintures de Fontana ouvrant sur des cosmogonies infinies. Le White Cube se fissure, se mue en organisme, en une constellation, ou d'Hans Arp à Ernesto Neto, de Lygia Pape à Daniel Steegmann Mangrané, l'art et l'espace se biomorphent, s'ouvrent sur des projets qui remettent en cause l'abstraction de la modernité européenne afin d'en réévaluer la portée, à l'échelle du monde. C'est au coeur d'un territoire dont l'identité s'est en partie façonnée par l'omniprésence de l'eau, dans cette ville « née des eaux », traversée par le Rhône et la Saône, que la Biennale d'art contemporain 2017 s'arrime, en réactivant l'imaginaire dont ce fleuve et son affluent sont porteurs, générant une topographie archipélique. A l'image de la voile blanche White Wide Flow de Hans Haacke ou les cerfs-volants de When The Sky was the Sea de Shimabuku, les Mondes flottants de la Biennale de Lyon sont traversés par le vent des soulèvements libertaires, des fulgurances poétiques et déflagrations esthétiques contemporaines.
Publié à l'occasion de la 14e Biennale d'art contemporain de Lyon, du 20 septembre 2017 au 7 janvier 2018 (www.biennaledelyon.com).
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Céleste Boursier-Mougenot est un artiste dont la pratique s'enracine dans une expérience musicale, à laquelle il a entrepris de donner une forme autonome au travers d'installations. En 2015, il représente la France à la Biennale de Venise et conçoit l'exposition « Rêvolutions » comme un îlot organique, avec la commissaire Emma Lavigne. Le catalogue éponyme fournit une documentation exhaustive sur le projet.
Le pavillon français est partiellement recouvert par l'écume de bruitformé, texture en expansion qui, sous l'effet de la gravité, s'écoule lentement du haut du bâtiment, épousant ses formes et transformant son architecture néoclassique en un organisme mouvant, vivant, qui se développe au gré du « bruit », notion étendue à des perturbations ou flux d'informations captés et détournés pour nourrir cette persistance. Les arbres mobiles de transHumUs, fichés dans leur motte, se déplacent lentement en oscillant sur eux-mêmes. Ils inventent une chorégraphie à l'intérieur et à l'extérieur du pavillon, et engendrent leur propre partition sonore à partir des courants électriques basse tension qu'ils génèrent. Les visiteurs devenus spectateurs peuvent suivre leurs évolutions hypnotiques en se lovant dans de vastes sofas en hémicycle ou en s'immergeant dans l'océan de sons générés par les arbres, dans la pénombre de deux camera obscura qui renvoient une image renversée des arbres et des nuages.
Céleste Boursier-Mougenot ravive notre goût pour le merveilleux des jardins maniéristes italiens tout en réaffirmant sa contemporanéité et la dimension politique qui le sous-tend. Il s'agit de s'emparer des systèmes de contrôle des êtres vivants et de leurs déplacements, pour composer une oeuvre poétique où l'humain sensible semble pouvoir habiter des espaces de liberté et de beauté déviante.
Le catalogue réunit des essais de trois auteurs, Emma Lavigne, commissaire associée au projet, Emanuele Quinz, histoirien d'art, Hervé Brunon, historien des jardins et du paysage. Ces essais sont accompagnés d'illustrations de référence et prolongés par un ensemble de vues de « Rêvolutions » composé avec le flux et le temps des oeuvres comme des visiteurs.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme, Pavillon français de la 56e Exposition internationale d'arts visuels - La Biennale di Venezia, du 9 mai au 22 novembre 2015.
Présentés exclusivement dans les lieux d'art contemporain, les travaux de Céleste Boursier-Mougenot (né en 1961 à Nice, vit et travaille à Sète) sont à considérer avant tout comme ceux d'un musicien. Après avoir été compositeur jusque dans les années 1990, il entreprend de donner une forme autonome à sa musique en réalisant des installations. À partir de matériaux, de situations ou d'objets les plus divers dont il extrait un potentiel musical, il élabore des dispositifs qui étendent la notion de partition aux configurations hétérodoxes des matériaux et des médias qu'il emploie pour générer, le plus souvent en direct, des formes sonores qu'il qualifie de vivantes. Déployé en relation avec les données architecturales ou environnementales des lieux d'exposition, chaque dispositif constitue le cadre propice à une expérience d'écoute en livrant, au regard et à la compréhension du visiteur, le processus qui engendre la musique.
Céleste Boursier-Mougenot considère, en premier lieu, le livre comme de l'espace, un support pour l'expérience du lecteur, dans lequel il est question de faire entrer du temporel, le temps de la lecture.
Céleste Boursier-Mougenot représente la France à la Biennale de Venise 2015.
