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Perspective - revue de l'INHA n.2023-2 : Actualité en histoire de l'art
Collectif
- Inha
- Perspective - Revue De L'inha
- 16 Novembre 2023
- 9782492607011
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Perspective - revue de l'INHA n.2024-2 : Corps extrêmes
Collectif
- Inha
- Perspective - Revue De L'inha
- 14 Novembre 2024
- 9782492607035
Longtemps considérée comme l'expression d'un idéal esthétique par l'histoire de l'art, la représentation du corps humain est aujourd'hui comprise grâce aux sciences humaines et sociales comme un instrument normatif qui révèle aussi des choix politiques, des critères sociaux, des canons artistiques. S'intéresser aux images de corps extrêmes, c'est choisir d'aborder le problème de la norme par ce qui l'excède, la subvertit et la façonne à la fois : qu'est-ce qu'un corps hors normes, un corps limite ? Les corps perçus comme parfaits ne sont-ils pas eux-mêmes, à leur manière, extrêmes ? Fidèle à sa focale historiographique, Perspective fait le point sur le sujet en réunissant des contributions de chercheurs et chercheuses qui étudient, de la théorie des proportions à la tératologie, quelques-uns des corps extrêmes les plus significatifs de l'histoire de l'art.
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LA REVUE DE LA BNU n.27 : le prix du livre
Christophe Didier
- Bnu Strasbourg
- La Revue De La Bnu
- 6 Juin 2023
- 9782859230388
Avec le prix du livre, nous nous replongeons dans plus de quarante années de politique culturelle. Un article en brosse d'ailleurs l'historique, en rappelant les combats qui furent menés pour faire aboutir un prix unique, et qui sont concomitants à l'émergence des grandes surfaces et autres enseignes de produits culturels (les «années FNAC»...). Mais comme toujours, nous avons souhaité aller au-delà: vous découvrirez ainsi comment s'organisait le commerce (neuf et d'occasion) dans l'Antiquité grecque et romaine, comment à l'époque moderne, le prix de l'imprimé participe d'un processus de distinction sociale, combien coûte un livre à l'époque de Balzac et de Zola, et ce que signifie cette notion aujourd'hui. Car parler du prix du livre, c'est aussi parler de librairies, de grandes surfaces et d'enjeux capitalistiques, de révolution numérique - bref, c'est d'une certaine façon interroger notre société. La Revue poursuit aussi son tour d'horizon des trésors arabes de la BNU, en dévoilant un Coran en rouleau qui s'étale sur près de 9 mètres, et fait la part belle à des acquisitions récentes qui mettent à l'honneur des archives littéraires et artistiques: celles du compositeur Charles Koechlin, du graphiste, typographe et créateur de caractères Jean Alessandrini, et enfin de l'éditeur Arfuyen. Un voyage au coeur de la création, en somme, jusqu'à son étape ultime: celle de la mise en vente de ses produits.
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LA REVUE DE LA BNU n.28 : Bibliothèques et imaginaire
Christophe Didier
- Bnu Strasbourg
- La Revue De La Bnu
- 15 Janvier 2024
- 9782859230807
Les bibliothèques stimulent l'imaginaire, à la fois dans la culture savante et populaire.Dans l'imaginaire savant, la bibliothèque symbolise le vertige d'un savoir infini capturé en un lieu, comme chez Borges. Elle incarne aussi la figure marginale et asociale de l'érudit obsédé par les livres.Dans l'imaginaire populaire, très influencé par le savant, la bibliothèque apparaît comme un lieu fermé et fascinant où sommeillent des connaissances inaccessibles. La BD en donne des représentations récurrentes.Cet imaginaire perdure aujourd'hui mais évolue. Des oeuvres contemporaines l'expriment dans ses versions savantes et populaires. Les bibliothèques personnelles suscitent aussi l'intérêt sur les réseaux sociaux.Malgré la démocratisation de l'accès, la bibliothèque continuerait de faire rêver, notamment auprès des jeunes générations. Son imaginaire imprègnerait toujours autant la culture et la société.
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Culture et musées n.41 : Voir le musee autrement : le champ des possibles
Collectif
- Editions Universitaires D'Avignon
- Culture Et Musees
- 7 Décembre 2023
- 9782357681705
Ce premier numéro en version papier part d'une interrogation sur l'avenir des musées, à l'occasion des vingt ans de la revue. Elle propose une approche prospective de la muséologie et du musée à partir d'une diversité de regards fondés à la fois sur des travaux de recherche et sur des points de vue professionnels.
