En garde! En 1625, le jeune Gascon d'Artagnan débarque à Paris, nanti des
plus folles ambitions. Après un triple duel et un assaut contre les gardes du cardinal, il gagne la confiance d'Athos, Porthos et Aramis, célèbres mousquetaires du roi Louis XIII.
Les quatre compagnons sont amenés à sauver la reine Anne d'Autriche des
manoeuvres perfides de Richelieu. En effet, sur une insinuation du cardinal, le roi a invité la reine à porter, au prochain bal de la cour, les douze ferrets de diamants qu'il lui a naguère offerts. Or, celle-ci a donné la précieuse parure à
son amant, le duc de Buckingham. Les valeureux amis entreprennent un périple en Angleterre pour retrouver les joyaux, se ralliant autour de leur devise: «Tous pour un, un pour tous!»
D'Artagnan, fou amoureux de Constance de Bonacieux, fidèle femme de chambre de la reine, devra affronter avec les mousquetaires la magnifique, mais diabolique, Milady, redoutable agent du cardinal.
Réussiront-ils, au terme d'un parcours semé d'embûches, à rapporter les
ferrets pour que la reine les arbore au baloe Que deviendra la belle et bonne Constanceoe Milady échappera-t-elle toujours à la justice humaineoe Voilà quelques-unes des intrigues dans lesquelles Dumas nous emmène à bride abattue!
Alain Carré, bien connu des auditeurs de France Culture, a relevé le fabuleux défi d'enregistrer chez Autrement dit, en première mondiale et en version intégrale, le chef-d'oeuvre incontesté d'Alexandre Dumas publié en 1844:
le roman de cape et d'épée le plus traduit au monde!
Sa voix chaude et profonde nous entraîne dans ces extraordinaires aventures,
pleines de liberté et de passions!
Julien GRACQ, (de son vrai nom Louis Poirier, né à Saint-Florent-le-vieil le 27 juillet 1910 et décédé à Angers le 22 décembre 2007) est incontestablement un des plus grands écrivains du 20e siècle !
De son vivant, il avait confié à Autrement dit le soin d'enregistrer certaines de ses oeuvres maitresses, tant les lectures spectacles d'Alain Carré l'avait touché et tant il appréciait notre édition de Sylvie de Gérard de Nerval.
La lecture intégrale d'Un balcon en forêt et des Eaux étroites est déjà un immense succès des éditions Autrement dit.
Gageons que Le Rivage des Syrtes, merveilleux roman de la fougue, de la jeunesse, de l'électrisation d'une ville portuaire à l'approche d'une invasion orientale, splendide roman d'amour entre le héros et Vanessa... roman pour lequel l'auteur reçut et refusa le prix Goncourt, soit à son tour un immense succès auprès du public qui désire autre chose que la grosse cavalerie commerciale, mais des oeuvres de grand style, superbement construites, dans lesquelles un auteur livre un souffle véritable...
Victor Hugo utilise l'histoire véridique de Claude Gueux pour argumenter contre la peine de mort. La réflexion de Victor Hugo porte sur les raisons qui poussent un homme à commettre un crime ; les racines de ce mal, il les remarque avant tout dans la pauvreté et l'injustice sociale. Un beau plaidoyer contre la peine de mort.
Livre « à part », comme Nietzsche le nomma lui-même. Dans Ainsi parlait Zarathoustra apparaissent pour la première fois des thèmes comme la volonté de puissance ou le surhomme. Ces idées comptent au nombre de celles qui ont le plus fortement marqué la pensée contemporaine. « Lorsque Zarathoustra fut âgé de trente ans, il quitta son pays, et le lac de son pays, et il s'en fut dans la montagne. Là jouit de son esprit et de sa solitude et dix années n'en fut las. Mais à la fin son coeur changea, -et un matin, avec l'aurore, il se leva, face au soleil s'avança... », Friedrich Nietzsche.
