Dans cet essai philosophique de Christian Thys, où il est question des rapports entre la philosophie et le nazisme, l'auteur cherche à répondre à deux questions fondamentales : tout d'abord dans quelle mesure la philosophie du nazisme, et la philosophie en général ont-elles été amenées à s'influencer mutuellement ? Ensuite, quel substrat a été nécessaire afin que la philosophie du nazisme ait pu émerger au sein d'un pays "civilisé" ? C'est à partir de cette problématique que l'auteur traite la question de l'Allemagne d'un point de vue à la fois historique et philosophique. Cinq questions pour comprendre les liens entre philosophie et nazisme : Christian Thys réussit au cours de cet essai philosophique à définir clairement la problématique, et les enjeux du rapport entre deux concepts que l'on voudrait inconciliables. Parfaitement maîtrisé, l'essai met en valeur le travail de l'école de Francfort, exprime le clivage gauche-droite au sujet du nazisme, recense et synthétise les pensées des différents protagonistes, et pose la querelle des historiens et des philosophes qui en découle.
Avec "Réflexions", Jacques Guerrier, Nîmois de cinquante-six ans, nous livre le fruit de ses considérations sur de grands thèmes de la philosophie et de la psychologie qu'il étudie depuis de nombreuses années.
Au fil des pages, il nous invite à observer, vivre, être.
Une lecture riche et apaisante.
Comment peut-on expliquer le lien fascinant qui existe entre les grandes découvertes scientifiques des siècles derniers et l'évolution des comportements sociaux ? De la question des origines à la problématique du développement durable, en passant par celle de l'ère multimédia, cet essai réalise un tour d'horizon complet de tous ces événements qui ont considérablement marqué leur époque. Un exposé à la thématique pointue, réalisé dans une langue simple, accessible à tous. Le lecteur se voit offrir la possibilité d'enrichir sa culture mais surtout de comprendre comment peu à peu notre monde est devenu ce qu'il est. Car il est bien vrai que « les liens invisibles laissent les marques les plus profondes ». Un essai à la thématique complexe écrit par un enseignant en université qui se situe à mille lieues du cours magistral ennuyeux et hermétique. La science livre ses secrets au lecteur qui entre très vite dans ce fascinant univers où tout se révèle finalement en lien avec tout. Une vulgarisation de qualité grâce à laquelle le brouillard se fait moins dense, pour enfin disparaître totalement.
«?Loin d'être ma muse, elle fut mon souffle de réflexion philosophique. Je la nommerai tout au long de cet essai «ma petite beurette», et vous comprendrez pourquoi. C'est une fille issue d'une grande famille et d'une longue lignée. Lorsque nous nous sommes rencontrés la première fois, elle était à la recherche de son petit. frère, un petit ange blond, enfant philosophe qui voulait changer le monde. Le drame de son existence est de ne l'avoir jamais revu. Elle m'a dit qu'aux dernières nouvelles, il s'était perdu dans le désert comme nombreuses de nos utopies. » À travers ces quarante courts textes, F. Compin nous introduit avec simplicité et bienveillance à une sorte de philosophie sage et tranquille. Porté par la poésie des échanges entre ce professeur et son élève métissée, le lecteur se forge, à mesure que se détermine la relation entre les deux protagonistes, un véritable bagage philosophique constitué d'anecdotes, de paraboles et de situations de la vie de tous les jours. Ici l'écriture confond le réel avec l'imaginaire, l'expérience avec le désir, dans un vertige de mots d'une douceur infinie.