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LA REVUE DE LA BNU n.25 : La fabrique du livre : pérennité et mutations
La Revue De La Bnu
- Bnu Strasbourg
- La Revue De La Bnu
- 8 Juin 2022
- 9782859230937
L'univers numérique, qui entend ranger le document imprimé au rayon des antiquités, est lui aussi, paradoxalement, un univers des écritures, écritures aussi diverses dans leurs visées que dans leurs formes (il n'est que de constater la multiplicité des polices, tailles, graisses et couleurs offertes par les «barres d'outils» de nos ordinateurs); écritures encore et toujours le fruit d'une activité manuelle, les doigts tapant sur le clavier ayant remplacé, pour beaucoup de nos contemporains, le geste de s'emparer d'un stylo. Il y a donc toujours une fabrique de l'écrit, et le fait que les créateurs de caractères numériques continuent de parler de leurs «fontes» est à cet égard révélateur. Mais cette nouvelle civilisation de l'écriture (si tant est qu'on puisse la décrire comme telle) n'est plus automatiquement celle du livre.
Et pourtant... entre préservation de savoir-faire ancestraux, comme à l'Imprimerie nationale, transmission de ces mêmes savoirs au sein d'établissements généralistes ou spécialisés, comme l'ANRT ou l'école Estienne, et tentatives de mêler préservation muséale et création contemporaine, comme voudrait le faire l'Espace européen Gutenberg à Strasbourg, le spectre est large qui témoigne de la vitalité de cette «fabrique du livre». Il n'est pas jusqu'aux artistes qui s'en emparent pour le détourner et en fabriquer... des oeuvres d'art. Laissez-vous conduire, au fil du numéro, de la fabrique artisanale des caractères aux expérimentations numériques qui constituent, l'une aussi bien que les autres, notre univers graphique actuel, que celui-ci s'incarne ou non sous la forme d'un livre. -
Tracés n.45/2024-2 : « L'origine des inégalités » : Résurgences et réappropriations d'un grand récit
Rémi Hadad, Igor Krtolica, Aurélia Michel, Jean-Baptiste Vuillerod
- Ens Lyon
- Traces
- 14 Novembre 2024
- 9791036207747
Ce numéro 45 de la revue Tracés questionne le retour contemporain du topos rousseauiste de « l'origine des inégalités ». À la charnière des champs académique et non-académique, de grands récits se multiplient aujourd'hui sur les tables des libraires, avec comme promesse de résumer en quelques centaines de pages l'ensemble de l'histoire humaine, parfois depuis la préhistoire. Les problèmes du présent (exploitation et lutte des classes, racisme, patriarcat, spécisme, organisation écocidaire des sociétés humaines...) se trouvent réinscrits dans un temps long jalonné de quelques tournants décisifs, qui paraissent rejouer les mêmes actes: la révolution néolithique, avec l'apparition de l'État, l'accumulation de la richesse et la domestication des plantes et des animaux; la révolution moderne, elle-même plurielle (révolutions scientifiques, politiques, économiques) et scène d'émergence de l'État-nation, du capitalisme, du colonialisme, etc. Avec ces grands récits, de nouveaux problèmes surgissent. A-t-on affaire à de nouvelles philosophies de l'histoire qui ne disent pas leur nom et quelle valeur scientifique accorder à ces vastes reconstructions historiques? Quels rapports entretiennent-ils aux données issues de l'archéologie, de l'histoire, de l'anthropologie et de la sociologie, et quels présupposés théoriques animent ces explications dont la prétention est nécessairement transdisciplinaire?
À travers trois articles, deux entretiens et une note de lecture, ce volume montre comment les enquêtes empiriques complexifient ces explications linéaires et englobantes. Si ces grands récits ont une fonction heuristique pour la recherche, c'est peut-être d'abord négativement, parce qu'ils obligent les chercheurs à retravailler et à préciser leurs catégories d'analyse et leurs cadres théoriques. En mêlant les approches de l'archéologie, de l'anthropologie, de l'histoire, de la sociologie et de la philosophie, ce numéro de Tracés aide à appréhender ce que signifie, pour notre temps, « l'origine des inégalités ». -
Le dernier numéro de 1895 revue d'histoire du cinéma (n°101, hiver 2023) est centré sur des questions liées à la restauration des films avec une réflexion liminaire de Marie Frappat évoquant un " au-delà de la restauration " dont la contribution d'Enrico Camporesi donne une des modalités en ce qui concerne le cinéma expérimental, " Projeter e(s)t restaurer ". Mauro Piccinini enquête de son côté sur la " paternité " plurielle de Ballet mécanique à partir de sa genèse qui voit se croiser Ezra Pound, Man Ray, Fernand Léger, George Antheil, Dudley Murphy. Dans la partie Archives, Bernard Bastide nous fait découvrir Jean-Paul Boyer, technicien pionnier de la restauration des films et il ouvre le dossier de la restauration de la Femme et le Pantin de Baroncelli. Lilia Lustosa évoque la mission Suckdorff au Brésil sous l'égide de l'Unesco, au moment de la naissance du Cinema Novo, et ses ambiguïtés néo-coloniales. Jean-Michel Alberola livre un collage et Riwan Tromeur un portfolio d'oeuvres plastiques sur le thème du film. La partie Chroniques publie des comptes rendus d'expositions, de livres et de DVD.