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Traversees kimsooja - identite, frontiere, memoire
Emma Lavigne
- Silvana
- 1 Novembre 2019
- 9788836643882
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Selections from the Pinault Collection that reflect the transcendental power of artistic imagery.
This volume accompanies an exhibition composed of works selected from the Pinault Collection that reflect the power of images in an artistic context. Artists include: Josef Albers, Maurizio Cattelan, Arthur Jafa, Donald Judd, Camille Norment, Lygia Pape and Dayanita Singh. -
Equivalent anglais du catalogue publié par les éditions du Centre Pompidou pour accompagner la rétrospective conçue avec l'artiste (23 septembre 2015 - 1er février 2016).
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L'exposition " Les Archipels réinventés " célèbre l'engagement de la Fondation d'entreprise Ricard auprès de la création contemporaine et les 10 ans du prix qu'elle a fondé en 1999.
Ce prix récompense l'oeuvre d'un jeune artiste qui est offerte au Centre Pompidou. Les oeuvres de Didier Marcel, Natacha Lesueur, Tatiana Trouvé, Boris Achour, Matthieu Laurette, Mircea Cantor, Loris Gréaud, Vincent Lamouroux, Berdaguer et Péjus et Raphaël Zarka ont ainsi rejoint les collections du Musée national d'art moderne. Cette exposition réunit pour la première fois ces oeuvres lauréates et propose un regard sur une décennie de l'art en France.
A travers elles, il s'agit aussi de faire résonner les propositions critiques des commissaires invités par la Fondation qui, de Catherine Francblin en 1999 à Nicolas Bourriaud en 2008, ont contribué à dessiner les contours et les enjeux de cette scène française en plein essor.
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Grand format 12.90 €
Indisponible
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Par le voyage, l'oeuvre de Kimsooja traverse les frontières géographiques et, parce qu'elle ne se refuse aucun medium, les frontières artistiques également. En artiste nomade attachée aux questions de l'exil, de la mémoire collective et de l'espace urbain, celle qui se proclame « femme aiguille » (A Needle Woman est l'une de ses vidéos emblématiques) se faufile entre les mailles et met à jour le tissu social et culturel des lieux qu'elle traverse. Le travail singulier de l'artiste sud-coréenne connaît un essor international dès la fin de ses études de peinture à Séoul et de gravure à Paris. Ses premières oeuvres font appel au tissu, son matériau de prédilection, du fait de ses possibilités plastiques, de sa connotation culturelle et de son ancrage dans une pratique traditionnelle. À partir de la fin des années 1990, elle entreprend un travail entre performance et vidéo, documentant les espaces et les foules au milieu desquels elle demeure figée, allongée ou de dos, conciliant voyage et immobilité. Après Bertrand Lavier, Anri Sala et Edith Dekyndt, Kimsooja s'empare des vitrines du Passage de la Bourse de Commerce. Devenues par nature l'un des dispositifs de prédilection des expositions universelles, c'est justement pour la reconfiguration du bâtiment - d'une ancienne halle à une bourse d'échanges - conduite pour celle de 1889 que les vitrines en place aujourd'hui furent installées.
« Artiste du déplacement, des traversées et d'un nomadisme fondateur, depuis son voyage en camion de onze jours - juchée sur des ballotins de fortune à travers la Corée -, Kimsooja dépose dans la Bourse de Commerce une constellation d'oeuvres couvrant près de quarante ans de sa pratique d'artiste, comme elle poserait ses bagages après un long voyage, pour habiter pour un temps dans sa trajectoire infinie ce bâtiment singulier. Nourrie de philosophies orientales, donnant forme et vie à des oeuvres qui ne sont pas des choses inertes mais des présences immatérielles flirtant avec l'invisible et l'éphémère, elle met en mouvement des oeuvres souvent sphériques, grains de sable ou graines de lin, billes de porcelaine ou de glaise, bottaris de tissus et moon jars lunaires aux couleurs de terre. »
Emma Lavigne, extrait du texte du leporello.
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Forever sixties
Emma Lavigne, Cécile Whiting, Catherine Millet, Tristan Bera
- Dilecta
- 7 Juillet 2023
- 9782373721737
Après «Debout!» (2018) et «Au-delà de la couleur» (2021) au Couvent des Jacobins, la Collection Pinault, la Ville de Rennes et Rennes Métropole renouvellent leur collaboration à l'occasion d'une exposition inédite d'oeuvres de la collection réunie depuis cinquante ans par François Pinault. À travers une centaine d'oeuvres emblématiques, dont certaines n'ont encore jamais été exposées par la Collection Pinault, «Forever Sixties» offre un éclairage sur un moment décisif de l'histoire de l'art contemporain, la révolution visuelle des années 1960, et son héritage rémanent dans la création des décennies suivantes.