La violence qui caractérise l'histoire de l'humanité doit être mise en rapport avec la nature humaine, l'édification des civilisations, l'historicité des États et la constitution de l'ordre mondial. Comprendre ce phénomène revient tout d'abord à l'inscrire dans les rapports sociaux, politiques, interactionnels et humains. Marqueur des temps et traductrice du monde, la violence recèle l'authenticité d'une société évanescente et d'un monde en déconfiture. Incarnation d'un mode de barbarie transcendantale portant la signification du monde dont les nouveaux totalitaires nihilistes n'ont pas fini d'exprimer le sens. Vision pessimiste ou lecture eschatologique, l'auteur souligne ici la finitude oppressante à laquelle l'homme et la société sont soumis. De ce fait, l'humanisme découle de l'impossibilité de déduire ce monde de cette matérialité qui se structure autour de la violence. Le principe d'existence de l'homme est donc à repenser afin qu'il puisse vivre en harmonie avec Dieu et la nature. La centralité, la prééminence et l'autofondement de l'homme doivent faire place à un triptyque Dieu, homme et nature devant servir de démenti à une herméneutique de la fin. L'idée de l'existence d'une transcendance apporterait ainsi une ontologie et une téléologie ; solution pour vivre sans violence où théologie, sens de la vie et nature créent une trilogie idéale à la paix intérieure et au monde contemporain. Par cet essai politico-philosophique, P. C. Belomo Essono apporte une réflexion nécessaire sur le monde et une herméneutique de la violence et de l'humanisme élaborée et pertinente.
« Il est comme un besoin de se prouver. D'autant que la veille est lointaine. Nous avons, comme émanation de l'instinct de survie, un orgueil très utile mais au-delà du champ de l'utilisation en tant que carburant, quand il est une empreinte sur la personne et non plus sur le chemin, l'orgueil est périssable. L'humilité est un espace entre deux affirmations de l'orgueil. Car la vie se poursuit dans l'improvisation et n'avoir à prouver est une preuve ! » Avec ce nouvel ouvrage philosophique, Élie Gourion communique sa pensée sur la nature humaine et le monde. De la philosophie première à la métaphysique en passant par sa pensée contemporaine qui offre une analyse comportementale et sociétale de l'homme, l'auteur ouvre un dialogue axé sur l'humilité, l'existentialisme et la métaphysique.
« Ici, je propose d'appeler «philosophie de la rigueur» l'esprit souterrain et transversal des différents courants de la philosophie analytique, dont le positivisme logique et l'analyse logique du langage constituent respectivement la doctrine et la méthode/technique opératoire mises au service d'un programme de recherches, cristallisé dans et par le Cercle de Vienne, qui reste historiquement un modèle d'intégration de la recherche, dont les acteurs travaillent dans le cadre d'une équipe inter/pluri/transdisciplinaire composée de mathématiciens, physiciens, philosophes, sociologues (...), en vue de l'élaboration d'une conception scientifique du monde, par l'abolition des propositions/énoncés non doués de sens ou métaphysiques, et préserver le lien entre la rigueur et la philosophie, étant entendu que ces chercheurs croient en la double articulation entre progrès scientifique et progrès sociopolitique : contre l'obscurantisme. » Autour du thème de l'articulation épistémologique entre rigueur et vérité dans le management de la curiosité humaine, la réflexion de l'auteur s'inscrit dans le droit fil du renouvellement du projet analytique : élargissement méthodologique du protocole analytique de quatre soucis épistémiques (clarté, précision, rapprochement du style des sciences et approche par problème) à cinq exigences épistémo-éthiques (clarté, précision, objectivité, universalité et pertinence), et démonstration de l'articulation entre le protocole analytique et la problématique du développement des nations... Critique et force de proposition, ce premier volume pose les bases d'une nouvelle quête de vérité.