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Le numéro 53 de la revue Technè est consacré à «Goya peintre». Ce thème est novateur, car les publications qui s'intéressent à la technique de ce grand maître tout en s'appuyant sur les techniques d'examen et d'analyse de laboratoire sont assez rares et ne concernent, le plus souvent, que des oeuvres isolées. Il souhaite ainsi élargir la connaissance de la technique de ce maître à une large partie de son oeuvre, en s'appuyant sur une série de douze articles rédigés par des chercheurs de diverses spécialités. Plusieurs textes sont consacrés aux études de laboratoire menées par les équipes du C2RMF sur trente tableaux de Goya et de son entourage conservés dans les musées français et dans une collection privée. D'autres textes s'intéressent à la constitution de la collection de tableaux de Goya au musée du Louvre, aux oeuvres peintes par le jeune maître dans sa province natale d'Aragon ainsi qu'à l'étude et à la restauration de tableaux conservés au Courtauld Institute de Londres et au musée national de Budapest. L'ensemble voudrait aider à constituer un socle d'observations techniques solide destiné à mieux assoir les débats qui divisent encore les spécialistes sur l'attribution de nombreux tableaux célèbres à Goya lui-même ou à des artistes de son entourage.
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Géo-regards n.16/2023 : Animaux sauvages en ville : quelles cohabitations ?
Chalmandrier/Flamini
- Alphil
- Geo-regards
- 20 Juin 2024
- 9782889306220
Quelles cohabitations avec la faune sauvage en ville? Pour interroger les relationsparfois conflictuelles entre humains et animaux, ce numéro spécial réunit huit textessur les animalités urbaines avec des cas d'étude - et récits fictionnels - portant surdes renards, des sangliers, des vaches, des vers luisants et d'autres insectes au seind'espaces urbains et périurbains. S'intéressant à la place que les animaux occupent etaux spatialités qu'ils génèrent ainsi qu'aux relations qui se nouent autour et avec eux,les contributions apportent des éclairages sur les formes plurielles et ambivalentes queprend l'expérience négociée de la cohabitation entre humains et animaux dans la ville.
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Études de lettres n.317 : théâtres de société : réseaux de sociabilité et représentations de la société
Collectif
- Etudes De Lettres
- Etudes De Lettres
- 8 Juin 2022
- 9782940331789
Ce volume vise à jeter un éclairage inédit sur les liens entretenus entre le théâtre de société et la société civile dans le cadre d'une Europe francophone et francophile - soit avec un fort ancrage dans un univers français et suisse romand, mais avec une ouverture vers la Pologne, la Hongrie et l'Angleterre - et au cours de la période de plus grande diffusion de la pratique du théâtre de société, entre la fin du XVIIe siècle et le début du XIXe (époque de la Restauration en France ou Regency en Angleterre).
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LA REVUE DE LA BNU n.26 : bagages d'artistes : carnets de notes, carne ts de references, musees de pa
Denise Borlée, Hervé Doucet
- Bnu Strasbourg
- La Revue De La Bnu
- 26 Janvier 2023
- 9782859230951
Dans la suite du précedent, ce numéro aurait pu s'intituler «La fabrique de l'art», tant les divers usages commentés dans les pages qui suivent documentent, à différents degrés et suivant plusieurs étapes, la réalité du processus créatif. Les carnets d'artistes sont aussi des «musées de papier» et à ce titre, renvoient de façon plus générale à la fonction même des bibliothèques dont l'ouverture, toute récente, de ses espaces muséaux par la Bibliothèque nationale de France dans le «quadrilatère Richelieu» témoigne de façon éclatante. On y voit certes davantage de manuscrits que de carnets - l'étape ultérieure, au fond, du processus créatif; mais on sait l'importance que ceux-ci ont pu avoir chez des auteurs aussi divers qu'Hugo, Flaubert, Valéry ou encore Butor... pour nous limiter à l'espace francophone, car on aurait tout aussi bien pu évoquer les carnets d'Hermann Lenz ou de Peter Weiss, ou encore les 14 000 pages noircies par Joyce pour la préparation de Finnegans Wake.
