Depuis plus de deux mille ans, le catholicisme a inspiré de sublimes chefs-d'oeuvre. On pense aux peintures, aux retables ou aux icônes, mais les artistes catholiques ont aussi créé tout un langage d'objets et de monuments, de la toute petite médaille de baptême, jusqu'aux fabuleuses cathédrales. Leur art est lié à la foi et il sert à prier et à évangéliser. Il prend vie au cours de la messe ou à l'occasion des processions. Dans cet ouvrage richement illustré, Suzanna Ivani? décode les symboles et les rituels de ce culte et de cette piété, et décrypte comment toutes les oeuvres qu'ils ont engendrées dans le monde entier ont influencé, et influencent encore, notre culture esthétique.
Décoder l'architecture chrétienne et ses décors Destiné aux amateurs éclairés comme aux néophytes, ce manuel dévoile le développement de l'architecture des églises depuis les premiers chrétiens jusqu'au néomodernisme du XXIe siècle.
Vous y trouverez :une analyse de tous les types d'architectures chrétiennes : églises, basiliques, cathédrales, chapelles, monastères, abbayes ;une grammaire des styles pour mieux décoder un édifice ;la manière de repérer les indices (plan, matériaux, ornements...) et les traces de remaniements afin de situer les édifices dans leur contexte historique une compréhension de ce que les bâtisseurs ont voulu exprimer. Avec plus de 600 splendides illustrations, pour la plupart tirées de sources anciennes, qui constituent une véritable bibliothèque visuelle.
Abel Fabre (Abbé, prêtre assomptionniste), fut un brillant historien d'art et critique d'art à La Croix. En tant que journaliste, il fut chargé du service artistique de la librairie La Bonne Presse. Né à Plaissan, dans l'Hérault, le 5 mai 1872, il décéda le 16 janvier 1929, à Paris. Abel Fabre a été gratifié du Prix Montyon, prix décerné en 1917 par l'Académie Française pour ses cinq tomes de Pages d'Art chrétien, dont nous rééditons aujourd'hui le tome 1. Ici, l'Art chrétien est observé, admiré, sondé et décrit à travers l'architecture, la peinture, la sculpture et l'iconographie, un écrit alerte et talentueux abondamment illustré qui révèle combien la foi a illuminé les Å«uvres d'art, tout au long de l'histoire...
La Bibliothèque apostolique vaticane conserve de très nombreuses versions manuscrites de la Bible, toutes aussi rares que somptueuses : un voyage érudit parmi les plus anciens témoins datant de la fin du IIe siècle jusqu'à l'invention de l'imprimerie. Ouvrage richement illustré d'oeuvres inédites, des enluminures qui ont nourri et même structuré un millénaire d'histoire religieuse et artistique. Cet ouvrage est le premier d'une série dédiée à l'Art du livre dans la plus grande tradition de l'Imprimerie nationale.
Catalogue de l'exposition qui se tiendra à l'IMA puis au MUba de Tourcoing, cet ouvrage constitue une plongée dans l'histoire des communautés chrétiennes du Proche et Moyen-Orient, sur les territoires actuels de la Syrie, du Liban, de l'Égypte, des territoires palestiniens et d'Israël, de la Jordanie et de l'Irak, voire de la péninsule Arabique.
L'architecture, les liturgies, l'hymnologie, l'importance du monachisme et des pèlerinages qui trouvent leurs premières expressions dans cet espace, le culte des saints, la place centrale qu'occupe la vierge et l'image sont autant de portes d'entrée pour comprendre les convergences et spécificités de chacune des communautés présentes.
Cet espace au coeur des vicissitudes de l'histoire, tour à tour romain, byzantin, musulman, ottoman, au centre des convoitises occidentales, avant de connaître les mouvements nationalistes arabes, est aujourd'hui au centre des préoccupations. Au-delà de la préservation du patrimoine matériel et immatériel, c'est la question de la diversité du monde arabe et de sa riche histoire qui est posée en interrogeant la place et la présence des chrétiens au Moyen et Proche-Orient.
