Hap Collins, ouvrier texan idéaliste devenu enquêteur, est heureux:il se marie enfin avec sa compagne, Brett, qui dirige l'agence de détectives où il travaille avec son vieil ami, Leonard, noir, gay, républicain et bagarreur. Mais en pleine noce surgit une famille d'intégristes religieux, qui leur demande de retrouver leur fille, surnommée Jackrabbit. Elle a disparu à Marvel Creek, petite ville reculée du Texas, où racistes et fanatiques font la loi... jusqu'à l'arrivée de Hap et Leonard.
C'est bien beau de chanter les louanges de la Nature, mais n'en fait-on pas un peu trop ? La Nature n'aurait-elle pas elle aussi des défauts ? Les violents orages, les blizzards bizarres, les chutes de météorites, le sable des plages qui s'infiltre partout, les pigeons malveillants et autres volatiles agressifs, les tarentules géantes et les chiens qui se mettent à parler... Autant d'épreuves pour les nerfs de n'importe quel individu sensé. Sans parler du jardinage ou de l'observation des colonies de fourmis, des occupations qui risquent fort de vous mener à la dépression
Hap Collins, plouc autoproclamé, ancien activiste hippie, et Leonard Pine, noir, gay et républicain, ont le goût des affaires rocambolesques. Lorsque le duo de détectives se penche sur le cas d'un jeune Noir assassiné par la police, ils mettent le doigt dans un engrenage qui les mènera à des flics corrompus, des tueurs à gages et même une vampire naine assoiffée de vengeance. Ce n'est pas la première fois qu'ils subissent menaces et agressions, mais que faire quand vos ennemis sont les représentants de la loi en personne?
Hap, ancien activiste hippie et rebelle plouc autoproclamé, et Leonard, vétéran du Vietnam dur à cuire, noir, gay, républicain et addict au Dr Pepper, sont sur un banal contrat de surveillance dans l'est du Texas.
Alors que la planque sans intérêt touche à sa fin, ils aperçoivent un homme qui maltraite son chien. Leonard règle l'affaire à coups de poing. Résultat : l'agresseur de chien, salement amoché, veut porter plainte. Une semaine plus tard, une certaine Lilly Buckner débarque dans leur nouvelle agence de détectives privés pour leur faire une proposition : soit ils acceptent de retrouver sa petite-fille, soit elle livre à la police une vidéo de Leonard tabassant l'agresseur de chien. Le duo accepte de rouvrir ce vieux dossier et découvre que le concessionnaire d'occasion où travaillait Lilly cache de sombres secrets.
Un père de famille massacre toute la famille à l'issue d'un Noël traditionnel, une petite fille finit le réveillon suspendue au lustre, l'oncle Edith flanque des taloches aux garnements qui n'écoutent pas ses contes stupides... Quant à Robert Benchley, il se lance dans la fabrication d'une neige artificielle (" qui causerait autant de problèmes que la neige ordinaire "), milite pour la prohibition des cartes de voeux et s'enthousiasme pour l'ajout d'un " Jour de fin d'année " au calendrier, qui permettrait de récupérer de sa cuite du Nouvel An avant de retourner au bureau.
Composé aux deux tiers de nouvelles totalement inédites, Pourquoi je déteste Noël est un livre salutaire à offrir et à lire soi-même avant Noël (pour s'y préparer), pendant Noël (pour le supporter) ou après Noël (pour s'en remettre).
Jeune Noir américain du début du XXe siècle, Abe n'aura connu qu'une courte vie de misère et d'injustice lorsqu'il meurt à vingt-sept ans. Expédié en enfer par Jésus Christ en personne, il constate avec stupéfaction que ses congénères y sont privilégiés sur les Blancs, pour mieux faire souffrir ces derniers. Abe profite de cet éternel séjour : il s'instruit et tente de comprendre pourquoi le « rêve américain » est resté inachevé. Sympathisant avec un Blanc, Dave, ancien éclaireur de la conquête de l'Ouest scalpé par les Indiens, lui aussi convaincu de la grandeur de leur nation, Abe persuade le Diable (un manager moderne, amateur de jazz et de partouzes) de les renvoyer tous deux dans l'Amérique de 1938. De son côté, le Diable se frotte les mains face à la Seconde Guerre mondiale et aux vagues de clients qui arrivent...
Séparés à l'arrivée, mais promettant de se retrouver, les deux amis vont alors suivre des chemins différents, semés d'embûches.
Satire sociale féroce sous la forme d'une farce burlesque, d'un réalisme cru et virulent, Un Américain en enfer s'attaque avec un humour frontal et décapant, au-delà de la seule ségrégation raciale, à l'essence même du « rêve américain ».