Avec Un balcon en forêt, paru en 1958, l'oeuvre romanesque de Julien GRACQ (un des plus grands auteurs du 20e siècle qui vient de nous quitter après nous avoir confié cet enregistrement) connaît un changement de cap décisif. Après un long silence de 7 ans et un roman resté inachevé, l'auteur transpose entre Meuse et Belgique sa propre expérience de la "drôle de guerre" et de la défaite de la France qui pourtant avait déclaré la guerre.
Les aventures de Renart, le roi de la ruse. Le poil flamboyant, le regard malicieux, il dupe ennemis et amis avec plaisir. Chantecler le coq, Tibert le chat, Ysengrin le loup ; tous sont victimes de ses tours. Il faut savoir se tenir éloigné du malin goupil, au risque d'y laisser des plumes.
Veuf inconsolable et fétichiste, Hugues Viane a choisi d'habiter Bruges pour la ressemblance qu'il y trouvait avec la mélancolie de son deuil.
Bruges-la-Morte est principalement l'évocation d'une ville (ses canaux et ses quais, ses rues désertes ou bondées lors du Saint-Sang, ses vieilles demeures, son béguinage, ses églises et ses gisants, son beffroi, etc).
Une ville, associée aux états d'âme et aux passions des personnages.« Elle les façonne selon ses sites et ses cloches. »
Le héros, Serge Mouret, ordonné prêtre à l'âge de vingt-cinq ans, choisit d'exercer son ministère dans le petit village des Artaud, à quelques kilomètres de Plassans, sa ville natale (qui correspond dans les romans de Zola à Aix-en-Provence). Là, il sent monter en lui l'appel des sens, appel refoulé jusque-là par son éducation et sa formation au séminaire. Cet élan est attisé au contact des paysans, proches de la nature, et de leurs filles aux moeurs assez libres.
Cette force se transforme en amour mystique pour la Vierge Marie (les pages de descriptions des prières du prêtre devant Marie sont merveilleuses, tendres, poétiques), accompagné d'extases et de mortifications qui finissent par le rendre gravement malade. À deux doigts de mourir, il est confié par son oncle, le Docteur Pascal, à un athée nommé Jeanbernat et à sa nièce Albine, jolie fille de 16 ans habituée à gambader dans la nature.
Ils vivent tous deux dans une merveilleuse propriété à l'abandon appelée le Paradou. Au Paradou, Albine va peu à peu réapprendre la vie à l'abbé Mouret. Dans ce Paradou métaphore du Jardin d'Eden à la végétation luxuriante, ils vivent comme Adam et Ève et découvrent peu à peu l'amour, qui finit par devenir charnel... mais comment un amour charnel peut-il remplacer celui divin et pur qui brûlait dans le coeur de Serge ? C'est là tout le drame de ce livre.
Zola fait preuve dans ce roman d'une maestria rarement atteinte dans la littérature française. Un roman un peu en marge, faussement naïf, très poétique, qui n'apporta pas le succès à son auteur : une enquête fut même demandée contre l'écrivain accusé de corrompre les bonnes moeurs et de ridiculiser l'Eglise.
Libertin, épicurien, esthète et séducteur incorrigible, Giacomo Casanova incarne le 18e siècle. Jouir de chaque instant fut le précepte de toute sa vie. "J'écris ma vie pour me faire rire et j'y réussis" écrit-il. Grâce à ses mémoires où il consigne ses moindres faits et gestes, de 1725 à 1798, nous pénétrons dans l'intime du 18e, des menus, des lieux, des pensées, des goûts de l'époque. Rédigées en français, ces mémoires, dont le manuscrit est accessible sur le site de la B.N.F., expriment son amour, immense, des femmes et de la vie, avec une précision parfois croustillante et une verve toujours savoureuse.
C'est incontestablement un des chefs d'oeuvre du patrimoine littéraire universel qu'Autrement dit offre, en première mondiale, à ses auditeurs, grâce à la classique voix profonde d'Alain Carré.