De la naissance du christianisme en Palestine et en Jordanie et du développement des premières communautés après l'évangélisation vers la Syrie, l'Irak, l'Égypte et la péninsule Arabique, jusqu'à la diaspora chrétienne orientale dans le monde : transmission d'une iconographie, formation d'Églises après des dissensions théologiques, spécificités liturgiques, diversité des langues et des chants sacrés, art de l'icône, ponts culturels avec intellectuels et artisans musulmans, ottomans et européens, implication dans les nationalismes arabes, reconstructions après des traumatismes sanglants... C'est l'ancrage historique des chrétiens dans le monde arabe qui est ici mis en exergue.
L'exposition s'organisera autour d'une sélection méticuleuse d'objets liturgiques antiques, d'icônes médiévales et contemporaines toujours vénérées, et d'oeuvres d'art allant de la période antique à la période contemporaine, de documents d'archives familiales, diplomatiques, mis en perspective par des films, des extraits sonores et des documentaires permettant de traduire l'aspect vivant du christianisme oriental.
L'Europe, qui s'étend de l'Atlantique à l'Oural, a été tissée au fil des siècles par l'histoire, la politique et le christianisme. Les hommes y ont bâti des cathédrales, des églises, des chapelles, des abbayes et des monastères à la croisée des arts, des sciences et des cultures. Ces lieux historiques sont-ils des musées ou toujours habités par des religieux ? Quels sont ces hommes et ces femmes qui, au XXIe siècle, choisissent de se retirer dans les monastères ? De l'Irlande à la Russie, de la Grèce à la Pologne, des communautés de frères et de soeurs catholiques et orthodoxes nous ont ouvert leur intimité, parfois le secret de leur cellule, et permis également de découvrir les trésors artistiques qu'ils ont su conserver à travers les siècles. Des photos qui racontent une aventure humaine unique aux sources de la spiritualité de notre continent.
Le beau succès de Visages de Marie. 34 personnages de la Bible illustrés par des oeuvres d'art du Ier au XXe siècle , Pour chaque personnage : une présentation de sa vie, un extrait biblique et une oeuvre commentée , Trois auteurs spécialistes d'Écriture sainte et d'histoire de l'art.
Marie de nazareth, la mère de dieu : la plus humble, des femmes, et la plus célébrée.
Au fil des siècles chrétiens, peintres et écrivains lui ont consacré le meilleur de leur talent, s'émerveillant de sa foi, de son amour, de sa beauté. ainsi ce livre nous offre-t-il une sélection de chefs-d'oeuvre des plus grands artistes, giotto, fra angelico, botticelli, van der weyden, caravage, van gogh et bien d'autres. ainsi donne-t-il la parole à des auteurs tels que villon, verlaine, hugo, claudel, bernanos, rilke.
Textes et peintures se répondent, tressant une couronne de louanges à la vierge.
Avec des mots simples et forts, jean vanier, en s'appuyant sur son expérience de vie auprès des plus démunis, présente l'ensemble de l'ouvrage et chacun des six thèmes qui le composent en l'honneur de marie.
De l'art paléochrétien à la peinture moderne, des icônes aux oeuvres de la Renaissance, une histoire des représentations du Christ dans l'art.
Un texte accessible et une iconographie très riche : plus de 120 reproductions d'oeuvres magnifiques et très diverses.
L'auteur, spécialiste de l'art chrétien et notamment des icônes, livre une vaste réflexion sur l'originalité des réalisations architecturales et artistiques des chrétiens d'Orient, qui développèrent des thèmes iconographiques propres, distincts de ceux du monde byzantin, élaborés en Palestine. Elle couvre ainsi un vaste Moyen Orient allant de l'Armenie et la Georgie à l'Ethiopie et à la Nubie, en passant par la Cappadoce, le Liban, la Syrie, la Terre sainte, l'Irak et l'Egypte. Alors que nombre de ces réalisations ont disparu ou sont en cours de destruction, un ouvrage capital pour comprendre l'importance des premiers arts chrétiens et leur influence sur la création artistique du monde médiéval occidental.