« Une vie sans réflexion ne vaut pas la peine d'être vécue », jugeait le Socrate de Platon. Cet apophtegme, José Voss l'a fait sien, lui qui, durant plus d'un demi-siècle, a consigné ses idées et - on ne pense jamais seul - celles des autres. oeuvre d'un diariste philosophe, Graffiti est un recueil de pensées, lesquelles, ordonnées sur la flèche du temps, confèrent à l'ensemble une allure autobiographique. En optant pour le chronologique, l'auteur trace, en effet, un chemin bien à lui, entre philosophie et vie, citations remarquables et réflexions personnelles, développements philosophiques et descriptions factuelles, alternant aphorismes et boutades, mêlant allègrement le subjectif et l'objectif, le subtil et le futile, l'universel et l'individuel, et ce sans jamais se départir d'une lucidité à toute épreuve. Plus essentielle est la mise en perspective historique, qui permet de retracer, à la faveur de « tags » ou « graffiti » s'échelonnant sur la durée d'une existence, un cheminement idéel sui generis, un itinéraire spirituel personnel. C'est donc bel et bien d'une évolution intellectuelle, d'un parcours existentiel qu'il s'agit, où l'orientation résulte moins d'un but poursuivi que de la succession temporelle d'étapes toutes minutieusement datées. Et si le tragique par excellence qu'est la mort occupe une place de choix dans la réflexion de José Voss, au point d'en constituer quelque chose comme un leitmotiv, cela ne signifie pas pour autant que, pour l'auteur, la vie ne vaut pas la peine d'être vécue. La pensée de la mort, n'en déplaise à Spinoza, est une raison d'aimer davantage la vie.
« Avant, pendant et après l'effort de la psyché pour fabriquer une pensée, se trouve l'émoi. Et nous avons officialisé que penser revient à exprimer, si ce n'est un sentiment, ce sera au moins un ressenti, propre à nous, certes, mais qu'on se doit d'universaliser. Car à n'être que la projection du monde sensible, toute morale y inscrira le plus élémentaire émoi. » Comment la pensée, la mémoire et la conscience se perçoivent-elles ? La psyché est-elle l'expression d'un sentiment, d'une action consciente réfléchie ou d'une action consciente spontanée ? Élie Gourion, dans cet essai philosophique, nous aide à mieux appréhender les mécanismes de ces phénomènes abstraits. Tantôt sceptique, tantôt critique, mais toujours doté d'un esprit didactique, il réalise une étude sur le fonctionnement de la pensée dans son processus de réalisation.
Face à la progression des maladies chroniques et leur dimension éco-bio-psycho-sociale, l'éducation thérapeutique se développe. Mais quel est l'intérêt de l'éducation pour réduire les difficultés du malade chronique à passer d'un écosystème hostile à un écho-système bienveillant ? L'éducation du patient aide-t-elle le patient à mieux vivre avec sa maladie chronique, ou n'est-elle qu'un moyen d'emprise sur le malade ? Que nous révèle cette pratique de soins sur la médecine dont le développement scientifique a permis de formidables progrès thérapeutiques ? Quelle est la place de la pédagogie dans la démarche éducative du patient ? Quelles réflexions éthiques permettent-elles à l'éducation du patient d'être thérapeutique ? La réflexion philosophique en abordant nos rapports avec les normes permet à tous les professionnels de santé et à tous les patients qui ont vocation à être leurs partenaires d'éclairer ce nouveau monde pathologique que les malades chroniques découvrent et partagent lors de ce troisième type de naissance que représente la découverte d'une maladie chronique. Entre normalisation et normativité, l'éducation thérapeutique doit-elle choisir ?
« La «matière», en tant qu'elle «est devenue», a été devenir et n'est plus, mais toute matière n'est pas entièrement devenue ni en devenir. Que peut-on espérer de cette matière sinon qu'elle devienne et soit devenir sans être devenant exclusivement pour un système clos ? Tout devenir passe par l'étant et tout l'être devient dans l'étant. Quel prédicable peut-on donc dire de ce qui est ni devenu ni devenir, sinon le fait d'être ? Et quoi espérer du fait d'être sinon qu'il soit seulement «étant» ? L'étant est «ce qui devient» ; quant à l'être et au devenir ou alors, il n'est rien de l'être ni du devenir et c'est ce qu'on cherche à partager par ce texte. » Sujet majeur de la philosophie, le temps s'ausculte, via la pensée de David Simard, de manière intense et vertigineuse, conduisant à des ramifications et remises en cause insoupçonnées. L'auteur compose ainsi avec Devenir et Immobile un essai à la fois resserré et profond, qui frappe par son style quasi ascétique et direct.
