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Ibis Rouge
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Le vieux marin est le récit d'un capitaine au long cours qui dans les années 30 vient s'installer dans une bourgade du Nordeste du Brésil Péri-Péri. Le commandant Vasco Moscoso de Aragon, comme tout étranger est difficilement accepté dans ce petit village, mais les récits de ses exploits de vieux marin en font rapidement un personnage digne des plus grands romans épiques ce qui n'est pas du goût de tous. C'était Chico Pachéco qui avant le capitaine au long cours, tenait tout le village de Péri-Péri en haleine avec ses histoires. Jaloux, il n'aura de cesse de chercher l'imposture. La trouvera-t-il ?
Une bande dessinée de Hugues Henri adaptée du roman de Jorge Amado, Le vieux marin, paru en 1961 sous le titre original O capitao de Longo Curso (1978 pour la traduction).
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Dictionnaire créole martiniquais/français
Raphaël Confiant
- Ibis Rouge
- 1 Septembre 2007
- 9782844503077
Plus de 15 000 entrées, des milliers d'exemples extraits d'oeuvres littéraires créoles anciennes et modernes, des centaines d'expressions idiomatiques, de proverbes et de titim (devinettes), accompagnés de leur traduction en français, tel se présente le tout premier dictionnaire du créole martiniquais.
De tous les créoles, il était, en effet, le seul à ce jour à ne pas disposer de cet outil indispensable à une connaissance sérieuse de la langue. Fruit d'une quinzaine d'années de travail, ce dictionnaire se veut tout à la fois un manuel au service des élèves et professeurs ainsi qu'un ouvrage pratique pour le grand public. Comme tout dictionnaire, le présent ouvrage reflète une tranche de vie de la langue, celle que parle son auteur, mais il ne néglige pas pour autant les mots tombés dans l'oubli, ces fameux archaïsmes qui font, en créole plus que dans toute autre langue, la richesse de cette dernière, pas plus qu'il n'ignore les mots nouveaux, les néologismes, qui, eux, témoignent de la vitalité de celle-ci.
Les textes publiés en créole dès le XVIIIe siècle permettent de recenser les premiers, les enquêtes de terrain la collecte des seconds. Cet ouvrage ne fait pas fi non plus de l'interpénétration des différents créoles caribéens et guyanais, par le biais de la musique, des médias et surtout de l'immigration et du fait que le créole martiniquais adopte sans arrêt des mots venus de la Guadeloupe, de la Guyane, de Sainte-Lucie de la Dominique et d'Haïti.
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Lang a fanm ou ce que le creole dit des femmes
Marie-Rose Lafleur
- Ibis Rouge
- 2 Mars 2005
- 9782844502681
" Lang a fanm sé balyé lari ", dit le proverbe, associant la langue des femmes créoles à un balai qui ramasserait tous les potins de la rue pour les colporter vers d'autres oreilles.
Vision misogyne et dévalorisante, s'il en est, mais qui en côtoie d'autres dans la culture orale antillaise bien plus positives : celles de la femme, combative et déterminée, véritable Mère Courage. Après le succès de Pa ban gaz, une étude sur le créole des jeunes, Marie-Rose Lafleur nous revient avec cette analyse fine des représentations de la femme antillaise véhiculées par la littérature orale créole.
Convoquant devinettes, proverbes, contes, chansons folkloriques et croyances populaires, mêlant les approches sociologiques, anthropologiques et linguistiques, elle propose une image contrastée de celle qu'on a pu nommer " la Belle Créole ".
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Petit guerrier pour la paix - les luttes amerindiennes racontees a la jeunesse, et a tous les curieu
Tiouka Alexis
- Ibis Rouge
- 10 Octobre 2017
- 9782375205334
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Pa ban gaz ! - kreyol-la, jan lajennes ka pale-y
Marie-Rose Lafleur
- Ibis Rouge
- 18 Septembre 2001
- 9782844501240
Marie-Rose Lafleur sociolinguiste, nous propose un catalogue de vannes et d'insultes créoles réalisé à pâtir d'une enquête menée dans des lycées antillais. De ce relevé elle a pu constater que ces vannes ou insultes qui se construisent à partir de comparaisons avaient beaucoup évolué avec la société, les comparants n'étant plus les mêmes soit qu'ils n'existent plus, soit qu'ils n'ont plus de sens. Les jeunes font référence à leur univers familier, traditionnel, médiatique.