Un petit livre qui explique la construction de la Cathédrale de Strasbourg et la Fondation de l'Oeuvre Notre-Dame.
Cet ouvrage d'exception, sans précédent ni équivalent, est le 16e dans la prestigieuse collection « La grâce d'une cathédrale ». Il est l'oeuvre de 13 auteurs, les meilleurs spécialistes : historiens, historiens de l'art, architectes, archéologues, etc. L'ouvrage est dirigé par l'archevêque de Rennes, Dol et Saint-Malo, Mgr Pierre d'Ornellas. Le sommaire est varié, synthétique, attractif. Dans une iconographie somptueuse et en partie inédite, est présentée la synthèse des connaissances les plus à jour sur la cathédrale de Saint-Malo.
Construite à partir du XIIe siècle au coeur de la cité fortifiée, la cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo a vécu au rythme de l'histoire de la cité des corsaires et est devenue un lieu de mémoire pour les Grands Malouins (Chateaubriand, Jacques Cartier...). Cathédrale martyre, elle été fortement détruite lors des bombardements d'août 1944. Mais, après une intense campagne de reconstruction qui s'est achevée en 1972, c'est aujourd'hui un haut-lieu de création pour l'art sacré contemporain : Jean Le Moal et Max Ingrand pour les vitraux ; Arcabas et Goudji pour le mobilier des deux choeurs.
Le livre s'adresse au grand public intéressé par Saint-Malo et par tous les passionnés de l'Histoire de France et des cathédrales. Il est enrichi de plus de 300 magnifiques illustrations : un reportage photographique inédit, de nombreux tableaux et photos anciennes. C'est un ouvrage de près de 300 pages grand format (27x37 cm), avec une reliure de prestige (toile, cuvette, fer à dorer).
L'institut du monde arabe se penche sur l'histoire des chrétiens d'Orient. Des origines du christianisme jusqu'à nos jours, ce hors-série revient tant sur les différents églises et les disputes théologiques que sur la production artistique de ces communautés dispersées du Proche-Orient jusqu'en Ethiopie.
La basilique Saint-Marc est l'écrin parfait qui exprime le mieux la grande vénération de la population vénitienne pour saint Marc l'Évangéliste, dont les restes reposent au coeur de la Sérénissime. Ses précieuses mosaïques témoignent de l'heureuse union de la foi et de l'art, dans un mariage bienvenu entre la culture chrétienne d'Orient et celle de l'Occident.
Ainsi, la basilique Saint-Marc, silencieuse et méconnue, attend qu'on s'arrête et qu'on se mette à feuilleter avec un soin attentif ses grandes pages somptueusement enluminées. Elle ne resplendit pas seulement de l'or de ses mosaïques, mais provoque aussi l'enchantement dans une grande variété d'autres matériaux choisis et modelés par le génie des artistes : voici les pierres sculptées et les bas-reliefs, les incrustations de marbre, les argenteries sacrées, les pierres et les émaux précieux, les tapisseries tissées, les pages enluminées, etc.
La « Bible de Saint-Marc » est donc la basilique elle-même, prise dans son ensemble, qui s'est développée au fil de son histoire quasi millénaire. Son patrimoine historique et artistique ainsi mis en lumière permet de vérifier avec quelle force étonnante les textes sacrés ont été matrice de culture et source authentique d'inspiration, suscitant à la fois stupéfaction et émerveillement.
Si le Vatican témoigne de 2000 ans d'histoire, c'est aussi un concentré exceptionnel du patrimoine culturel mondial. Palais, musées, bibliothèques et archives révèlent les chefs-d'oeuvre et les secrets d'hommes forgés par la foi. Ce livre ouvre les portes de cette étonnante et mystérieuse cité, nous guidant à travers ses rites, ses traditions et ses trésors. Au fil des pages, une fresque étrange et fabuleuse prend vie, où se mêlent papes, oeuvres intemporelles, faits historiques, cérémonies d'aujourd'hui et cour d'hier... sans oublier la vie quotidienne.