Griffonner dans un petit carnet, une activité qui peut donc avoir plus de signification qu'elle n'en a l'air... et dont il nous semble important de rendre compte, car elle n'est peut-être plus évidente pour tous. À l'ère des iPhones, smartphones et autres tablettes numériques, le carnet d'artiste, d'écrivain ou de chercheur a-t-il encore une signification? Pis encore, que représente-t-il dans l'imaginaire collectif alors que, dans le monde académique, l'expression «carnet de recherche» renvoie plutôt, aujourd'hui, aux blogs mis en place par l'infrastructure OpenEdition et qui sont, eux, totalement numériques. Dans ce cas aussi, les profondes mutations à l'oeuvre nous imposent de prendre le temps de réfléchir et de questionner la place que doit prendre, dans la valorisation de notre patrimoine, celle de nos «musées de papier».
Car l'intelligibilité d'une oeuvre ne va pas de soi. De même qu'il n'y a pas de beau absolu, chaque époque et chaque civilisation créant régulièrement les siens, de même on ne saurait parler d'intelligence absolue, qui survivrait de façon mécanique et en dépit des convulsions chroniques du monde. Un savoir évident, intégré, qu'une époque donnée (et une génération donnée) va considérer comme un acquis définitif peut finir par disparaître ou ne devenir que l'apanage de quelques-uns: on ne saurait jurer que (par exemple) les tragédies de Corneille fassent encore partie du bagage obligé de l'étudiant en lettres, ni que le même étudiant soit encore en capacité de comprendre la langue de cet auteur. On ne saurait jurer non plus (pour revenir à l'histoire de l'art) que l'importance pour celle-ci du patrimoine religieux du 20e siècle soit véritablement un sujet d'appropriation collective, quand on constate l'état souvent préoccupant des églises de banlieues et de quartiers construits après la Seconde Guerre mondiale. C'est pourquoi il est nécessaire de s'intéresser à la «fabrique de l'art», de sonder ainsi le processus créatif et de voir comment les artistes, les écrivains ou les penseurs se sont nourris à la fois d'un dialogue avec leurs pairs comme d'une fréquentation des oeuvres du passé - pour mieux inventer le langage de leur temps. -
Le dernier numéro de 1895 revue d'histoire du cinéma (n° 83, automne 2017) s'ouvre sur un Point de vue d'Omar Hachemi consacré à la place du cinéma dans la réflexion de Jacques Lacan au-delà du « stade du miroir ». Avec « Le poids du déshonneur: William Hays et le scandale Roscoe "Fatty" Arbuckle », Frédéric Cavé rouvre le dossier d'un scandale hollywoodien des années 1920 qui coûta sa carrière au comique Fatty. Deux autres études concernent le cinéma en Afrique: Claude Forest examine « Les débuts du cinéma au Togo », tandis que Catherine Papanicolaou étudie les « Tensions dans l'oeuvre cinématographique de Jean Rouch entre représentation visionnaire d'une Afrique en mutation et restitution de l'imaginaire d'une Afrique traditionnelle ». Dans la partie « Archives », Jean A. Gili révèle l'existence d'une association « aux origines de l'entrée du cinéma aux université », l'ADEC. Une partie dévolue aux archives cinématographiques voit le cinéaste Boris Lehman adresser une « supplique aux directeurs de cinémathèques » (« Conserver ou détruire? »), tandis qu'Iris Deniozou définit « les principes de la documentation et le rôle de la recherche » en matière de « restauration des films ». À partir d'un document inédit tiré des archives soviétiques, Valérie Pozner expose les « clefs de la propagande cinématographique en Europe » forgées par le cinéaste Kalatozov au moment du premier festival de Cannes 1946. Ce numéro comporte enfin une dernière partie dévolues aux Chroniques: festivals, journées d'études, livres, revues et dvd.
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Le dernier numéro de 1895 revue d'histoire du cinéma (n°80, hiver 2016) est centré sur des questions d'histoire du cinéma sous le regard de Marcel Broodthaers : quelle histoire écrire, avec quelles méthodologies, quelles renouvellements furent engagés dans les années 1960. En Point de vue, Leonardo Quaresima plaide pour une « Histoire du cinéma sans noms » en faisant l'hypothèse de se passer des théories auteuristes. Dans la partie Archives, Gaël Peton remet à jour le projet de société d'histoire du cinéma, en 1967, par Charles Ford; Roman Gubern évoque un projet collectif d'histoire mondiale du cinéma née en 1978 à l'initiative de Guido Aristarco avec les réactions de Jay Leyda, Jean Mitry et Raymond Borde. Dans la partie Etudes, Thierry Lecointe montre comment les corridas filmées par les opérateurs Lumière jouent un rôle dans l'évolution de la narration cinématographique; Mélissa Gignac examine la production de scénarios à la Triangle dans les années 1910 ; Susan Day et Réjane Hamus-Vallée révèlent la place du peintre britannique Walter Percy Day dans l'histoire des trucages et des effets spéciaux en France. Un cahier couleur est consacré aux collages du mystérieux, Karl Waldmann. Les rubriques habituelles (comptes rendus de livres et revues, festivals et hommages) achèvent ce numéro de 230 pages illustrées.