De quoi les Sixties sont-elles le nom? Libération, répression, appropriation? Sous influence anglo-américaine, cette décennie se caractérise par un boom démographique et économique sans précédent, l'émergence de la société de consommation et le début de la conquête spatiale. Marquées par les conflits idéologiques, la guerre froide et les guerres de décolonisation, l'apogée violente du mouvement des droits civiques et la libération sexuelle, les Swingeing Sixties -années répressives comme intitulées par Richard Hamilton, qui joue des mots swinging (basculant, oscillant, dansant) et swingeing (drastique, sévère)- sont aussi un champ de tensions opposant conservatisme et démocratisation, culture dominante et contre-cultures alternatives, conformisme mercantiliste et rêves d'évasion.
Produit et symptôme de l'époque, résolument engagé du côté du présent, le pop art aux États-Unis et en Europe affole le regard en redéfinissant, entre 1956 et 1968, les canons d'une modernité à bout de souffle et en insufflant un esprit critique et rebelle qui continue de traverser l'art contemporain. En rupture avec l'abstraction des années 1950, le pop, ainsi que le nouveau réalisme en France, renverse les hiérarchies et fait entrer, comme par collage, dans le domaine des arts et de la pensée, les enjeux et les objets du quotidien, la société du spectacle et la publicité, la réalité des luttes politiques, féministes et raciales et l'actualité des mass media qui transforment alors le monde occidental en un village global. -
Edith Dekyndt
Emma Lavigne, Leon Kruijswijk, Vinciane Despret, Pauline Hatzigeorgiou, Florence Meyssonnier
- Dilecta
- 17 Novembre 2023
- 9782373721850
Nouvelle monographie à jour de l'artiste, fondée sur la déambulation à travers ses expositions.
Avec des textes de : Emma Lavigne, Léon Kruijswijk, Florence Meyssonnier, Vinciane Despret, Pauline Hatzigeorgiou Née en 1960 à Ypres (Belgique), Edith Dekyndt vit et travaille à Bruxelles et Berlin. Ses oeuvres proposent des expériences sensorielles basées sur l'observation minutieuse de la matière et des contextes culturels qui l'englobent.
Après des études en communication, l'artiste entre à l'école des Beaux-Arts de Mons (Belgique). Son approche s'intéresse aux objets, souvent ordinaires, qui composent le quotidien, et à leur transformation au contact d'environnements naturels et architecturaux.
Ses installations et performances intègrent des objets naturels et usinés, des photographies, des vidéos, du son et de la lumière, laquelle occupe une place centrale dans son travail. Chacun de ses projets s'ancre dans l'observation d'infimes détails, à travers lesquels des objets et des situations d'apparence quelconque deviennent à la fois sublimes et bouleversants. Ils invitent le spectateur à prendre conscience de l'équilibre précaire des phénomènes chimiques et physiques, ainsi que de la nature transitoire et fluide du monde matériel.
Ces dernières années, les oeuvres d'Edith Dekyndt ont été exposée à la chapelle Laennec (Paris), à la galerie Karin Guenther (Hambourg), à la galerie Greta Meert ( Bruxelles), à la Carl Freedman Gallery (Londres), au Wiels (Bruxelles), au Consortium (Dijon).
Ses oeuvres sont présentes dans des collections publiques et privées telles que celles du Centre Pompidou (Paris), du MoMA (New York), du Skulptur Park (Cologne), de la Crandford Collection (Londres), de l'Albright-Knox Collection (New York), du Cnap (Paris), de Pinault Collection (Paris), de la Kunsthalle Hamburg, du Buffalo Museum (USA), de Kadist (Paris) ou encore du Mudam (Luxembourg). -
Avant l'orage
Emma Lavigne, James Lingwood, Nicolas-Xavier Ferrand, Caroline Bourgeois, Jean-Marie Gallais
- Dilecta
- 17 Février 2023
- 9782373721553
De février à septembre, de l'hiver à l'automne, le cycle d'exposition "Avant l'orage", présentée par la Collection Pinault, invite à un cheminement, de l'ombre à la lumière, à travers des installations et des oeuvres emblématiques pour certaines, inédites pour d'autres, d'une quinzaine d'artistes, qui s'emparent de tous les espaces de la Bourse de Commerce. Sur fond de déréglement climatique, dans l'urgence du présent, avant que l'orage à nouveau n'éclate, les artistes de l'exposition inventent des écosystème instables figurant d'inédites saisons.
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Couples modernes ; 1900-1950
Emma Lavigne, Collectif
- Gallimard
- Livres D'art
- 3 Mai 2018
- 9782072771620
L'exposition « Couples modernes » présentée au Centre Pompidou-Metz explore les processus de création générés par les relations officielles comme confidentielles, exclusives, libres ou de simple convenance unissant peintres, sculpteurs, photographes, architectes, designers, poètes, écrivains, musiciens, danseurs, performeurs mais aussi galeristes, mécènes, critiques d'art et collectionneurs, de la fin du XIXe siècle à la première moitié du XXe siècle.