Maître de l'humour décalé et absurde, Robert Benchley (1889-1945) est l'un des écrivains les plus drôles qu'ait produit l'Amérique.
Conan Doyle lui-même s'est essayé au pastiche de ses propres nouvelles; il a mis en scène Sherlock Holmes dans des "à la manière de", qui ne font pas partie du sacro-saint "Canon". L'un de ces textes, à l'histoire particulière, figure dans ce recueil, aux côtés de trois nouvelles de continuateurs brillants: Donald Thomas, Leslie S. Klinger et Barry Day, tous grands connaisseurs de l'oeuvre et auteurs de pastiches si réussis qu'on les dirait authentiques. A la manière du maître. Ce volume est précédé d'une préface de Thierry Saint Joanis, président de la Société Sherlock Holmes de France et grand érudit en science holmésienne.
Maître de l'humour décalé et absurde, Robert Benchley (1889-1945) est l'un des écrivains les plus drôles qu'ait produit l'Amérique.
"Elle était la personne la plus triste, la plus solitaire qu'il avait jamais rencontrée : elle était la solitude incarnée, la mélancolie même." Dès que Jim Messenger croise cette jeune femme dans un café de San Francisco, il est bouleversé par l'impression de solitude qui se dégage d'elle. Elle a beau l'avoir éconduit, il ne peut s'empêcher de l'observer et de la suivre de loin. Jusqu'au jour où elle ne vient pas au café. Inquiet, il se rend chez elle et découvre qu'elle s'est donné la mort. Obsédé par cette femme, Jim décide de découvrir qui était vraiment celle qu'il surnommait Mademoiselle Solitude.
Du bébé vagissant à l'adolescent taciturne, l'humoriste Robert Benchley va tenter de percer, au fil de ces quinze textes humoristiques, le mystère de ces étranges créatures : les enfants. Il se propose ainsi de répondre, à sa manière inimitable, à certaines questions essentielles, comme « Comment porter un bébé ? » ou «Quel chien choisir pour votre garçon ? (et inversement)».
Il livrera par ailleurs aux parents anxieux et dépassés quelques conseils frappés au coin du nonsense : «La plupart des crimes et des problèmes sociaux actuels, selon toute probabilité, sont la faute de parents qui ont acheté des vêtements de taille dix ans à des garçons âgés de quatorze. Mais je ne vois pas où peut mener toute tentative pour éduquer les enfants, sinon au chaos.»
Jeune Noir américain du début du XXe siècle, Abe n'aura connu qu'une courte vie de misère, d'injustice et de prison lorsqu'il meurt à 27 ans. Expédié en enfer par Jésus Christ en personne, il constate avec stupéfaction que ses congénères y sont privilégiés sur les Blancs, pour mieux les faire souffrir. Abe profite de cet éternel séjour : il s'instruit et tente de comprendre pourquoi le "rêve américain" est resté inachevé.
Sympathisant avec un Blanc, Dave, ancien éclaireur de la conquête de l'Ouest scalpé par les Indiens, lui aussi convaincu de la grandeur de leur nation, Abe persuade le Diable (un manager moderne, amateur de jazz et de partouzes) de les renvoyer tous deux dans l'Amérique de 1938. Séparés, mais promettant de se retrouver, les deux amis vont alors suivre des chemins différents, semés d'embûches. Pendant ce temps, alors qu'éclate la Seconde Guerre mondiale, avec son gros lot de clients, le Diable se frotte les mains...
Satire sociale féroce sous la forme d'une farce burlesque, d'un réalisme cru et virulent, Un Américain en enfer s'attaque avec un humour frontal et décapant, au-delà de la seule ségrégation raciale, à l'essence même du "rêve américain" . L'AUTEUR Cinéaste, acteur, compositeur et écrivain, Melvin Van Peebles est né en 1932 à Chicago. Arrivé à Paris au début des années 1960, il rencontre Chester Himes, puis François Cavanna et collabore à la revue Hara-Kiri, où il publie entre autres Le Chinois du XIVe, illustré par Topor.
De retour aux Etats-Unis, il continue d'écrire, d'enregistrer des disques et réalise plusieurs longs métrages, dont Sweet Sweetback's Baadasssss Song (1971), le film précurseur du cinéma de "Blaxploitation" . Paru aux Etats-Unis en 1976 (et prépublié dans le magazine Playboy d'Hugh Hefner), Un Américain en enfer, roman majeur de son auteur, laisse éclater toute sa verve et sa lucidité caustique. Agé de 87 ans, Melvin Van Peebles vit aujourd'hui à New York.
