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monique de huertas
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Madame Elisabeth ; soeur martyre de Louis XVI
Monique de Huertas
- Pygmalion
- Les Grandes Dames De L'histoire
- 21 Septembre 2009
- 9782756402826
Soeur de Louis XVI, de Louis XVIII et de Charles X, Madame Élisabeth a-t-elle été un ange ? Certains ont pu le croire en assistant à sa mort édifiante sur l'échafaud, en 1794.
Contrairement à ce qu'on a pu dire, elle ne fut pas du tout une princesse effacée, mais au contraire une femme de caractère, perspicace et courageuse. Monique de Huertas en propose un émouvant et fidèle portrait et convainc sans peine de son intelligence vive et sensible, de sa générosité, de sa piété, de sa foi profonde. S'informant de tout, lisant presque en cachette libelles et brochures, Aladame Élisabeth suivit de très près les faits et les événements de son époque.
Ses réflexions, nourries de bon sens et de raison, fusaient à l'improviste, prenant souvent son entourage au dépourvu. Aux heures les plus tragiques, lucide mais impuissante, pas un instant elle n'envisagea d'abandonner le malheureux Louis XVI, même lorsqu'elle releva avec douleur ses erreurs politiques, même lorsqu'elle comprit que le destin funeste des Bourbons était scellé. Fidèle jusqu'à son dernier souffle, digne, intrépide, elle marcha au sacrifice sans jamais faiblir.
Comment ne pas admirer et aimer cette princesse royale si injustement occultée par l'histoire ?
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Marie-Josèphe de Saxe : L'émouvante et dévouée mère de Louis XVI
Monique de Huertas
- Pygmalion
- 9 Octobre 2000
- 9782857046707
Modèle de l'amour conjugal, Marie-Josèphe de Saxe fut non seulement la mère de LouisXVI, mais aussi de sept autres enfants dont LouisXVIII, CharlesX et Madame Élisabeth. Vénérée par son époux le dauphin Louis, unanimement louée par son entourage, chérie par son beau-père LouisXV, appréciée par Marie Leszczynska tout en réussissant à se concilier les bonnes grâces de la marquise de Pompadour, la Dauphine eût sans nul doute changé le cours de l'Histoire si, au côté de son mari, elle avait pu régner sur la France. Leur fils alors aurait eu le temps d'apprendre le métier de souverain et la future Marie-Antoinette bénéficié des sages conseils d'une seconde mère. Mais Pépa, comme l'appelait affectueusement le roi LouisXV, en soignant le Dauphin passionnément aimé, contracta elle-même le mal implacable qui devait prématurément les emporter tous les deux à dix-huit mois d'intervalle. Tirant d'un injuste oubli celle que l'on a trop souvent reléguée au rang ennuyeux et ingrat des épouses dévotes, Monique de Huertas rétablit avec brio et ferveur la vérité historique. Ainsi revit pour nous une princesse émouvante, charmante, décidée, dotée d'une intelligence vive, alliant toutes les délicatesses du coeur et de l'esprit. Grâce notamment à l'abondante correspondance de Marie-Josèphe de Saxe, pleine de verve et de perspicacité, ces pages permettent aussi de pénétrer dans l'intimité d'un LouisXV chaleureux et méconnu, et de découvrir quantité de détails sur la vie de la famille royale au milieu du XVIIIesiècle.
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Durant les longues veillées hivernales, quand la neige lentement, patiemment.
Semble vouloir magnifier le paysage pourtant déjà si beau, une voix parfois s'élève : Quand mon grand-père me contait ce qu'il avait ouï dire de son aïeul... Une voix venue du fond des âges, du fond des mémoires. Au cours des siècles, le récit s'est sûrement modifié, embelli ou est devenu plus dramatique. Un conteur n'est pas un acteur. C'est souvent un porte qui s'ignore. Si, alors qu'il narre son conte.
Il perçoit le hurlement d'un loup, si un coup de tonnerre le fait sursauter, a moins que, tout simplement un animal familier lasse entendre sa voix. sa pensée suit alors un autre chemin. Bien souvent, un fait, réel au début, se transforme en récit caricatural, miraculeux ou fantastique, le texte évolue au long des années. Nous nous sommes efforcés de présenter des contes en provenance de toutes les régions savoyardes, des abîmes jusqu'aux sommets, ce qui les rend si divers.