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Revue 1895 n.82 : histoire(s) des techniques au cinéma
Revue 1895
- Afrhc
- Revue 1895
- 17 Octobre 2017
- 9782370290823
Le dernier numéro de 1895 revue d'histoire du cinéma (n°82, été 2017) aborde la question des techniques cinématographiques désormais au coeur de la réflexion sur les images née des transformations technologiques.
Benoît Turquety pose un certain nombre de balises méthodologiques. Maria Tortajada étudie la machine « cinéma » dans la pensée de Bergson et celle de Marcel L'Herbier. Les appareils Lumière sont examinés par Laurent Mannoni et la caméra Eclair 16 mm par Vincent Sorrel. André Gaudreault et Solène Secq de Campos Velho s'attachent au passage des halogénures d'argent aux pixels dans la restitution du mouvement dans la technologie numérique. Santiago Hidalgo et Louis Pelletier examinent le passage de l'immobilité photographique au mouvement des photogrammes dans les premières projections du cinématographe. Dans la partie Archives, Laurent Le Forestier revient sur un film « pivot » des premiers temps, Life of an American Fireman (Porter, 1903) et François Albera sur l'expérience d'écran divisé imaginée par Claude Autant-Lara en 1929 avec son adaptation de Construire un feu de Jack London. L'ensemble des gouaches préparatoires au film est publié pour la première fois dans un cahier couleur. Les rubriques d'actualité des livres, revues, DVD, colloques et journées d'études forment la dernière partie du numéro. -
Le n°100 de 1895 revue d'histoire du cinéma revêt un caractère exceptionnel à plusieurs titres. D'une part ce numéro anniversaire présente, dans des textes collectifs dus aux membres du Conseil d'administration de l'AFRHC, une série de réflexions documentées faisant le bilan de l'inscription de la revue dans les courants historiographiques français et internationaux et celui des apports qui ont été les siens dans ce champ, ainsi que les résultats d'une enquête auprès de plus de cent personnes se réclamant de l'histoire du cinéma (enseignants, chercheurs) sur les conditions, les tendances, la pratique de la discipline. D'autre part toute l'iconographie de ce numéro a été confiée à un artiste, Jean-Michel Alberola, qui a généreusement mis à disposition de la revue plus de cinquante oeuvres ayant trait au cinéma, dont la presque totalité est inédite. Une lithographie originale reprenant l'une de ces illustrations, tirée à 60 exemplaires numérotés et signés, sera en outre mise en vente lors de la sortie du numéro.Parmi les textes on compte une évocation de l'histoire de la revue depuis sa fondation en 1985 par l'un de ses fondateurs, Jean A. Gili, une introduction à la question des revues de nos jours, deux textes présentant la démarche et l'oeuvre de J-M. Alberola, puis des textes collectifs abordant l'histoire du cinéma sous ses différentes facettes: les techniques, la société,l' intermédialité et l'esthétique.
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Coulisses n.40 : jeux de rappels chez Marivaux
Coulisses
- Pu De Franche Comte
- Coulisses
- 3 Mai 2010
- 9782848672830
Au fil de 6 articles sur le théâtre de Marivaux, surgissent les contradictions internes des comédies, où la figure de Marivaux se profile derrière celle de ses personnages, où la contrainte le dispute à la légèreté, où l'identité se dérobe derrière le caractère, et où le silence est lourd de significations. Il y a des comptes rendus de la mise en scène du Bourgeois gentilhomme, de La Seconde Surprise de l'amour, de Fantasio et de La Cerisaie et du livre, Théâtres des Antilles. L'inédit est une traduction de 2 monologues de Robert Browning où il fait parler 2 peintres de la Renaissance italienne, Filippo Lippi et Andrea del Sarto.
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DOUBLE JEU n.11 : cinéma et théâtre américains : influences, relations, transferts
Collectif
- Pu De Caen
- Double Jeu
- 22 Janvier 2015
- 9782841335114
Cinéma et théâtre américains : si loin, si proches ? Ces deux univers artistiques n'ont cessé de s'entremêler depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, dessinant un paysage complexe. C'est à tenter de le décrypter que s'attachent les études réunies dans ce numéro. Rapports entre Broadway et Hollywood, adaptations et captations de pièces de théâtre ou de performances, réflexion sur le lien et la césure entre la scène et la salle, interrogation sur les modalités de la représentation cinématographique du théâtre et des acteurs : tels sont quelques-uns des enjeux traités dans ce 11e volume de Double Jeu.
