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françois bott
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Il nous est arrivé d'être jeunes ; croquis littéraires
François Bott
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 6 Février 2020
- 9791037105509
Suivi de Saisons et passions de Roger Vailland
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Aphorismes pour l'autobus & le métro
François Bott
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 19 Avril 2017
- 9782710381679
Nouvelle édition en 2017
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René, professeur d'histoire mélancolique qui sent la vieillesse approcher, revient à Paris après un colloque sur Napoléon à New York. Il y retrouve Marianne, son assistante, jeune femme pleine de vie avec qui il partage sa passion pour l'Empereur et pour les écrivains qui l'ont raconté. Stendhal, Chateaubriand, Bloy, Zweig, Dumas ou Burgess, tous alimentent la fascination de Marianne et l'antipathie de René pour cette «star de l'Histoire», alibi parfait des deux personnages pour ne pas nommer l'amour qui naît entre eux, au fil de leurs discussions jusqu'à l'aube. Un amour à Waterloo est suivi de six autres nouvelles, où François Bott fait rimer amour et littérature.
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Grand format 13.20 €
Indisponible
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Elle s'appelait Julie Jeanne Éléonore de Lespinasse. Julie pour le charme, Jeanne pour la sagacité, Éléonore pour la fantaisie. Julie c'est flamboyant, Jeanne c'est raisonnable, Éléonore c'est fantasque. Allez concilier tout cela ! Pourtant, elle y parvenait très bien. Elle avait à la fois la vocation des naufrages et le goût du bonheur.L'autre jour, sur le boulevard du XVIII? siècle, pas très loin de la rue Saint-Dominique, cet homme regardait sa montre. Il était pressé. «J'ai rendez-vous avec Julie», se disait-il. C'était moi, sans doute.
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«Maman nous a faussé compagnie. Elle avait quatre fils. Nous l'appelions Gina... Il faisait beau. C'était impardonnable, et nous réprouvions le contraste entre les états d'âme et la météo. Ma mère ne voulait déranger personne. Peut-être considérait-elle comme une indiscrétion de souffrir et de mourir sous le regard des autres. Elle a tout laissé en ordre avant de partir, sauf nos sentiments.»
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Lettres à Baudelaire, Chandler et quelques autres
François Bott
- Albin Michel
- 9 Janvier 1998
- 9782226026316
Ce courrier clandestin adress aux fantmes de la Religieuse portugaise, de Cocteau ou Georges Orwell, a t crit par gratitude et courtoisie envers des auteurs qui ont aid F. Bott se trouver.
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Les étés de la vie ; cinquente-six esquisses pour le roman d'une saison
François Bott
- Gallimard
- L'arpenteur
- 13 Juillet 1999
- 9782070755257
«Les Parisiens allaient voir Citizen Kane, le film d'Orson Welles. Yvon Petra gagnait le tournoi de Wimbledon, et Marcel Bernard celui de Roland-Garros. Sans doute avons-nous passé les vacances de 1946 à Vorges. Car nous ne pouvions retourner à Deauville. Les plages de Normandie n'étaient pas encore déminées, et les stations balnéaires n'avaient retrouvé ni leur visage ni leur vocation. Je dévorais des romans en croquant une pomme, les soirs d'été, dans la salle à manger de ma grand-mère ou dans ma chambre. Quel délice, la lecture, quand on a onze ans ! La réalité s'éloigne et se retrouve à des années-lumière. On oublie le monde entier. Et les heures passent et deviennent tardives sans nous avertir. Il est déjà presque minuit. Alors, il faut éteindre à regret et s'endormir sans connaître la suite.» François Bott.
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D'aujourd'hui et de naguère, les nouvelles de François Bott captent dans de brèves aventures l'air du temps, sa fuite surtout, sans parler de la mort, qui ne se laisse jamais oublier. Ses héros sont aussi bien un footballeur qu'un vieux militaire, un journaliste malheureux, deux amants reliés par le TGV, un receveur des Postes qui communique sa passion de l'astronomie à un chef de gare. Mais soudain nous reconnaissons deux dames qui bavardent dans un salon de thé : Marie de Rabutin-Chantal et Sidonie Gabrielle Colette. Et cet Émile qui, en pleine Révolution de 1848, alors qu'il est tard et que sa femme lui demande en vain d'aller se coucher, va passer la nuit à rédiger un dictionnaire... C'est toujours le goût des mots, ou celui de prendre les êtres au mot. La dernière nouvelle, «Jerome David et Boris», est à la fois étrange et émouvante. En 1944, un jeune homme de Ville-d'Avray attend l'arrivée des Américains en jouant de la trompette. Dans la première jeep qui survient se trouve Jerome David Salinger. Le jeune homme français, c'est Boris Vian. L'un écrira L'attrape-coeurs, et l'autre L'arrache-coeur.