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Madame royale -l'egnimatique destinee de la fille de louis xvi
Monique de Huertas
- Pygmalion
- 7 Octobre 1999
- 9782857046011
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La Duchesse de Berry : L'aventureuse mère du dernier Roi de France
Monique de Huertas
- Pygmalion
- 14 Février 2001
- 9782857046714
Marie-Caroline de Bourbon, fille du roi des Deux-Siciles, a dix-huit ans lorsqu'elle arrive à la cour de France pour épouser le neveu de Louis XVIII, le duc de Berry. Ouverte, gaie, généreuse, elle apporte un vent de fraîcheur à la cour austère des Tuileries où le vieux souverain vit ses derniers jours. Enfant du soleil, aventureuse, la blonde Marie-Caroline aime la vie et aime qu'on l'aime. Impulsive, elle est coléreuse, mais ses emportements ne durent pas. Elle n'a surtout peur de rien, pardonne toujours, même à ceux qui la trahissent. Devenue prématurément veuve en 1820 par l'assassinat de son mari sur les marches de l'Opéra, elle doit quitter la France dix ans plus tard, lors de l'abdication de Charles X qu'elle suit en exil. Dès lors, elle se bat avec une audace inouïe pour faire reconnaître à son fils, le comte de Chambord, ses droits légitimes au trône de France. Elle complote contre Louis-Philippe, tente de soulever la Vendée. Mais ses troupes sont défaites et elle est emprisonnée à Blaye, Bientôt libérée, elle se réfugie à l'étranger et se résigne alors à la vie familiale avec son nouvel époux, malgré la passion qui continue de l'habiter. Bien que de nombreux enfants lui soient nés, qui l'attachent à sa nouvelle demeure en Italie, son coeur bat toujours obstinément pour la France. Marie-Caroline de Bourbon s'éteint en Autriche, en 1870, n'ayant jamais cessé de consacrer le jour anniversaire de la mort de son premier mari à la prière et au recueillement.
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Madame Élisabeth : Soeur martyre de Louis XVI
Monique de Huertas
- Pygmalion
- 26 Septembre 2000
- 9782857046592
Soeur de Louis XVI, de Louis XVIII et de Charles X, Madame Elisabeth a-t-elle été un ange ? Certains ont pu le croire en assistant à sa mort édifiante sur l'échafaud, en 1794. Contrairement à ce qu'on a pu dire, elle ne fut pas du tout une princesse effacée, mais au contraire une femme de caractère, perspicace et courageuse.
Il suffit, pour s'en persuader, de lire Monique de Huertas qui en propose un émouvant et fidèle portrait et convainc sans peine de son intelligence vive et sensible, de sa générosité, de sa piété, de sa foi profonde. S'informant de tout, lisant presque en cachette libelles et brochures, Madame Elisabeth suivit de très près les faits et les événements de son époque. Ses réflexions, nourries de bon sens et de raison, fusaient à l'improviste, prenant souvent son entourage au dépourvu.
Aux heures les plus tragiques, lucide mais impuissante, pas un instant elle n'envisagea d'abandonner le malheureux Louis XVI, même lorsqu'elle releva avec douleur ses erreurs politiques, même lorsqu'elle comprit que le destin funeste des Bourbons était scellé. Fidèle jusqu'à son dernier souffle, digne, intrépide, elle marcha au sacrifice sans jamais faiblir.
Comment ne pas admirer et aimer cette grande âme, cette princesse royale si curieusement et injustement occultée par l'Histoire ?
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Née en 1765, fille d'un forgeron anglais et d'une couturière, Emma Lyon ne tarde pas, très jeune, à faire tourner les coeurs par son incomparable beauté qui inspira les plus grands artistes de son temps. «Je confesse que ma misère a eu raison de ma vertu», avoua-t-elle un jour. Coquette, enjôleuse et d'une générosité sans limite, elle est très vite remarquée par un jeune aristocrate cynique qui s'empresse de la «vendre» à son vieil oncle, ambassadeur de Grande-Bretagne au royaume des Deux-Siciles. Celui-ci, pour la garder auprès de lui, s'enhardit à l'épouser. Il la présente à la cour. Elle y subjugue aussitôt la reine Marie-Caroline de Naples qui tient les rênes du pouvoir face à un mari incapable. Voilà Emma propulsée au sommet de la hiérarchie sociale, adulée par tous les grands et informée des plus importantes décisions politiques. La guerre fait alors rage en Europe contre Napoléon. Et l'un de ses ennemis les plus acharnés est l'amiral anglais Nelson. Entre ce dernier, manchot et borgne, et Emma, resplendissante et courtisée, naît bientôt une passion folle et romantique qui s'épanouit au grand jour. Mais la mort brutale du marin, à Trafalgar, en 1805, brise le rêve. Abandonnée de tous ceux qui l'avaient portée aux nues après avoir souvent abusé de ses bontés, réduite à la plus extrême misère, lady Hamilton glisse peu à peu dans la déchéance, restant fidèle jusqu'à la fin au souvenir de celui qu'elle ne cessa jamais d'aimer. C'est le destin extraordinaire de cette femme de condition modeste, couverte d'honneurs puis de boue, que nous raconte avec un art achevé Monique de Huertas.
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- Madame de Coigny, aimez-vous toujours autant les hommes ?