La démarche de l'auteur rompt avec celle des créolistes qui oeuvrent pour la promotion de la langue écrite, puisque personne n'avait jusqu'ici osé prendre en compte le créole parlé par les jeunes qui semble ici à la fois populaire et grossier. Mais elle ne se contente pas d'un relevé elle en fait une analyse sociolinguistique afin de définir l'évolution de cette langue, ma foi bien vivante.
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La route des rhums - martinique, guadeloupe, marie-galante
Sandrine Colombo
- Ibis Rouge
- 8 Octobre 2002
- 9782844501745
Il existe encore 18 distilleries aux Antilles françaises qui fument toujours, pour la fabrication du rhum agricole, produit né de ces îles du sucre.
Neuf à la Martinique, six en Guadeloupe continentale, trois à Marie-Galante. Et, un petit détour en Guyane pour découvrir la seule distillerie encore en activité. Ce sont des monuments autant que des usines, des témoins architecturaux du siècle passé, mais aussi des entreprises modernes qui se battent pour répandre le plus loin possible le goût du rhum agricole. Chacune reflète un stade différent de développement.
Il y a les modestes, les familiales, les gigantesques, les florissantes, les endettées. Toutes manifestent une double logique : l'attachement à un savoir-faire séculaire exclusif aux îles du sucre, et une volonté farouche d'exister dans ce millénaire nouveau. Pour goûter aux saveurs du rhum agricole et à son histoire, la visite des distilleries s'impose... par la route, ou par ce livre !
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L'expérience missionnaire et le fait colonial en Martinique (1760-1790)
Cécilia Elimort
- Ibis Rouge
- 17 Octobre 2014
- 9782844504487
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Les jésuites en Guyane française ; sous l'ancien régime (1498-1768)
Régis Verwimp
- Ibis Rouge
- Espace Outre-mer
- 4 Février 2011
- 9782844503879
Entre guerre et dominations religieuses, faiblesses humaines et militaires, l´implantation du catholicisme est improbable aux premiers temps de la colonisation en Guyane.
Quand l´identité du royaume de France - et donc du catholicisme - est considérée comme acquise, les jésuites doivent s´atteler non pas à une mission en Guyane, mais à un triple apostolat : d´abord auprès des colons venus de France et d´Europe dont il est difficile de conserver une conduite chrétienne, auprès des Amérindiens si déroutants par leurs croyances et leur mode de pensée au point de déstabiliser, parfois, les méthodes jésuites, et enfin auprès des esclaves qui soulèvent peu d´enthousiasme évangélique.
Les Compagnons de Jésus mènent une colonisation temporelle par les habitations qu´ils possèdent, par le collège dans lequel ils enseignent, par le palais dans lequel ils brillent ; mais le centre de leur mission apostolique est avant tout une colonisation spirituelle. Riches de leurs expériences mondiales, ils s´adaptent, affinent leur méthode de quadrillage spirituel du territoire, allant à l´ouest avec Kourou et Sinnamary, à l´est sur l´Oyapock.
Cet élan missionnaire devra brusquement s´interrompre, pour ouvrir la voie à d´autres destinées religieuses.
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?Toutes les musiques créoles sont filles de l´Histoire, de notre histoire, celle des enfants de l´esclavage sur le sol américain. Comme les langues créoles, les musiques et danses traditionnelles sont au carrefour des cultures africaines et occidentales. Elles sont, comme nous, un produit de l´Histoire et véhiculent des symboles, des codes sociaux qui échappent certainement aux non-initiés et qui échapperont peut-être aux enfants de demain.
Ce livre a pour vocation de sauvegarder et de faire découvrir un aspect essentiel de la culture créole : les rythmes et musiques au tambour (comme le kasékò, le léròl, le grajé ou encore le labasyou), les chansons traditionnelles les plus connues ainsi que les danses et costumes créoles.
Ce livre s´adresse à tous ceux qui désirent découvrir l´âme de la culture antillo-guyanaise, à ceux qui souhaitent préserver les traditions de leurs aïeux, et à ceux qui veulent enseigner les musiques et danses créoles au tambour.
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??Voici un vrai roman créole avec des personnages de chair et de sang, des circonstances de lieux et de temps qui nous renvoient à la Guyane de la première moitié du xxe siècle.