Toujours plus impertinent, toujours plus libre, Élie Gourion proclame, au fil de ce recueil d'aphorismes, son amour de la vie et sa joie d'être... tout simplement. Deux axes d'écritures qui en font un penseur jouisseur, très souvent amusé par ces obsessions et travers qui minent le quotidien des autres et les empêchent d'avancer. Traversé ainsi par une véritable vision de l'existence, cet opus, qui fait de la philosophie une discipline rieuse et joueuse de mots, a ce don rare de nous amener à faire retour sur nous-mêmes.
« De nos jours, la mode est à la déconstruction tous azimuts, à un travail de sape qui n'épargne rien, pas même le sens. "Il faut faire comme si l'on reconnaissait un sens à l'existence, tout en sachant qu'elle n'en a pas", peut-on lire sous la plume de Claude Lévi-Strauss. Als ob, dit la langue allemande. Faire comme si on savait ce que nous faisons sur Terre. Agir en faisant comme si notre vie avait un sens, de telle manière qu'ainsi nous lui en donnions un. Pas de transcendance créatrice de sens. Dans La Pensée sauvage (IX), l'anthropologue note qu'il n'y a pas de sens du sens, et que le sens qu'on trouve "n'est jamais le bon". [...] Alors, le sens ne serait-il qu'une illusion ? Non pas, à condition de ne pas l'hypostasier en croyant qu'il est notre oeuvre, qu'il existe en nous. » C'est-à-dire, ou la question du sens. Celui du monde et de nos perceptions. Langage, écologie, capitalisme, démocratie, progrès... Suite officieuse de Graffiti - départie de sa chronologie - ce nouveau kaléidoscope de pensées entremêle théories d'auteurs, réflexions factuelles et envolées subjectives pour mieux appréhender notre place dans l'univers. Pertinent et accessible, riche et d'actualité, l'ouvrage de José Voss est l'introduction parfaite à la philosophie, celle-là même qui fait sens.
Que l'on ne s'y trompe pas : en choisissant de se confronter aux derniers sujets de philosophie tombés au baccalauréat, Élie Gourion ne s'impose pas un cadre de réflexion et ne verse pas dans la dissertation scolaire. Ces efforts de réflexion auxquels l'auteur s'astreint n'entravent en effet jamais, tant sur le fond que sur la forme, cette liberté cultivée notamment par l'écriture d'aphorismes. Ainsi, qu'il pense l'art, la politique, la raison, la culture ou encore le bonheur, cet autodidacte assumé et fier de l'être laisse bouillonner et éclater ses pensées au fil de textes étonnants, qui forment autant d'invitations au débat.
Nulle part au monde, l'idéal républicain ne va sans distorsions de formes et de niveaux, de gravité variable et diverse. Aujourd'hui, ces distorsions apparaissent comme des baromètres lorsqu'il s'agit de différencier démocratie, oligarchie et ploutocratie. Cet ouvrage s'intéresse particulièrement aux raisons qui poussent les acteurs sociopolitiques à tordre facilement le cou à l'idéal républicain dont l'Afrique francophone se réclame pourtant. Après un bilan peu flatteur des républiques dans cette partie de l'Afrique, l'auteur montre que ses cultures politiques compromettent non seulement la liberté comme non domination, mais aussi la réalisation de l'autogouvernement en ce sens qu'elles favorisent l'hétéronomie et l'autoritarisme. Pour y remédier, il suggère la nécessité d'une nouvelle philosophie de la république, moyen efficace pour favoriser l'éclosion d'un citoyen nouveau, à même d'engendrer une société africaine plus démocratique.