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Écrivains en robe de chambre : Histoires littéraires
François Bott
- Table Ronde
- 11 Mars 2010
- 9782710331575
«Il a traversé le siècle avec son éternel mégot, et son fantôme déambule encore dans Paris, faisant l'éloge des passions de jeunesse ou le procès (narquois) des empêcheurs de vivre. Avec une antipathie particulière pour les amiraux, et beaucoup d'affection à l'égard des plombiers-zingueurs...» Ces deux phrases, merveilleuses de précision et de concision, ressuscitent Prévert. Il en va de même pour la quarantaine d'écrivains réunis dans ce recueil de portraits et de chroniques : les voici croqués sur le vif, de Marcel Aymé à Léon Werth, en passant par Raymond Chandler, Joseph Kessel ou Boris Vian. Entrer dans leur intimité, les découvrir «en robe de chambre», ne retire rien à leur oeuvre : comme l'écrit François Bott dans son avant-propos, «sous l'influence de leurs écrits, la vie des auteurs revêt, en effet, les apparences et les couleurs d'une mythologie».
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« Elles sont à l'opposé des femmes extrêmes. Le contraire des femmes fatales. Ce sont les gourmandes, les femmes de plaisirs, les dames de coeur. Épicuriennes par nature et par inclination, par vocation, Mme de Sévigné, Mme de Tencin, Juliette Récamier, Colette, Arletty, Louise de Vilmorin, Françoise Sagan se ressemblaient, malgré les différences d'époque, de style et de mode. Elles avaient un air de famille. C'étaient des héroïnes de la vie, des charmeuses de l'existence, et celle-ci leur rendait la politesse. Elles croyaient à la légitimité du bonheur et mettaient le malheur en résidence surveillée », écrit Françoit Bott. Il évoque aussi Virginia Woolf et Katherine Mansfield, qui auraient pu se rencontrer un après-midi de septembre 1917 à Londres.
François Bott a l'art, en quelques pages délicates et légères, de restituer une allure, une silhouette, une insolence à vivre.
Un bonheur de lecture pour les amateurs de femmes.
Grand format 13.20 €Indisponible
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Entouré de jeunes et jolies infirmières, Van Dongen vit ses derniers jours à Monaco en mai 1968. Atteint, entre autres, de la maladie de Parkinson, il n'aura pas le loisir de les déshabiller, de les peindre et de les aimer. Alors il se souvient et reviennent sur ses lèvres ses conquêtes féminines, ses amis Picasso, Max Jacob, Arthur Cravan.
Cette confession imaginaire est un enchantement perpétuel. Une valse folle dont on voudrait ralentir le rythme pour ne pas arriver à la dernière page.
C'est aussi un hymne à la vie, à l'amour, aux femmes et à leur corps.
Grand format 13.50 €Indisponible
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Le cousin de la marquise
François Bott
- Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 23 Février 2012
- 9782710368250
De Montaigne, qu'il décrit comme «notre cousin de province le plus aimable», à Montesquieu, dont il rappelle qu'il eut l'idée d'une étude sur le goût en prenant de la liqueur de cerise chez Mme du Deffand, François Bott arpente, en promeneur éclairé, trois siècles d'histoire littéraire, entre le crépuscule du Moyen Âge et l'éclat des Lumières. C'est avec la même allégresse qu'il dépeint les «seconds rôles», parmi lesquels Bussy-Rabutin, cousin de la marquise de Sévigné, auteur impertinent d'une Histoire amoureuse des Gaules, «trop dissipé dans un siècle tellement tenu».
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"Les femmes mythologiques, les femmes quotidiennes, les femmes fatales, les femmes miséricordieuses, les femmes charmantes, les femmes charmeuses, les femmes de pouvoir et les dames de coeur.. C'est le sujet favori des conversations entre les hommes, particulièrement les Français. Déjà Stendhal et son ami Prosper, je veux dire Mérimée, dissertaient pendant des heures sur ce thème, car les femmes resteront toujours un mystère pour l'espèce masculine, y compris le commissaire Maigret et Philip Marlowe lorsqu'ils entreprennent d'élucider les affaires sentimentales."