Lyne-Marie Stanley réssuscite une famille guyanaise de la campagne qui a succombé à la fascination de la ville, mais essaie de retrouver les solidarités paysannes de l'habitation et du mayouri. La saison des abattis, c'est le temps de la nostalgie des travaux et des jours, et des rires, des chants et des danses qui faisaient de la vie une récréation festive et chaleureuse.
Dans ce roman, trois belles figures de femmes guyanaises se racontent. D´abord Man Nana, la grand-mère, « petite-fille d´esclave et descendante de Nèg´marrons », obsédée par l´éclaircissement de sa progéniture. Céphyse, sa fille, qui donnera la vie suite à une passion irraisonnée et enfin Palmyre la jeune adolescente qui est « instinct, nature et sensualité ».
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Une trentaine d´historiens présentent dans cet ouvrage "Histoire & Mémoire" un éclairage nouveau et varié sur la Guyane au temps de l´esclavage, période de genèse de nos sociétés contemporaines. A travers des discours sur la Guyane française au temps de l´esclavage, ces chercheurs s´interrogent sur des problématiques telles la traite, le statut et la police des esclaves. L'analyse historique peut rendre intelligible les pratiques économiques au temps de l´esclavage, mettre en évidence les postures de rebelles, décrire les rapports complexes entre la religion et l´esclavage. Elle met aussi en lumière comment la société guyanaise inscrit, aujourd´hui, l´esclavage dans la mémoire collective. Cet ouvrage a pour ambition d'offrir des clés pour aborder un période historique complexe et tente d´élargir des champs peu explorés de la recherche scientifique.
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L'esclave avait-il donc une âme ? ; la fête serville à la Martinique dans la première moitié du XIXe siècle
Albanie Burand
- Ibis Rouge
- 1 Avril 2009
- 9782844503541
A fête serville à la Martinique dans la première moitié du xixe siècle Le thème de la fête servile nous offre de découvrir un aspect de la vie des esclaves que les études et recherches avaient négligé ou traité de façon très superficielle. La connaissance de ce groupe social s'en est trouvée lourdement déformée et aujourd'hui encore, nombreux sont ceux qui croient que la vie de l'esclave ne s'est résumée qu'au travail avec ses corollaires de souffrances, de privations et toutes les cruautés qui font que la mort semblait pour un grand nombre l'issue la meilleure.
Il est vrai, la vie des esclaves a particulièrement été évoquée par des intellectuels engagés1 dans l'action politique. Leur discours exprime souvent toute l'émotion d'un peuple en quête de réhabilitation. La justification du désir de répondre au besoin de compensation de la population actuelle les a conduits à procéder, de façon inconsciente peut-être, à la sélection des faits étudiés, occultant ceux qui ne soutenaient pas leur plaidoyer. L'histoire de l'esclavage n'est alors devenue, dans cet esprit, qu'un moyen de reconnaissance identitaire.
Nous montrerons aussi les significations de la fête servile à la Martinique au xixe siècle et essaierons de répondre à l'interrogation : la fête ne deviendra-t-elle pas un instrument que le groupe dominant utilisera pour instaurer, sinon rappeler une distance effective entre colons et esclaves ? Ne deviendra-t-elle pas un élément du code de détermination du statut des groupes ?
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La Guyane pour un développement durable amazonien
Daniel Mangal
- Ibis Rouge
- 1 Septembre 2010
- 9782844503602
La Guyane, qui est le plus vaste département français, possède l´unique forêt tropicale de l´espace européen. En raison de ses particularités historiques, sociales et de sa position géographique, une problématique récurrente se pose : l´aménagement et la valorisation du territoire.
L´Administration française prône une préservation totale de ce dernier espace forestier, resté intact grâce à de multiples mesures de protection. Les Guyanais, quant à eux, revendiquent le désenclavement de leur département, l´exploitation et la réglementation des ressources naturelles (tels que le pétrole et l´or) afin d´accéder à un certain développement économique.
L´histoire politique et sociale de la Guyane, ses ressources naturelles insoupçonnées, sa faune, ses populations et leurs cultures sont autant de thèmes que l´auteur aborde dans cet ouvrage très bien documenté afin de démontrer l´urgente nécessité d´une nouvelle vision du développement guyanais.
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Chers amis, Dans les aventures de notre célèbre Toti la tortue, vous allez faire la connaissance de tous ses amis -Ils feront la fête avec elle à Noël, où une drôle de surprise les attend !
-Puis au carnaval, Toti se déguisera et parira qu'ils ne la reconnaîtront pas. Il s'en suivra un bon repas !