À en croire Péguy, l'ordre seul fait en définitive la liberté, et le désordre la servitude. Ce chiasme réapproprié en désordre-liberté, en ordre-servitude et vice versa pose d'une part le problème de la conciliation des deux exigences apparemment contradictoires, antinomiques et, d'autre part, semble interpeller au premier chef la philosophie politique. Pourtant, tout est entrecroisé ; l'ordre pensé à la fois comme finalisé et comme structure stable ou récurrente, et le désordre comme absence d'un dessein intelligent, ouvrent à une complexité qui enjoint politique, éthique, esthétique et épistémologie à la quête de sens. Repenser le désordre et la liberté, c'est engager le penser philosophique dans des notions profondément mêlées et complémentaires, dont leur combinaison, dans un jeu de contingence et de nécessité, produit la diversité du monde matériel et axiologique que nous connaissons. Face à cette homothétie entre les conceptions du désordre et de la liberté, l'ordre finalisé, nécessaire et contingent ne se constituera pas à l'encontre du désordre, mais avec lui. La liberté s'établira non en triomphant de la servitude, mais en se servant de celle-ci.
« Pourquoi ne parle-t-on pas davantage des maximes et des réflexions morales du marquis de Sade ? Tout le monde a lu, ou connaît les Maximes de La Rochefoucauld, mais Sade conjurerait plutôt des visions de soufre ou d'enfer, alors que son oeuvre abonde cependant en maximes et en réflexions morales de haute valeur. Il n'est guère de chapitre, parfois même de page, où l'un ou l'autre de ses libertins n'y aille de la sienne, et leurs actions, même les plus atroces, sont toujours expliquées dans le contexte d'une maxime ou d'une réflexion morale. Il paraîtra donc utile autant pour le curieux que pour l'étudiant d'en publier une sélection de manière à illustrer comment le sulfureux marquis se recommande aussi à la postérité par des maximes et des réflexions de valeur morale trop souvent ignorées. » Huit oeuvres du célèbre libertin polémiste passées au crible pour en souligner la portée philosophique et morale : les néophytes seront surpris du paradoxe, les connaisseurs salueront cette mise en lumière de l'auteur le plus sulfureux de l'histoire, rapproché ici de La Rochefoucauld et Voltaire. Spécialiste éclairé, Norbert Sclippa vient prouver dans ce formidable travail de recherche l'essence du projet sadien, propédeutique et thérapeutique à la fois : développer la connaissance du coeur humain en créant une sorte de « contre-feu éthique » pour combattre le mal par le mal.
« Vous dites philosophie contemporaine ? D'accord. Mais, par où commencer ? Je crois qu'il est insensé, certainement imprudent, de parler de philosophie contemporaine sans préalablement la replacer dans l'ensemble de l'histoire de la philosophie qui la précède et dont elle n'est, en réalité, qu'un maillon de la chaîne. » Philosopher, n'est-ce pas oser entrer dans une certaine tradition de pensées qui nous précède et dont nous ne sommes que des héritiers ? Connaître cette tradition, son mode de fonctionnement, sa logique interne, son style de jeu, et donc l'histoire de la philosophie ne devient-il pas, dans ces conditions, une nécessité impérieuse ? Et comment connaître et comprendre cette tradition, si personne ne nous l'interprète, ne nous la raconte et ne nous la reconstruit ? Voilà toute l'importance de cette modeste contribution à la connaissance de l'Histoire de la philosophie contemporaine. Dans cet ouvrage richement documenté et accessible à tous, Dessinga passe en revue les grands courants, écoles et figures philosophiques de la période qui va de la mort de Hegel (1831) à celle de Paul Ricoeur (2005). À présent, laissons-nous instruire par ces hommes et femmes qui ont été les témoins oculaires de leur temps car ils ont une histoire à nous raconter et des trésors cachés à nous confier.
« Bon nombre d'entre nous se demande ce qu'est le but de la vie. Les réponses apportées varient de personnes à d'autres. Cette question est par contre fondamentale, et il serait bien que nous ayons une réponse définitive, unanime, indéniable. » Qui ne s'est jamais demandé quel était le but de la vie ? Sujet vaste et complexe qui n'a pourtant pas effrayé Dimitri Duval. Rationnelle et rigoureuse, l'approche de l'auteur nous sensibilise sur l'importance de nos vies : une prise de conscience nécessaire. D. Duval dresse une analyse complète, sans hermétisme ni sensationnalisme, de laquelle nous ressortions bouleversés. Plus qu'une expérience de lecture, une leçon de vie.