- Oui, Sire, surtout s'ils sont bien élevés.
C'est par ces mots qu'Aimée de Coigny, duchesse de Fleury, répondit un jour à l'empereur Napoléon.
Qui était cette insolente et redoutable séductrice ? A coup sûr, une femme exceptionnelle. Née sous les derniers feux de la monarchie absolue, elle se montre vite caustique et rebelle, jouant des sortilèges d'une beauté que nul ne conteste. Opportuniste sans être ambitieuse, elle s'empresse de profiter des lois nouvelles de la République balbutiante pour obtenir le divorce d'avec le mari joueur que sa famille lui a imposé très jeune et grâce auquel elle est devenue duchesse. Aristocrate, elle est arrêtée par les sans-culottes. Dans sa geôle, elle côtoie le poète André Chénier auquel elle inspire un poème célèbre, La Jeune Captive, et échappe de peu à la guillotine grâce à la chute de Robespierre.
Sitôt libre, son appétit pour la vie redouble, ses amants se succèdent sous le Directoire, puis l'Empire. Confidente de Talleyrand, elle parvient à le convaincre de soutenir, en 1814, la Restauration des Bourbons, tant elle abhorre Napoléon. Héroïne tumultueuse, romanesque, passionnée, observatrice impitoyable de ses contemporains, elle a laissé à sa mort un Journal saisissant de lucidité qui révèle un visage admirable de femme, évoqué avec infiniment de rigueur et de sensibilité par Monique de Huertas.
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Pauline Borghèse, la soeur préférée de Namoléon Ier
Monique de Huertas
- Pygmalion
- 12 Septembre 2002
- 9782857047759
Insatiable amoureuse, dotée d'une beauté d'où jaillissaient des flots de sensualité, Pauline, la petite soeur chérie de Napoléon, ne cessa de faire tourner la tête des hommes. Mais la plupart traversèrent sa vie sans la marquer. À l'exception d'un seul:l'empereur auquel son admiration et son affection ne manquèrent jamais. Élevée dans une liberté sans entraves qui la laisse maîtresse de ses journées, elle commence très jeune une vie sentimentale. Mariée au général Leclerc qui la laisse veuve à Saint-Domingue, elle épouse en secondes noces un aristocrate romain, le prince Camille Borghèse. Un mariage malheureux, car le mari se dérobe. Pauline, alors, s'étourdit dans les bals et les bras des autres. Défiant les âmes pudibondes, elle se fait sculpter nue par le grand Canova. Si Napoléon considère d'un mauvais oeil une conduite aussi débridée, il est incapable de sévir. Car l'enchanteresse lui voue un culte total et se montre d'une indéfectible loyauté envers lui. Elle est la seule de la famille à se rendre à l'île d'Elbe, la seule à vouloir partir pour Sainte-Hélène. Mais la mort de l'empereur la surprend dans ses préparatifs. C'est un choc dont elle ne se remettra pas. Monique de Huertas nous raconte la vie étonnante d'une princesse qui brava tous les interdits avec une gourmandise, un naturel et une franchise confondants sans jamais s'encombrer de scrupules. Infidèle à tous, elle ne fut fidèle qu'à un seul homme:son frère Napoléon.
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Louise de La Vallière : De Versailles au Carmel
Huertas Monique De
- Pygmalion
- 1 Novembre 1998
- 9782857045489
Elle n'eut que deux passions dans son existence : Dieu et Louis XIV. Du roi d'abord, elle tomba follement amoureuse dès leur première rencontre, mais, dix ans plus tard, son amour exclusif et désintéressé la conduisit, par des chemins détournés, aux portes du Carmel. Favorite adulée et haïe par beaucoup, deux fois déjà elle avait voulu fuir le monde, mais le Roi-Soleil, venu en personne la reprendre au couvent, l'en avait empêchée, comme l'avait fait un peu plus tard Colbert, dépêché auprès d'elle pour la ramener de nouveau à la Cour. En 1674 cependant, sa décision est prise. Elle abandonne Versailles et l'infidèle, se retire chez les Carmélites du faubourg Saint-Jacques. Irrévocablement. Dans tout l'éclat de sa beauté, Louise Françoise de La Baume Le Blanc, duchesse de La Vallière, renonce définitivement aux vanités humaines. Elle a à peine trente ans, a donné au roi quatre enfants. Deux seulement ont survécu et ont été légitimés : la future princesse de Conti et le comte de Vermandois. Il lui reste trente-six années à vivre. Trente-six années exemplaires, de recueillement, de sérénité, de mysticisme, que ne viendront jamais troubler ni l'amertume ni les regrets. C'est cette destinée unique, ou plutôt ces deux vies que tout semble séparer, que Monique de Huertas éclaire d'un jour nouveau, avec émotion et fidélité, s'attachant à en restituer l'étonnante et profonde complémentarité.