Un beau ténébreux est un roman des astres et de la catastrophe, c'est-à-dire du destin sur fond de vacances et de dérive du temps ; vacuité des personnages en attente, dans un théâtre vide. L'arrivée d'Allan va déclencher un maelström où tous les personnages vont perdre la tête. Allan est venu sceller le destin. Tout dorénavant se déplacera par rapport à lui. (Revue 303).
Le second livre de Gracq sera l'histoire d'une fascination, il sera marqué du sceau des affinités électives. L'identité sociale et psychologique des personnages s'efface devant la réalité de leur désir et de leur tentation. Mais depuis Argol la mise en scène de leur drame s'est singulièrement enrichie et compliquée. La théâtralité de l'action s'accentue, le nombre des acteurs s'accroît, les rôles se diversifient. [...] Au discours de la passion viennent s'entrelacer le discours du doute et celui de la contestation. Bernhild Boie.
Par ces deux Chroniques Italiennes, Stendhal, nous fait pénétrer dans la violence et les passions de l'Italie renaissante. Thème cher aux romantiques.
La première conte la révolte et le drame de Beatrix Cenci, par son père sorte de Don Juan sans scrupule (qui permet à l'auteur de donner sa vision du mythe).
La seconde Trop de faveur tue décrit les intrigues, les rivalités, et les amours coupables, qui se nouent dans un couvent de Florence à l'époque de Ferdinand de Médicis.
André Breton quelques aspects de l'écrivain Autour des sept collines Un balcon en forêt Un beau ténébreux Carnets du grand chemin Au château d'Argol Les eaux étroites En lisant en écrivant La forme d'une ville Lettrines Lettrines ii Liberté grande La littérature à l'estomac Penthésilée, de kleist, (théâtre) Préférences (critique) La prfsqu'ile Le rivage des Syrtes Le roi pêcheur (théâtre)
"Le Bal du comte d'Orgel" met en scène le désir, le devoir, et analyse brillamment les tensions qui résultent de ces forces souvent opposées. Voici un drame intime, une danse intérieure, les sentiments d'un homme et d'une femme pris dans la passion amoureuse. Ce texte reste très actuel !
Comment un jeune français, poussé par la tempête sur l'île de Procida, pourrait-il ne pas succomber aux charmes de Graziella ? Graziella, la pureté de la jeunesse, un condensé de toutes les grâces latines :
« Ses yeux, ovales et grands, étaient de cette couleur indécise entre le noir foncé et le bleu de mer, qui adoucit le rayonnement par l'humidité du regard et qui mêle à proportions égales dans des yeux de femme la tendresse de l'âme avec l'énergie de la passion, teinte céleste que les yeux des femmes de l'Italie empruntent au feu brûlant de leur jour de flamme et à l'azur serein de leur ciel, de leur mer et de leur nuit. Les joues étaient pleines, arrondies, d'un contour ferme, [...] La bouche, dont les lèvres étaient plus ouvertes et plus épaisses que celles des femmes de nos climats, avait les plis de la candeur et de la bonté. Les dents courtes, mais éclatantes, brillaient aux lueurs flottantes de la torche comme des écailles de nacre."
« Dans une société où les maris sont la nuit si occupés par le vin et les danseuses, les femmes devaient fatalement se rapprocher et trouver entre elles la consolation de leur solitude. De là vint qu´elles s´attendrirent à ces amours délicates, auxquelles l´antiquité donnait déjà leur nom, et qui entretiennent, quoi qu´en pensent les hommes, plus de passion vraie que de vicieuse recherche.