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En Espagne, le retour à la démocratie a brûlé les planches. Ce nouveau numéro des Cahiers du CRIAR en apporte un témoignage pluriel quant à ses cibles et à sesapproches. Il n'oublie toutefois pas de donner la parole à ceux qui ont veillé la flamme.
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Etudes mongoles & sibériennes, centrasiatiques & tibétaines n.38/39 : une Russie plurielle : confins et profondeurs
Jean-luc Lambert
- Ste Etudes Mongoles Et Siberie
- Etudes Mongoles & Siberiennes, Centrasiatiques & Tibetaines
- 21 Janvier 2008
- 9782951888845
Jean-Luc Lambert.
De l'Évangile à l'ours en Russie impériale?: Comment faire prêter serment à des peuples animistes??
Dans la Russie impériale, le serment tient une place considérable?; traditionnellement il est prêté en baisant la croix ou en tendant la main vers les évangiles. Un serment de loyauté au tsar est exigé pour tous les sujets mâles. On doit également prêter serment au tribunal. Comment jurent donc ceux qui ne sont pas chrétiens et qui pourtant appartiennent à l'Empire, en particulier les peuples animistes sibériens?? On a ici un exemple de rituel dont la forme peut être aménagée afin de garantir son efficacité. L'analyse montre que le pouvoir russe a instauré des «?serments de l'ours?» où les animistes embrassent par exemple une tête ou une patte d'ours et qu'il a ainsi propulsé l'ours en position de divinité intrompable pouvant garantir le serment. Par contre-coup, quand les Sibériens tuent un ours, ils commencent par le tromper en accusant les Russes de sa mort, et des rituels sibériens de plus en plus complexes ont été progressivement organisés en l'honneur d'un ours désormais considéré comme divin.
Elisabeth Teiro.
Une source cadastrale du district de Temnikov (1613/14)?: Lecture continue et étude statistique.
À l'issue du Temps des Troubles fut lancée une description des terres de l'État russe nécessaire au pouvoir nouvellement installé. La dozornaja kniga du district de Temnikov, établie en 1613/14 par Ivan Usov et ses collègues, est une des rares sources cadastrales de ce type qui nous est parvenue. Sa valeur pour l'histoire des cadastres comme pour l'histoire des Tatars est incontestable. L'auteur présente ici les remarques qui se sont imposées à elle lors de la lecture suivie et de l'étude statistique de cette source. Elle aborde notamment les méthodes de compilation du cadastre, les caractéristiques du peuplement et de la population, la question religieuse, le statut de détenteurs de biens-fonds et insiste sur les questions auxquelles ne permet pas de répondre ce document.
Delphine Desprez.
L'invisible cité de Kitež au reflet de la prose de l'Âge d'Argent.
En 1903, le célèbre romancier décadent Dmitri Merejkovski (1865-1941), accompagné de son épouse la poétesse Zinaïda Hippius (1871-1945), quitta Saint-Pétersbourg pour rencontrer à Svetlojar, en outre-Volga, la nébuleuse des groupes de vieux-croyants en rupture avec l'orthodoxie officielle. Quatre ans plus tard, le jeune écrivain passionné d'ethnographie M. Prišvin (1873-1954) suivit le même chemin?: c'est sur la confrontation des textes nés de leurs expériences respectives que l'analyse se fonde pour faire ressortir comment l'identité culturelle de certains non-conformistes religieux, cristallisée autour du mythe de la cité de Kitež, a intégré le traumatisme de la violence d'État en une vision du monde entièrement tournée vers le retour de l'Âge d'Or. Cette attente poussa les intellectuels à s'interroger à leur tour sur leurs propres certitudes et leur fit prendre conscience de la fragilité de leurs positions. Dans la pénombre de la forêt, le soir de la Saint-Jean, à proximité de Kitež mystérieusement disparue face à ses agresseurs, les contraires semblent pouvoir se rejoindre, s'interchanger et se concilier. Surgit un mythe de la Sainte Russie fusionnant foi et histoire pour exorciser les traumatismes anciens. Aux yeux des moujiks non-conformistes, la scission au sein de l'Église russe depuis l'introduction des «?nouveautés?» byzantines (fautivement attribuées à l'influence de Rome) et l'émergence d'un État moderne à l'occidentale passaient en effet pour aussi apocalyptiques que l'invasion mongole.
Dominique Samson Normand de Chambourg.
La guerre perdue des Khantes et des Nénètses des forêts (la soviétisation dans le district Ostjako-Vogul'sk, 1930-1938).