-A Pâques, ses amis ne veulent pas l'aider à préparer son succulent bouillon d'awaras. Ils sont bien trop occupés ! Que va-t-il donc arriver ?
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Le chant du paypayo - une bande dessinee documentaire
Blanchin Fujita J.
- Ibis Rouge
- 1 Mai 2006
- 9782844502872
Juile Blanchin, jeune illustratrice est partie en Amazonie brésilienne suivre le travail d'une ONG locale. Suite à cette aventure humaine, elle a réalisé la maquette d'un livre / CD-Rom documentaire, dans le cadre de son diplôme de fin d'étude.
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Nicolas l'écrivain vit à l'écart du monde dans une vieille demeure.
Il passe des heures et des heures à essayer d'écrire des contes sans jamais y arriver. Ses seules compagnes, Sissi la feuille blanche, Bernarda, la vieille machine à écrire et Calliope l'araignée. Un jour un miracle se produisit, l'écrivain se mit à écrire et peu à peu découvrit la joie de vivre. C'est ce moment que choisit Nicolas l'enfant pour surgir dans l'univers de l'écrivain et y mettre sa fantaisie.
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La Guyane française au temps de l'esclavage
Serge Mam lam fouck
- Ibis Rouge
- 15 Octobre 1999
- 9782844500595
Dans des travaux antérieurs, l'auteur a contribué à la mise au jour des traits marquants de la société guyanaise d'avant la départementalisation.
Il propose ici une nouvelle approche de l'histoire guyanaise du rétablissement de l'esclavage par Napoléon (1802) à la départementalisation (1946). L'idéologie de la solidarité nationale ainsi que les pratiques sociales de la période départementale (1946-1999) ont eu tendance à évacuer de la mémoire collective le fait colonial dont le poids est pourtant déterminant dans les attitudes et les comportements, au temps de l'esclavage comme après l'abolition.
C'est à la lumière du fait colonial que l'auteur saisit la vie économique, sociale et politique. Ainsi, en dépit de signes avant-coureurs d'une résistance à l'assimilation, pour se libérer des pratiques racistes du système esclavagiste, la petite bourgeoisie guyanaise naissante met toute sa foi dans le processus de francisation ; une certaine conception de la vie politique dans les colonies impose aux Guyanais le spectacle de scrutins électoraux manipulés, à l'abri de toute inquisition ; la production du territoire évolue sous le signe d'une dépendance économique que les aménagements effectués depuis la départementalisation, enfin obtenue en 1946, ne parviendront pas à réduire de façon significative.
Les extraordinaires mutations, qui ont fait du département un pays à haut niveau de vie, ne doivent donc pas masquer une histoire coloniale, responsable de puissantes contradictions rendant plus difficile la résolution des problèmes économiques, culturels et politiques de la Guyane.
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Fables de La Fontaine, travesties en patois créole par un vieux commandeur.
Dépi nanni-nannan, ni moun ka matjé fab an kréyol ek nou pé di ki sé kanman litérè a ki trapé plis siksé jik jòdi-jou. Sé pa koté Moris ek La Rénion, épi dé matjè blan kréyol kon F. Chrestien (1820) ek L. Héry (1828), ki lanmod-tala tijé. Atè sé péyi kréyolopal l'Anmérik la, sé an Bétjé matinitjé, François Marbot, ki batjé adan sa primié douvan épi an liv yo ka kriyé « Les Bambous. Fables de La Fontaine travesties en patois créole par un vieux commandeur ». Apré'y, nou ka jwenn Gwadloupéyen kontel P. Baudot (1860), Guiyanè kontel A. de Saint-Quentin (1874) oben Ayisien kontel G. Sylvain (1905). Pannan tout xxè siek-la, moun kontinié matjé bon enpé fab atravè bannzil kréyol la.br> Sé an lanné 1846, kivédi anni dé lanné avan labolision ladjoukann, François Marbot, ki té an fonksionnè Lamarin (é pa an plantè kann), pibliyé liv-li a. Tit liv-la za ka montré nou ki chimen i té lé pwan ek, lè nou ka fè tan jété an zié anlè moral sé fab-la, nou ka konpwann lamenm : Marbot té ka défann kou koupé lod djoukanniè a. Men abo larel-lidé'y té kon sa, nou pé di