"Melvin, son cinéma, c'est le négro américain dessalé cigare au coin du bec j'emmerde les gros cons de blancs je méprise les négros qui ne sont que des négros. Tout Harlem dans un verre, Melvin". (Cavanna, Bête et méchant)
Après Grandeur et décadence d'un peu tout le monde, le nouveau livre inédit en français de Will Cuppy renoue avec l'exploration des animaux les plus incongrus de la planète, des « Insectes optionnels » aux « Oiseaux qui ne savent même pas voler », en passant par « Les mammifères problématiques », au nombre desquels, bien sûr, le wombat.
Mais ne nous y trompons pas : si l'humour de Cuppy est aussi irrésistible, c'est qu'y pointe l'acuité d'un grand moraliste, dans la lignée d'un La Fontaine et d'un La Rochefoucault, revu et corrigé par Mark Twain, où le sens aigu du comique est relevé d'un pessimisme toujours spirituel.
Le livre est illustré par Honoré dont le style s'inspire de l'art de la gravure, remarqué par la série des Rébus littéraires et illustrateur d'un Bestiaire d'Alexandre Vialatte.
C'est la jungle !, une des rares BD entièrement dessinée par Kurtzman, par ailleurs scénariste prolifique, est considérée comme son chefd'oeuvre personnel.
Ce « comic book » se compose de quatre histoires distinctes d'une quarantaine de pages : si deux sont d'hilarantes parodies au vitriol de genres alors en vogue (le polar « jazzy » et le western « névrosé »), Le Cadre supérieur en costard de flanelle grise se livre à une critique acerbe du monde de l'édition commerciale et Décadence dégénérée (lynchage dans une ville du Texas) du racisme américain ordinaire, des thèmes très «adultes» pour les comics de l'époque.
Premier « comic book » paru directement en format poche en 1959, à forte teneur autobiographique, C'est la jungle ! est un des premiers véritables « graphic novels ».
A trente-deux ans, Tommy Russo rêve encore de devenir acteur, alors qu'il n'a guère fait que de la figuration et ne parvient même pas à décrocher un rôle dans une publicité d'aliments pour chiens. En attendant, il travaille comme videur dans un bar de Manhattan, le O'Reilley's, et flambe tout son salaire - voire plus - sur les champs de courses hippiques. C'est là qu'un autre joueur vient lui proposer une affaire : s'associer à cinq pour devenir propriétaire d'un cheval. Voilà qui flatte les rêves de grandeur de Tommy, qui se voit déjà fêter la victoire de son crack à Hollywood Park en compagnie de ses idoles, Pacino et DeNiro. Mais comment se procurer les dix mille dollars à mettre sur la table quand on est déjà plus que fauché ? Le coffre-fort du O'Reilley's, bourré à craquer grâce aux paris sur le Super Bowl, est bien tentant. Or savoir saisir les occasions, n'est-ce pas ce qui différencie les winners des losers ?Jason Starr est une signature désormais bien connue des lecteurs de roman noir. Il est déjà l'auteur en Rivages/Noir de Mauvais karma (nº584, 2005), La Ville piège (nº 698, 2008) récompensés par le Barry Award (2004) et l'Anthony Award, et en 2009 Frères de Brooklyn (nº 738). Il maîtrise parfaitement l'art du suspense et de la tension, tout en s'intéressant aux personnages de losers dont il fait des héros extraordinaires.« Jason Starr est le chef de file de la nouvelle vague du roman noir. »George Pelecanos« La Ville piège est mon livre de l'année. »Ken Bruen« On prend un plaisir fou à lire ce livre. »Brett Easton Ellis à propos de Mauvais karmaUn autre roman de Jason Starr Crise de panique, paraîtra simultanément aux éditions Outside/Thriller.
Véritable manuel anticrise (de morosité), L'Économie, pour quoi faire ? regroupe douze leçons d'économie aussi mordantes qu'hilarantes du professeur Benchley, docteur ès nonsense , témoin en son temps du krach de 1929. Robert Benchley se penche ainsi sur la situation fi nancière internationale, donne des conseils au président Poincaré pour stabiliser le franc et tente d'inculquer le sens de l'humour aux banquiers. Il étudie aussi des marchés en pleine mutation, comme celui de la brunette parisienne ou du chameau en Australie. Enfi n, il nous invite à méditer sur la réussite, ou encore sur cette formule pleine de sagesse : « Le travail est une forme de nervosité. » Ce recueil de 12 textes (dont 11 inédits) est le 3e chez Wombat après Les Enfants, pour quoi faire ? et Pourquoi je déteste Noël .