Ce catalogue, présente en ordre alphabétique, tel un dictionnaire de créateurs, le très riche parcours de l'exposition réunissant oeuvres et documents mettant en lumière, depuis Emilie Flöge et Gustav Klimt, les réalisations de couples mythiques, tels Pablo Picasso et Dora Maar, Man Ray et Lee Miller, Gabriele Münter et Vassili Kandinsky, Jean Arp et Sophie Taeuber-Arp, Eileen Gray et Jean Badovici ou encore Charles et Ray Eames. Il révèle également des collaborations méconnues et des personnalités restées dans l'ombre de leur partenaire ou négligées par l'Histoire, parmi lesquelles Marcel Moore, photographe, dessinatrice de mode et compagne de toute une vie de Claude Cahun, ou encore la musicienne et écrivaine Gabriële Buffet, femme de Francis Picabia.
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Le ciel comme atelier ; Yves Klein et ses contemporains
Lavigne Emma(Dir)
- Centre Pompidou Metz
- 8 Juillet 2020
- 9782359830583
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Dominique Gonzalez-Foerster 1887-2058
Emma Lavigne, Collectif
- Centre Pompidou
- 16 Septembre 2015
- 9782844267016
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Le jardin est demeuré une source d'inspiration fertile tout au long du XXe siècle et continue d'exercer chez nombre d'artistes une attraction profonde. Le jardin fascine, non pas tant pour ses vertus nourricières, curatives et ornementales que pour la subversion dont il est porteur. Au-delà de l'espace clos et ordonné, le jardin de cet ouvrage est celui des passions privées : trouble, licencieux et indiscipliné.
Lieu de résistance et de dissidence, d'ensauvagement comme du raffinement le plus exquis, il devient un laboratoire biologique, éthique et politique. Essentiellement contemporaines, les oeuvres rassemblées dans Jardin infini décrivent un jardin expérimental et vivifiant.
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Notre monde brûle
Sheikha Al Mayassa, Emma Lavigne, Abdellah Karroum, Fabien Danesi
- Palais De Tokyo
- 19 Février 2020
- 9782847111156
Un regard engagé sur la création contemporaine depuis le golfe Arabique, où guerres et tensions diplomatiques n'ont cessé de déterminer l'histoire de ce début de XXIe siècle (le catalogue de l'exposition, avec deux essais des commissaires, des notices largement illustrées sur le travail des 34 artistes présentés ainsi que de courts témoignages des artistes et d'autres contributeurs invités).
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Rebecca Horn ; théâtre des métamorphoses
Emma Lavigne, Alexandra Muller
- Centre Pompidou Metz
- 26 Juin 2019
- 9782359830569
Grand format 36.00 €Indisponible
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Pierre huyghe - album exposition (bilingue anglais/francais)
Lavigne Emma / Huygh
- Centre Pompidou
- 16 Juillet 2013
- 9782844266316
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Des historiens d'art, des conservateurs, des artistes et des chorégraphes explorent le dialogue entre art et danse de 1900 à nos jours, d'Henri Matisse à Tino Sehgal, de Vaslav Nijinski à Matthew Barney, de Loïe Fuller à Merce Cunningham.
Illustré par de nombreuses oeuvres et documents exceptionnels, "Danser sa vie" est un parcours inédit et ambitieux au croisement de toutes les disciplines.
Grand format 49.90 €Indisponible
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Danser sa vie (album de l'exposition)
Christine Macel, Emma Lavigne
- Centre Pompidou
- 11 Novembre 2011
- 9782844265401
Des historiens d'art, des conservateurs, des artistes et des chorégraphes explorent le dialogue entre art et danse de 1900 à nos jours, d'Henri Matisse à Tino Sehgal, de Vaslav Nijinski à Matthew Barney, de Loïe Fuller à Merce Cunningham.
Illustré par de nombreuses oeuvres et documents exceptionnels, "Danser sa vie" est un parcours inédit et ambitieux au croisement de toutes les disciplines.
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Danser sa vie, écrit sur la danse
Christine Macel, Emma Lavigne
- Centre Pompidou
- 11 Novembre 2011
- 9782844265371
De Friedrich Nietzsche à Stéphane Mallarmé, de François Delsarte à Emile Jaques-Dalcroze, de Nijinski à Merce Cunningham, cette anthologie, sous la direction de Christine Macel et Emma Lavigne, rassemble des textes historiques et contemporains, qui permettent de comprendre combien la danse est un fait social total, intéressant tout à la fois les champs de l'anthropologie, de la philosophie, de l'histoire de l'art mais aussi de la poésie.
Grand format 19.50 €Indisponible