Seule, en pleine nature sauvage dans les forêts profondes du sentier canadien des Appalaches, Katia Astafieff a beau être une grande marcheuse, son voyage a été bien plus difficile et mouvementé que prévu ! Surtout lorsque les ours rôdent.
L'auteure à succès de Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse nous embarque au coeur du wilderness avec au générique :
La montagne, la forêt, des ours, mais pas que ! Des baleines, des phares, des histoires de naufrages et de torpille, des ponts couverts, des motels comme dans les films américains, des moustiques, du brouillard, des fougères, des livres dépecés, des repas lyophilisés... De l'émerveillement, des frayeurs, des peines, des lenteurs, des douleurs, un peu de larmes et de sang ! Et quelques rencontres :
Un randonneur casse-bonbons, un Colombien, une Québécoise bienfaitrice, un vieux en décapotable, un pêcheur mignon, un porc-épic, des oiseaux et des orignaux. Et surtout : l'ours !
Vous vous couchez chaque soir en rêvant de tout plaquer pour arpenter le monde? Pierre Courade et Matthieu Lamarre partageaient votre rêve et eux l'ont réalisé:quitter leur quotidien parisien, leurs parents, amis, collègues, leur job, leur appartement... pour un tour du monde d'une année et demie.Au gré de leurs aventures parfois rocambolesques, de rencontres bouleversantes et de lieux enchanteurs, nos deux voyageurs donnent les clefs pour se lancer vraiment. Aujourd'hui, Pierre et Matthieu sont de retour. Où logent-ils? Ont-ils trouvé du travail? Leur chat Auguste les a-t-il reconnus? On dit qu'il n'est pas facile de reprendre pied après une telle aventure.Pierre et Matthieu en sont persuadés:ce périple les a libérés des inquiétudes matérielles et ils se sentent prêts à affronter toutes les situations. Peut-être même un nouveau départ dans quelques années.
Les nombreuses femmes qui ont eu l'audace d'entreprendre de longs voyages ont pour la plupart disparu dans les brumes de l'histoire. Aujourd'hui, leurs récits sont redécouverts.
Grâce à la marche, ces femmes ont trouvé leur indépendance et se sont parfois même autorisé un changement de vie radical. Nan Shepherd, poétesse écossaise ; la peintre galloise Gwen John ; Clara Vyvyan, voyageuse et randonneuse ; l'écrivaine et philosophe Simone de Beauvoir ou Georgia O'Keeffe, célèbre peintre américaine, en témoignent.
Artistes, philosophes, écrivaines, ces femmes ne marchaient pas pour jouir de toute la liberté dont peut jouir un homme, ni pour faire de l'exercice.
Elles marchaient afin de penser par elles-mêmes, de mettre de l'ordre dans leurs émotions, d'affirmer leur indépendance. Elles marchaient pour exister.
«Ce que je ressentais assis au bord du monde, alors que la pluie déversait ses ondées bienfaisantes, c'était d'avoir perdu un peu de mon histoire personnelle au profit d'une autre façon d'être au monde. Ces petits éclats de roche me racontaient une histoire que je commençais à peine à comprendre:ils étaient des messages pratiques de vie sauvage! »Authenticité, autonomie, liberté, sobriété... autant de valeurs desquelles notre civilisation nous tient de plus en plus éloignés.Ressentant un appel primitif irrépressible, venu droit du fond des âges, Kim Pasche est parti dans le Grand Nord canadien en quête d'une reconnexion brute au monde sauvage par un mode de vie semblable à celui de nos ancêtres de la préhistoire. À travers ses pérégrinations en Europe, puis en Amérique du Nord, il raconte ses apprentissages des savoirs ancestraux et son évolution au fil des années, vers un nouveau rapport à la nature, à la spiritualité, au temps, et même à son existence en tant qu'humain.