Les jubés et chancels qui parent encore certaines églises et chapelles de Bretagne témoignent de la vitalité d'un art local qui s'écarte du cliché d'archaïsme dont on a trop souvent affublé l'art breton, même si une partie de l'ample production traduit bien une expression de bonhomie familière. Mais les ateliers et les artistes indépendants qui appartiennent à une réalité bien ancrée en Bretagne travaillaient en conjuguant leur connaissance des évolutions de l'art en Europe et la sensibilité bretonne, ce qui a conduit à cet adage que l'art breton adopte et adapte.
Ce catalogue présente une sélection d'oeuvres réalisées entre la fin du 12e siècle et la première moitié du 16e siècle, originaires d'Italie, de France, des anciens Pays-Bas ou encore des pays germaniques, offrant aux lecteurs un vaste panorama de la sculpture à l'époque gothique. La grande majorité des pièces qui y sont présentées sont issues d'anciennes collections prestigieuses ou, à l'inverse, demeurent à ce jour inconnues sur le marché de l'art, constituant de réelles et importantes découvertes pour les historiens et les amateurs. Parmi ces trésors, il convient de citer deux importantes têtes gothiques de Chartres et de Reims des 12e et 14e siècles, une exceptionnelle Vierge à l'Enfant de la fin du 14e siècle rattachée à l'oratoire de l'abbaye de Saint-Georges de Boscherville, ou encore deux fragments de retables souabes provenant de l'illustre Collection Claer.
Étudiés dans les pages qui suivent, ils sont rejoints par une trentaine d'autres chefs-d'oeuvre, constitués de rondesbosses, d'éléments d'architecture ornés, de fragments de retables ou encore d'objets d'art.
La basilique Saint-Marc est l'écrin parfait qui exprime le mieux la grande vénération de la population vénitienne pour saint Marc l'Évangéliste, dont les restes reposent au coeur de la Sérénissime. Ses précieuses mosaïques témoignent de l'heureuse union de la foi et de l'art, dans un mariage bienvenu entre la culture chrétienne d'Orient et celle de l'Occident.
Ainsi, la basilique Saint-Marc, silencieuse et méconnue, attend qu'on s'arrête et qu'on se mette à feuilleter avec un soin attentif ses grandes pages somptueusement enluminées. Elle ne resplendit pas seulement de l'or de ses mosaïques, mais provoque aussi l'enchantement dans une grande variété d'autres matériaux choisis et modelés par le génie des artistes : voici les pierres sculptées et les bas-reliefs, les incrustations de marbre, les argenteries sacrées, les pierres et les émaux précieux, les tapisseries tissées, les pages enluminées, etc.
La « Bible de Saint-Marc » est donc la basilique elle-même, prise dans son ensemble, qui s'est développée au fil de son histoire quasi millénaire. Son patrimoine historique et artistique ainsi mis en lumière permet de vérifier avec quelle force étonnante les textes sacrés ont été matrice de culture et source authentique d'inspiration, suscitant à la fois stupéfaction et émerveillement.
La basilique de Saint-Marc est l'écrin parfait qui exprime le mieux la grande vénération de la population vénitienne pour saint Marc l'Évangéliste, dont les restes reposent au coeur de la Sérénissime.
Ses précieuses mosaïques témoignent de l'heureuse union de la foi et de l'art, dans un mariage bienvenu entre la culture chrétienne d'Orient et celle de l'Occident.
Ainsi, la basilique Saint-Marc, silencieuse et méconnue, attend qu'on s'arrête et qu'on se mette à feuilleter avec un soin attentif ses grandes pages somptueusement enluminées. Elle ne resplendit pas seulement de l'or de ses mosaïques,mais suscite aussi l'enchantement dans une grande variété d'autres matériaux choisis et modelés par le génie des artistes : voici les pierres sculptées et les bas-reliefs, les incrustations de marbre, les argenteries sacrées, les pierres et les émaux précieux, les tapisseries tissées, les pages enluminées, etc.