Grand format 12.90 €Indisponible
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Sur la planete des sentiments portraits litteraires, d'emmanuel berl a stefan zweig
François Bott
- Cherche Midi
- Amor Fati
- 5 Mars 1998
- 9782862745572
Notre époque proscrit les " états d'âme ".
Elle nous conseille de les réprimer ou de les dissimuler soigneusement. Défense de flâner, de rêver, de s'émouvoir ! Par bonheur, il reste la littérature. C'est la " réserve " ou le dernier refuge de la délicatesse et de l'affectivité. C'est " le coeur d'un monde sans coeur "...
On trouvera dans ce livre cinquante-cinq portraits d'écrivains contemporains qui se promènent sur la planète des sentiments D'Emmanuel Berle à Stefan Zweig, en passant par Tristan Bernard, Antoine Blondin, Henri Caleté, Cioran, Jean Cocteau, Colette, Léon Paul Fargue, Elie Faure, Francis Scott Fitzgerald, Jean Giraudoux André Hardiesse, Valéry Larbaud, Jacques Laurent, Paul Morand, Jean Paulhan, Henri-Pierre Roché, Roger Vailland, Paul Valéry, Léon Worth et Marguerite Yourcenar.
Ces Gens nous démontrent que la littérature est seulement soucieuse de la couleur des journées, des climats qui s'annoncent, des amours qui passent et des silhouettes qui s'éloignent. Afin que " Toutes les choses et d'ici-bas soient murmurées une fois dans l'ombre, une fois encore sur des lèvres tièdes ".
Grand format 17.25 €Indisponible
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Dieu prenait-il du café ? portraits littéraires du XIXe siècle
François Bott
- Cherche Midi
- Amor Fati
- 17 Avril 2002
- 9782862749730
De Madame de Genlis (1746-1830) à Georges Darien (1862-1921), voici, par ordre chronologique, une trentaine de portraits littéraires du XIXe siècle. Il y a naturellement Benjamin Constant, Madame de Staël, Chateaubriand, Stendhal, Balzac, Dumas, Nerval, Baudelaire, Flaubert, Verlaine, Maupassant et Rimbaud, mais aussi quelques " seconds rôles " qui méritent d'être mieux connus, comme Joseph Joubert, Charles Nodier, le professeur Sainte-Beuve, Xavier Forneret ou Maxime Du Camp, l'ami de Flaubert.
François Bott nous promène parmi ces grandes figures de la littérature française. Nous leur rendons visite comme à des amis intimes. Nous prenons le thé chez Madame de Staël et l'apéritif chez Verlaine. Cette familiarité avec les monstres sacrés donne le ton du livre. Nous découvrons pourquoi il faut remercier la belle milanaise, Matilde Viscontini, d'avoir repoussé les avances de Stendhal, comment Nerval et Verlaine sont devenus des clochards célestes, comment le jeune Maupassant épatait Flaubert par ses performances amoureuses et sportives, et pourquoi l'impossible Xavier Forneret écrivait à Dieu, pour se plaindre des femmes.
Dieu prenait-il du café lorsqu'il a créé le monde ? C'est sans doute la question que se posait Balzac lorsqu'il passait des nuits blanches pour écrire La Comédie humaine.Grand format 14.20 €Indisponible
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Raymond Radiguet (1903-1923) était pressé de vivre et d'écrire. C'est le sort réservé à tous les météores. Il se dépêcha d'être l'amant de son institutrice (à quatorze ans), de débuter dans le journalisme, de devenir le protégé de Jean Cocteau, de connaître le tout-Paris littéraire et artistique des années folles, et de terminer deux chefs- d'oeuvre : Le Diable au corps et Le Bal du comte d'Orgel.Carrière fulgurante et scandaleuse : dans Le Diable au corps, le héros devient l'amant d'une jeune femme dont le mari était à la guerre en 1917-1918. L'élégance, la clarté, la perfection du style font ressortir encore davantage l'immoralité du sujet. Radiguet ne se souciait pas des modes littéraires. C'était un classique.En faisant le portrait du jeune Raymond, François Bott fait celui d'une époque : Radiguet a rencontré, fréquenté tous les «héros» des années vingt. De Morand à Stravinski et de Mlle Chanel à Picasso, ils avaient décidé qu'après les horreurs de la guerre, la vie serait une fête. Radiguet aurait eu cent ans le 18 juin 2003. C'est un âge inconcevable pour l'éternel jeune homme de notre littérature.
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L'eclat de rire de la jeunesse a l'arret des autobus
François Bott
- Des Equateurs
- 22 Avril 2004
- 9782849900048