Du bébé vagissant à l'adolescent taciturne, Robert Benchley va tenter de percer, au fil de ces quinze textes humoristiques, le mystère de ces étranges créatures : les enfants. Il se propose ainsi de répondre, à sa manière inimitable, à certaines questions essentielles, comme " Comment porter un bébé ? " ou " Quel chien choisir pour votre garçon ? (et inversement) ". Il livrera par ailleurs aux parents anxieux et dépassés quelques conseils frappés au coin du nonsense, dont l'essentiel peut se résumer à ceci : " D'accord, un grand nombre de mères et de pères sont incapables d'élever des enfants au-delà du stade où ils arrêtent de baver, et la plupart des crimes et des problèmes sociaux actuels, selon toute probabilité, sont la faute de parents qui ont acheté des vêtements de taille dix ans à des garçons âgés de quatorze. Mais, même si l'État fonctionnait à la perfection, je ne vois pas où pourrait mener sa tentative d'éduquer les enfants, sinon au chaos. D'ailleurs, je ne vois pas où peut mener toute tentative pour éduquer les enfants, sinon au chaos. "
Du premier politicien préhistorique, un certain Blab le Lourdaud, aux campagnes télévisées modernes, le professeur Price révèle la logique absurde du système électoraliste, qu'il pousse à l'extrême en fondant le parti « Moi d'abord ». Son credo : le pur intérêt égoïste.
Invitant tous les électeurs avides à le rejoindre, il livre son programme et expose ses techniques de trucage des urnes, l'art de gérer les conférences de presse d'un candidat débile, mais aussi les manières de se défendre face à la menace des petits hommes verts...
Déjà inventeur de la désopilante théorie « profainéantise » de l'Évitisme (Le Cerveau à sornettes), l'humoriste loufoque Roger Price signe ici une parodie décapante de manifeste politique, sapant avec un humour absurde et acerbe les fondements de notre système.
David Ullman, spécialiste mondial de littérature satanique, est invité à Venise pour y attester d'un phénomène surnaturel. Loin de croire que la terre est peuplée de millions d'âmes errantes et invisibles au commun des mortels, il s'y rend avec réticence. Tess, sa fille de douze ans, l'accompagne. Sur place, des manifestations paranormales font vaciller les certitudes cartésiennes de David. Avec, en point d'orgue, la disparition de Tess... Dès lors, il n'a qu'une obsession : la retrouver.
En 1972, le comique Jack Douglas s'installe avec sa femme japonaise et ses enfants dans un chalet coupé du monde au fin fond de la forêt canadienne. Son but :
Réapprendre l'autonomie à ses loups, nés en captivité, afin de pouvoir les libérer.
Mais voilà que débarque la bande de poivrots au bon coeur de son Association écologique :
Un couple d'antiquaires gays, un ivrogne fou du volant ou encore un docteur zoologue coureur de jupons. L'expérience tourne alors à l'aventure rocambolesque - une aventure où il sera question de sexe (et de zoophilie), de cuisine (et de cannibalisme) et bien sûr de l'élevage des loups !
Étincelante satire de l'écologie naissante, ce truculent récit autobiographique témoigne aussi, entre deux rires, de la passion poignante d'un homme pour la vie sauvage.
" À trois reprises on m'a pris par erreur pour un agent de la Prohibition ; mais je n'ai jamais eu aucun mal à me disculper.
"
Elles sont jeunes, blondes et athlétiques.
Quand on retrouve leur cadavre, leur coeur a disparu...
Lucinda, 28 ans, est enlevée au cours de son jogging matinal. Le soir même, on découvre sur un terrain vague le cadavre de Katie, 16 ans. Elle a la cage thoracique ouverte. Son coeur a été prélevé. De manière chirurgicale.
Michael McCabe et son équipière Maggie Savage, de la police de Portland, dans le Maine, orientent aussitôt leur enquête vers les chirurgiens cardiaques de la région.
Mais le temps leur est compté s'ils veulent retrouver Lucinda avant que son coeur ait cessé de battre.
(Première édition : l'Archipel, 2013, sous le titre "Donne-moi ton coeur").
Un cadavre gelé.
Un témoin manquant.
D'étranges voix qui surgissent de nulle part...
Quand, peu de temps avant Noël, l'inspecteur Mike McCabe, de la police de Portland, découvre le corps nu et congelé de Lainie Goff, il est saisi d'effroi...
La ressemblance entre la victime et son ex-épouse est étonnante. Et, dans sa bouche, un morceau de papier sur lequel est inscrit cette effrayante citation : « Tous les pécheurs de mon peuple périront par l'épée... » Dès que McCabe apprend qu'il existe un témoin du meurtre, il se précipite avec sa partenaire Maggie Savage pour l'interroger. Mais ce témoin - une jeune femme perturbée qui entend des voix - a disparu.
S'est-elle enfuie ? Le tueur est-il à ses trousses ?
Car ce dernier n'a pas fini sa croisade meurtrière...