La « Bible de Saint-Marc » est donc la basilique elle-même, prise dans son ensemble, qui s'est développé au fil de son histoire quasi millénaire.Son patrimoine historique et artistique ainsi mis en lumière permet de vérifier avec quelle force étonnante les textes sacrés ont été matrice de culture et source authentique d'inspiration artistique, sucitant à la fois stupéfaction et émerveillement.
Frank Horvat et Michel Pastoureau décryptent, visuellement et symboliquement, les sculptures des XIe et XIIe siècles des églises françaises. Les photographies de Frank Horvat nous révèlent le caractère à la fois élémentaire et expressif de ces figures souvent négligées par les archéologues et historiens français.
Pourtant, l'église romane, « temple de l'image » pour Michel Pastoureau, n'est pas dénuée de singularité. Contrairement à l'Antiquité classique, le décor sculpté de fort relief n'est pas incrusté à la forme architecturale, il semble sortir de cette forme dont il constitue le prolongement. Faites de bois, de pierre, d'os ou encore d'ivoire, les sculptures se trouvent aussi bien sur les voûtes que sur les chapiteaux ou les portes.
Outre leur qualité esthétique, ces figures ou images constituent un document historique sur la foi, la vie et l'imaginaire du Moyen Âge.
Une église ordinaire est un édifice qu'on sait être là mais qui ne se remarque pas.
Lieu de culte, éventuellement monument, c'est un point géodésique dans la campagne dont l'horloge électronique égrène les heures. Coquille vide aujourd'hui, l'église était au milieu du XIXe siècle le point d'attraction de toute la société villageoise. En Anjou, l'évèque suscita dans son clergé un zèle tel que le patrimoine religieux du diocèse en fut bouleversé. Le cas de Marans-Sur-Argos est banal ; ce qui l'est moins, c'est le récit de la reconstruction de l'église qu'en fait le curé.
Il rend à ce néogothique, qui a résisté aux bourrasques océaniques, sa charge humaine. L'histoire de l'architecture quitte le domaine étroit de l'histoire de l'art grâce à cette " écriture ordinaire " sauvée de l'oubli.
Un Dieu Créateur armé d'un compas, concevant et fabricant le monde. Un Dieu architecte, géomètre et arpenteur : cette image n'a cessé depuis le Moyen Âge de nourrir l'imaginaire de l'Occident.
Revisitant la Bible, la philosophie antique et les Pères de l'Église, François Boespflug retrace l'histoire de cette représentation. Il fait assister à la naissance discrète, au XIe siècle, du motif artistique, à son épanouissement dans l'enluminure médiévale, à son usage quelque peu répétitif jusqu'à la pré-Renaissance puis à son progressif déclin, en dépit du rôle que la franc-maçonnerie reconnaîtra au Grand Architecte de l'Univers et au symbole du compas.
Un essai flamboyant sur l'histoire d'un motif, aussi passionnant que savant.
La redécouverte, après leur restauration, de fresques du XVe siècle exécutées dans de petites chapelles romanes, constitue la révélation d'un renouveau pastoral. Dans ces lieux reculés, il s'avère que ces premières représentations s'inscrivaient dans un dessein et une perspective liturgique, éducative, mémorielle et spirituelle que ce livre cherche à décrire. La genèse des fresques des chapelles corses apparaît mystérieuse mais elle ne se révèle pas insondable. On peut, par une lecture soutenue des images, y voir le témoignage de l'art chrétien du Moyen Âge. Véritables pensées dans l'image, les fresques dévoilent des réalités spirituelles au-delà du sensible : le Christ en est le principe intérieur qui donne leur sens. Ce livre succède au très bel ouvrage de François-Xavier Ajaccio, « Les plus belles fresques des chapelles romanes corses ». Fruit d'un long travail et d'une réflexion profonde, il nous porte au-delà de la Corse car ce patrimoine est commun à une grande partie du monde.