Les années 1930 constituent une décennie déterminante dans l'histoire de la Russie, en particulier dans les relations entre le pouvoir soviétique et les peuples autochtones du nord-ouest sibérien. Sur fond de découpage administratif, d'afflux de population allogène volontaire ou pas, la mise en place de la politique soviétique dans la toundra et la taïga (collectivisation, réseau de bases culturelles, scolarisation, plans imposés, profanation de sites cultuels) qui vise à intégrer de gré ou de force éleveurs de rennes et chasseurs-pêcheurs traditionnels dans la voie du progrès est bientôt ressentie comme une déclaration de guerre par nombre de Nénètses, de Khantes et de Mansis du district national Ostjako-Vogul'sk (aujourd'hui district autonome des Khantes-Mansis). Aux vagues d'arrestations, aux menaces psychologiques ou aux médiations des soviets locaux répondent assemblées rituelles et revendications autochtones, pillages et incendies des symboles de la présence russe. La consultation d'archives locales longtemps condamnées au secret, quelques publications récentes ainsi que le discours des informateurs (recueilli sur le terrain en 2004, 2005 et 2006 chez les Khantes du Nord et de l'Est, chez les Mansis du Nord) permettent désormais de mettre en lumière la résilience de peuples que l'empire tout comme la Révolution tenaient pour moribonds, mais que, paradoxalement, les répressions du milieu des années 1930, devaient menacer plus subtilement encore.
Ksenia Pimenova.
Lieux sacrés de la vallée du Haut Iškin (Touva)?: traditions orales et pratiques rituelles.
Cet article cherche à montrer le rôle que les lieux sacrés et la tradition orale locale jouent dans la préservation de la mémoire collective des habitants de la vallée de l'Üstüü-Iškin (Touva occidental). Nous distinguons deux types de lieux particuliers?: ceux «?positifs?» qui font l'objet de rites réguliers, et ceux «?négatifs?» où rôdent les mauvais esprits. Pour les habitants de la vallée chaque lieu particulier a son histoire et ses caractéristiques propres qui s'incarnent dans les légendes anciennes et des témoignages personnels récents, racontés et perçus en tant que vérité et non pas comme de la fiction. Le caractère véridique de ces oeuvres de la tradition orale permet la préservation des lieux particuliers et des croyances qui y sont liées, et par là, de tout un système de rapports de l'homme à la nature qui semble survivre et se manifester de la façon la plus évidente au niveau de petites communautés locales relativement isolées.
Dany Savelli.
Kiakhta ou l'épaisseur des frontières.
Cet article s'ordonne autour d'une réflexion sur la frontière. L'histoire de la triple ville de Kiakhta (celle-ci désignant également Troitskosavsk et Maimaicheng, la ville marchande chinoise) révèle, tout au long des xviiie et xixe siècles, des particularités assez exceptionnelles qui tiennent à sa position aux limites des Empires russe et chinois. La frontière, en ce lieu, a réuni plus qu'elle n'a séparé?; elle s'est animée grâce à un commerce fondé sur le troc et à un trafic d'envergure?; elle a engendré un pidgin à usage des marchands russes et chinois et, phénomène plus singulier, elle a entraîné dans le même temps un décloisonnement social marqué. Fenêtre sur le monde, la «?ville des millionnaires?», dénommée aussi la «?Venise des sables?», a été à la fois un lieu de passage des idées révolutionnaires, un avant-poste de l'orientalisme et le centre culturel de la Transbaïkalie. L'évocation de Kiakhta, abordée ici dans une optique occidentale (russe incluse), est l'occasion d'effleurer des débats concernant la mode des chinoiseries en Russie, l'asiatisme russe, le statut de la Sibérie entre Chine et Russie occidentale ainsi que l'historiographie des relations russo-chinoises.
Nina Edinarxova.
Le commerce à Kiakhta des années 1840 à 1860.
Dans les années 1840-1860, Kiakhta a été le centre le plus important pour le commerce non seulement entre la Russie et la Chine mais aussi entre la Russie et l'Asie. Ce commerce a contribué de façon conséquente au développement de l'industrie textile russe et a donc oeuvré à la révolution industrielle de la Russie.
Aleksandr Petrov.
Les Chinois à Kiakhta (1728-1917).