ki i mété an brik adan konstriksion gran masonn litérati kréyolopal la. I pèmet lang-lan sòti adan pawol palé pou batjé adan pawol matjé ek, abo i pa té ka rikonnet kréyol kon an vré lang men kon an « patwa », liv-li a ba lang-lan an fos, an balan i pa té janmen ni avan.br> Nou pé pa di Les Bambous sé an metpies-liv kon Fab Konpè Zikak éti Gilbert Gratiant, an Milat matinitjé, mété déwò nan lanné 1958, kivédi pres yon siek pli ta, men liv Marbot a ka chayé anlo endik ba nou asou léta lang kréyol-la nan mitan xixè siek-la ek sa krey-sosial bétjé a té ni nan lespri'y an lépok-tala. Sé pou sa yo viré édité'y senk fwa ek adan dènié édision-tala, nou ka ba zot teks-la adan dé model lékriti diféran : ta Marbot a ek nouvo grafi gerec-f la. Nou fè an tradiksion nef tou davwè ta Michel Thaly a, adan édision 1976, la té ni anlo lérè ki grav andidan'y.br> L'auteur François Marbot, ki fet lè 29 mé 1817 atè Foyal (ansien non Fodfwans), té yich an Bétjé-Fwans ki té enstalé kò'y Matinik nan koumansman xixèsiek-la. An lanné 1829, Marbot ka antré adan ladministrasion Lamarin kon papa'y menm ek i ka sèvi Matinik, Gwadloup ek Guiyàn pannan pliziè lanné. An 1863, i ka trapé an pos ki pòtalan toubannman : owdonatè La Rénion ki sé pres an pos gouvènè. Men lanmò ka baré'y twa lanné apré, lè 31 oktob 1866 La Rénion éti i téré. Sé lè i té Matinik, an 1846, kivédi dé lanné avan labolision ladjoukann, i pibliyé sel liv-li, Les Bambous. Fables de La Fontaine travesties en patois créole par un vieux commandeur, ki trapé anpil siksé ek ki yo ka viré édité jik jòdi-jou.
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L'ampleur du labeur - cacao, un village hmong
Beauvallet Cathy
- Ibis Rouge
- 1 Février 2004
- 9782844502124
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Severo Blanco est un négrier rusé et ambitieux, prêt à tout faire pour s'enrichir.
Son bateau échoue un jour sur les côtes africaines et il parvient à capturer les meilleurs hommes afin de les réduire en esclavage. Même le puissant magicien Taïta Osongo se retrouve enchaîné sur le chemin des plantations caribéennes... Mais la richesse et la puissance ne préservent pas Severo Blanco du malheur. Sa propre fille sera la première à oser le défier, et un ennemi oublié réussira à lui rendre coup par coup toute sa méchanceté.
Un conte nouveau où l'auteur cubain réveille plusieurs traditions pour aborder les grandes questions humaines de la lutte contre l'oppression des plus faibles.
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Thibault vient d'être reçu à un concours de la fonction publique, il choisit la rue Oudinot comme affectation.
De cette nouvelle qu'il annonce à son père libraire du 15e arrondissement de Paris, il accompagne des résultats d'analyse qui prouvent leur filiation. Pourquoi une telle démarche ? Ce roman, dont le récit se construit sur trois siècles nous entraîne dans les méandres de la génétique et d'une histoire délibérément dissimulée.
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Félix Eboué de Cayenne au Caire 1884-1944
Philippe Guyot, Rodolphe Alexandre
- Ibis Rouge
- 16 Janvier 2012
- 9782844504098
« Le 17 mai 1944, à l´Hôpital français du Caire, mourait Félix Eboué, gouverneur général de l´Afrique Equatoriale Française, Compagnon de la Libération, membre du Conseil de Défense de l´Empire. Quatre ans auparavant, alors gouverneur du Tchad, il maintenait dans la guerre trois millions de kilomètres carrés, situés au coeur de l´Afrique. Il fut en effet le premier parmi les chefs coloniaux à refuser l´armistice, entraînant ainsi dans la Résistance toute l´Afrique équatoriale et le Cameroun. Il repose au Panthéon national, parmi les plus grands serviteurs de la France ; aux Antilles et en Afrique noire, l´histoire de sa vie se confond déjà avec la légende. Puissent les enseignements du gouverneur général Félix Eboué, fondés à la fois sur un profond amour de la France et de l´Afrique, être médités et compris avant qu´il ne soit trop tard ». Jean de La Roche, Le gouverneur général Félix Eboué, 1957.