Alors Sapphô était encore belle. Bilitis l´a connue, et nous parle d´elle sous le nom de Psappha qu´elle portait à Lesbos. Sans doute ce fut cette femme admirable qui apprit à la petite Pamphylienne l´art de chanter en phrases rythmées, et de conserver à la postérité le souvenir des êtres chers. [...] elle nous a laissé en une trentaine d´élégies l´histoire de son amitié avec une jeune fille de son âge qui se nommait Mnasidika, et qui vécut avec elle. Déjà nous connaissons le nom de cette jeune fille par un vers de Sappô où sa beauté est exaltée : mais ce nom même était douteux, et Bergk était près de penser qu´elle s´appelait simplement Mnaïs. Les chansons qu´on lira plus loin prouvent que cette hypothèse doit être abandonnée.[...] Le jour où elle cessa d´être aimée, elle cessa d´écrire, dit-elle. Pourtant il est difficile d´admettre que les chansons de Pamphylie aient été écrites à l´époque où elles furent vécues. Comment une petite bergère de montagne eût-elle appris à scander ses vers selon les rythmes difficiles de la tradition éolienne ? On trouvera plus vraisemblable que, devenue vieille, Bilitis se plut à chanter pour elle-même les souvenirs de sa lointaine enfance... » Pierre Louÿs.
Constantine, août 1894.
Bilitis est également le titre du premier film de David Hamilton
« Mina de Vanghel naquit dans le pays de la philosophie et de l'imagination. » Ainsi commence l'histoire d'une jeune fille noble de Koenigsberg qui, au XIXe siècle, décide de vivre pleinement « le feu qui l'anime ». Mais si elle réchauffe un coeur, la passion peut aussi bien le consumer lentement. À la vie, à la mort ! Pour sentir cette brûlure même un instant, Mina s'engage jusqu'au crime. Reprenant la question de l'amour, Stendhal (1783-1842) poursuit son étude de la « cristallisation » des sentiments. Après ces Chroniques Italiennes publiées chez Autrement dit, c'est l'Allemagne que l'écrivain honore, tout en confirmant son immense talent de nouvelliste.
Liberté Grande est le versant poétique de l'oeuvre de ce géant.
Les premiers textes réunis en 1946 sous ce titre, qui portent la marque du surréalisme, ont tous été écrits entre 1941 et 1943. Mais la présente édition nous offre aussi ceux écrits en 1947 ("Paris à l'aube", "Moïse", "Intimité", "les Hautes Terres du Sertalejo"), en 1950 ("La sieste en Flandre hollandaise"), en 1957 ("Gomorrhe") et "Aubrac", écrit en 1963. Liberté Grande, mis en bouche par Alain Carré, mérite d'être découvert à l'instar des grands romans.
Dans sa dernière lettre l'auteur nous écrivait qu'il concevait son magnifique récit consacré à sa grand mère "comme un hommage à la petite dame qui a illuminé son enfance", et que le livre tout entier voudrait être une manière de salut à la volupté. De la présente lecture, Charles Bertin ne tarissait pas d'éloge : "Je redoutais un peu ce genre d'épreuve, qui risquait d'altérer la qualité d'un récit auquel je suis attaché par tous les liens que vous imaginez. Mon appréhension s'est révélée veine."
"Publiée en 1881, Un mâle est un des meilleurs romans naturalistes. Ce beau récit conte les amours clandestines du braconnier Cachaprès et de la fermière Germaine et qui font le désespoir de la sauvageonne P'tite, qui se vengera...Le sang, la passion, les pulsions s'opposent donc au milieu, à la culture, à l'éducation, thème cher aux auteurs ""décadents""."
