S.O.S. Titanic ; journal de Julia Facchini, 1912

À propos

«15 avril 1912, 2 h 20 du matin.Je suis sur le pont avec d'autres passagers qui, comme moi, s'efforcent de ne pas gêner l'équipage. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave et tendu; une femme prie à voix basse. Nous marchons à pleine vitesse. Qui aurait cru que le Carpathia pouvait aller si vite? Le capitaine a posté des vigies à l'avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille:la mer est plate comme un lac, les étoiles brillent avec intensité dans le ciel noir. Il fait de plus en plus froid. Comment imaginer qu'à quelques milles d'ici un navire aussi énorme soit en perdition?»

Rayons : Jeunesse > Littérature Enfants > Romans

  • Auteur(s)

    Christine Féret-Fleury

  • Éditeur

    Gallimard-jeunesse

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    07/01/2016

  • Collection

    Folio Junior

  • EAN

    9782070560066

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    144 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    12.4 cm

  • Épaisseur

    0.9 cm

  • Poids

    108 g

  • Lectorat

    à partir de 10 ANS

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Christine Féret-Fleury

Christine Féret-Fleury est l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages pour la jeunesse, mais aussi de romans pour les adultes et d'anthologies. Dans la collection Mon Histoire, elle a publié SOS Titanic. " L'époque de la Commune, si proche et si lointaine à la fois de la nôtre, a été l'occasion pour moi de découvertes passionnantes. Les photographies prises de Paris en 1870-1871 sont particulièrement émouvantes car elles nous restituent un passé souvent réduit à quelques lignes dans les manuels d'histoire... Je tiens à remercier Marc Séassau, qui m'a indiqué des sites où consulter d'anciens plans de la capitale et m'a prêté un ouvrage essentiel, Paris, ses organes, ses fonctions et sa vie, de Maxime Du Camp. Dans un ancien " livre de prix " trouvé dans la bibliothèque de ma grand-mère, Paris sous les obus, j'ai déniché des anecdotes intéressantes, notamment celle du " traître " dont le couteau sentait l'oignon ! Enfin, plusieurs phrases attribuées à Louise Michel dans ce roman sont directement tirées de ses Mémoires (La Commune, histoire et souvenirs). "

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