Cet article porte sur les activités des Chinois à Kiakhta, ville qui fut pendant longtemps, avec Maimaicheng de l'autre côté de la frontière, la seule porte ouverte au commerce entre la Russie et la Chine. La période étudiée se situe entre 1727 et 1917. L'article insiste sur le fait que la vie des Chinois ainsi que leurs contacts avec les Russes de Kiakhta étaient régulés de façon stricte par des instructions officielles et secrètes émanant du gouvernement chinois. Néanmoins, malgré ces règles et grâce à l'hospitalité des Russes, les Chinois se sentaient chez eux à Troitskosavsk et à Kiakhta. Non seulement ils y commerçaient mais ils y rendaient visite à leurs amis russes à l'occasion de fêtes ou juste pour passer un moment avec eux. Il est symptomatique que dans les moments difficiles, notamment en cas de catastrophes naturelles, l'entraide entre Russes et Chinois ait fonctionné à Kiakhta. L'article porte plus particulièrement sur la période postérieure à la signature des traités chinois des années 1858-1860, quand Kiakhta perdit son importance et que le commerce russo-chinois se fit tout le long de la frontière séparant les deux empires. Il montre que ce fut là un tournant inattendu pour les marchands russes, qu'ils fussent de Kiakhta ou non, puisqu'ils se virent contraints d'entrer en compétition avec les Chinois, cette fois à l'intérieur même de leur pays. Pour conclure, on dira que Kiakhta a joué un rôle extrêmement positif non seulement dans le commerce russo-chinois mais aussi dans les relations culturelles entre les peuples russes et chinois.
E. V. Smol'nikova et N. A. Xarabadze.
Histoire du Musée régional V. A. Obrucev de Kiakhta.
L'article retrace les différentes étapes de la fondation du Musée régional de Kiakhta, mettant en lumière le dynamisme des habitants de la ville comme l'aide apportée par les hôtes de passage - notamment les ethnographes G. N. Potanin et D. A. Klemenc. Créé en 1890, le musée ne reçut de statut officiel qu'une fois rattaché à la filiale de Troitskosavsk-Kiakhta de la Société impériale de géographie, créée en 1894. L'histoire de la constitution des collections de même que les transformations subies à la période soviétique par le musée - l'un des plus importants de Transbaïkalie - rendent compte de tout un pan de l'histoire de la ville de la fin du xixe siècle à nos jours.
Kirill Titaev.
Kiakhta et la mondialisation (Kiakhta sur Internet et Internet à Kiakhta en 2003).
Cet article analyse la représentation sur Internet de la zone frontalière russo-mongole de Kiakhta. Il met en lumière les tendances principales à l'oeuvre dans la constitution de l'image de Kiakhta sur l'Internet?: la ville apparaît comme refermée sur elle-même. En outre, l'article rend compte de l'usage d'Internet à Kiakhta. -
Polygraphe(s) : Approche métissée des actes graphiques n.5/2023 : Itinérances, mobilités, migration
Auteurs Divers
- Maison Des Sciences De L'Homme
- Polygraphe(s) : Approche Metissee Des Actes Graphiques
- 14 Septembre 2023
- 9782735129621
Itinérances, mobilités et migrations sont devenues, bien malgré elles mais de plus en plus, des sujets d'étude et d'écritures. Elles peuvent représenter des trajectoires volontaires, consenties ou imposées, individuelles ou collectives. Fréquentes ou exceptionnelles, guidées ou libres, proches ou lointaines, les pérégrinations entraînent parfois un besoin de s'exprimer, de vérifier ses trajectoires, de s'arrêter et se fixer pour un moment. La nécessité de se faire comprendre, d'échanger dans de nouveaux contextes, mobilise des apprentissages et des pratiques jusque-là inédites, parfois entremêlées d'anciens usages, jaillissent de cette mobilité. Ces ressources graphiques, linguistiques, en deviennent extraordinaires en ce qu'elles manifestent d'autres formes de narration, « pour que les réalités d'ailleurs s'inscrivent », selon les mots d'Édouard Glissant. Les actes graphiques individuels sont parfois reproduits par d'autres, comme pour manifester une solidarité. Quand le silence s'impose, l'écriture, les motifs, les objets, apparaissent comme les dernières traces de mémoires singulières ou collectives des migrations. Les stratégies ne manquent pas pour exprimer les déplacements voulus ou forcés ou les conditions d'exil, de déracinement voire d'exclusions.
Ce numéro a pour objectif, toujours dans une visée transdisciplinaire, de rassembler des propositions qui s'ancrent à la fois dans la mise en visibilité de récits graphiques d'itinérances, de mobilités et de migrations produits par les acteurs et actrices elles et eux-mêmes, mais aussi dans les manières de restituer ces récits à partir des méthodes de recherche que les disciplines scientifiques mobilisent. -
Techne n.56 : Matières noires, sens et substances, 2
Arlen Heginbotham, Agnès Lattuati-Derieux, Charlotte Ribeyrol
- Techne
- Techne
- 14 Mars 2024
- 9782111674394
Second volet d'un diptyque consacré aux matières noires, ce numéro de Technè conduit dans des chemins de traverse. Il y est d'abord question de l'odeur du noir et du rôle de cette couleur et de ses teintes sur notre perception. Y sont ensuite abordées les matières noires obtenues par transformation, intentionnelle ou non.