Ce coffret contient les textes des ' Aventures d'Alice au pays des Merveilles ', dans sa version originale écrite par Lewis Carroll et dans sa version française traduite par Henri Bué en 1869 ; ainsi qu'un jeu de jeu de cartes illustré par Mlle Gertrude E. Thomson reprenant les dessins originaux de Sir John Tenniel (48 cartes + 2 cartes règle du jeu en français et en anglais).
Parmi les peintres belges de sa génération, Émile Claus est un des rares qui aient butiné l'art européen avec autant d'audace que de bonheur, de personnalité et de succès. Cette attitude n'étant pas sans risque : Auguste Renoir, dont il était un fervent admirateur, mettait en garde les artistes : « Nous sommes des moutons de Panurge, disait-il, surtout les peintres. Le difficile, c'est d'étudier les maîtres sans les copier. » Cet écueil, Émile Claus l'a évité tout au long de sa carrière. Il a étudié et admiré Bastien-Lepage, Monet, Renoir, Pissarro, Le Sidaner, Thaulow. Il a subi leur influence, mais tout en réalisant toujours des oeuvres personnelles.
Cet ensemble de vues de New York, rassemblées et commentées par Gabrielle Townsend - déjà auteur d'un "John Singer Sargent" et d'un "Winslow Homer" chez le même éditeur - , relate l'irrépressible métamorphose d'une ville passant de la traditionnelle horizontalité urbanistique à une stricte verticalité, soutenue en cela par les progrès fulgurants d'une technologie importée par les architectes et les constructeurs venus de la vieille Europe. La Liberté éclairant le monde ou statue de la Liberté, conçue par le français Auguste Bartholdi avec la collaboration de l'architecte Eugène Viollet-le-Duc et de l'ingénieur Gustave Eiffel, inaugurée en 1886, en demeure un des premiers et un des plus flagrants exemples. Il faudra soixante ans à la Ville de New York pour se dresser et s'élever vers une architecture dont le gratte-ciel sera la norme, au service essentiel du « commerce et de la concurrence ». Dix ans plus tard, Ferdinand Bardamu, personnage central du Voyage au bout la nuit de Louis-Ferdinand Céline, aura cette formule lapidaire : « New York, c'est une ville debout ».
After the face, the hand is the part of the human body which is the most independent, the most distinctive and the most particular. (...) Hands in painting - whether they be lyrical, delicate, lively and alert, or else violent, nervy and tragic - are never mere details, as can be seen in these drawings, but are focal points which contain and distribue the energy of a picture. Jean-Christophe Bailly
Cette nouvelle traduction du "Rêve dans le Pavillon rouge" est enrichie des 230 superbes illustrations en couleurs de Sun WEN.
Ecrit par Cao XUEQIN (1715 (?) - 1764) pendant le règne de l'empereur Qianlong (dynastie Qing), "Le Rêve dans le Pavillon rouge" fut achevé par Gao E. Les premiers extraits en français furent publiés en 1933 dans "Choix de littérature chinoise moderne" tandis qu'une traduction complète parut dans la collection "La Pléiade" des éditions Gallimard en 1981. "(...) Il n'est pas exagéré d'affirmer que la place occupée par Le "Rêve dans le Pavillon rouge" dans la littérature chinoise est au moins égale, sinon supérieure, à celle d'"À la recherche du temps perdu" dans la littérature française. C'est le plus grand roman au sens propre du terme de l'histoire littéraire de Chine. (...) Si au moins nous réussissons à jeter un premier pont entre cet immense roman et les lecteurs occidentaux pour aborder un monde merveilleux inconnu et lointain qui les enchantera, nous aurons la satisfaction d'avoir rempli notre modeste et utile rôle de passerelle culturelle entre la Chine et la France." - Wu Hongmiao et Laurent Ballouhey
56 fleurs en couleurs (26 signées par Redouté) peintes de 1685 à 1823 pour le Muséum d'Histoire Naturelle uniquement sur vélin. Commentaires très détaillés. Bibliographie. Présentation de Monique DUCREUX, conservateur en chef au Muséum national d'histoire naturelle de Paris. Préface de Henry de LUMLEY, directeur du Muséum national d'histoire naturelle de Paris.