Le livre & le CD nous plongent dans le plus grand scandale politico-financier de la France du XXe siècle. Il s'agit de la pièce de théâtre créée à partir du procès par N.Lambert et des émissions qui lui furent consacrées à FranceInter «Je m'aperçois que nous ne sommes pas face à trois personnes qui ont dérapé. C'est beaucoup plus profond que ça. Il s'agit réellement d'un système de gouvernement.» Eva JOLY De ce «casse du siècle», N.L. a tiré une pièce souvent drôle mais toujours cruelle, qui se veut tout autant la lecture d'un procès à bien des égards exceptionnel qu'un réquisitoire militant contre cette forme de colonialisme pétrolier français. Après deux heures de spectacle, Nicolas Lambert s'avance vers le public. Il n'est plus président du tribunal, ni prévenu, ni même comédien. Simplement un citoyen qui s'interroge. Pascale ROBERT-DIARD, Le Monde Le Floch-Prigent, Alfred Sirven, André Tarallo.Tous racontent et avouent, dans le texte, le pillage d'Elf. Karl LASKE, Libération / Véritable oeuvre théâtrale, portée par un auteur-comédien impitoyablement honnête. Denis BONNEVILLE, La Marseillaise
Libertin, épicurien, esthète et séducteur incorrigible, Giacomo Casanova incarne le 18e siècle. Jouir de chaque instant fut le précepte de toute sa vie. "J'écris ma vie pour me faire rire et j'y réussis" écrit-il. Grâce à ses mémoires où il consigne ses moindres faits et gestes, de 1725 à 1798, nous pénétrons dans l'intime du 18e, des menus, des lieux, des pensées, des goûts de l'époque. Rédigées en français, ces mémoires, dont le manuscrit est accessible sur le site de la B.N.F., expriment son amour, immense, des femmes et de la vie, avec une précision parfois croustillante et une verve toujours savoureuse. C'est incontestablement un des chefs d'oeuvre du patrimoine littéraire universel qu'Autrement dit offre - en première mondiale - à ses auditeurs, grâce à la classique voix profonde d'Alain Carré.
"Cultiver les plaisirs de mes sens fut dans toute ma vie ma principale affaire ; je n'en ai jamais eu de plus importante. Me sentant né pour le sexe différent du mien, je l'ai toujours aimé, et je m'en suis fait aimer tant que j'ai pu. J'ai aussi aimé la bonne table avec transport, et passionnément tous les objets faits pour exciter la curiosité. J'ai aimé les mets au haut goût : le pâté de macaroni fait par un bon cuisinier napolitain, l'Ogliapotrida, la morue de Terre-Neuve bien gluante, le gibier au fumet qui confine, et les fromages dont la perfection se manifeste quand les petits êtres qui les habitent commencent à se rendre visibles. Pour ce qui regarde les femmes, j'ai toujours trouvé que celle que j'aimais sentait bon, et plus sa transpiration était forte plus elle me semblait suave. Quel goût dépravé !"
Ce CD présente deux chefs-d'oeuvre du répertoire musical et littéraire tout spécialement dédié à l'enfance.
D'une part L'Histoire de Babar le petit éléphant, de Jean de BRUNHOFF, mise en musique par Francis POULENC.
D'autre part Pierre et le loup de Serges PROKOFIEV dans sa version pour piano, celle que le compositeur interprétait lui-même en tournée.
Comme toutes les créations géniales, elles séduisent chaque génération et parlent à tous les âges.
Qui est donc cette femme mystérieuse qui s'incruste chez ce célèbre écrivain, un soir de réveillon de jour de l'an, tandis qu'il travaille sur un nouveau projet ? Et d'où vient-elle ? Par quel miracle sait-elle tout de lui, alors qu'il ne l'a jamais rencontrée auparavant ? Contre son gré, ils passeront en revue certains aspects de sa vie. Qu'a-t-elle donc à lui reprocher ? Pourquoi le pousse-t-elle dans ses derniers retranchements. Tombera-t-il enfin le masque ?
Une réflexion sur le rapport aux autres et, a fortiori, sur le rapport à soi.
2 personnages principaux :
Un homme (l'écrivain) Une jeune femme (la visiteuse) Décor unique : une vaste chambre de bonne avec de gauche à droite une porte d'entrée, un canapé et table basse sur le coté, une armoire-bibliothèque, une table de travail et une fenêtre donnant sur la rue.