Paris au XXe siècle

À propos

Paris, 1960 : une métropole splendide, étincelante d'électricité, reliée à la mer par un gigantesque canal, sillonnée d'autos et de métros silencieux... Tel est le monde fascinant qu'ont forgé, conjuguant leurs efforts, la Finance et la Technique. Pourtant, cet avenir radieux a son envers. Seuls quelques marginaux, méprisés, bientôt vaincus par la misère et la faim, persistent dans le culte de l'Art et de la Poésie, tandis qu'un état omniprésent organise la distribution du savoir scientifique...
Composé avant les « Voyages extraordinaires », refusé par l'éditeur Hetzel, ce roman aura attendu cent trente ans avant de revoir le jour. Surprenant par la pertinence de son information scientifique, il vaut aussi et surtout par l'acuité de son analyse des intrications de l'économie, de la technique et de la politique. Une vision ambiguë qui fait justice de l'image d'un Jules Verne chantre béat du Progrès. Et d'abord un roman prenant, coloré, où le grandiose se teinte volontiers d'un humour des plus sombres...


Rayons : Littérature > Œuvres classiques


  • Auteur(s)

    Jules Verne

  • Éditeur

    Le Livre de Poche

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    10/04/1996

  • Collection

    Classiques

  • EAN

    9782253139416

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    192 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    1.5 cm

  • Poids

    120 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Jules Verne

Jules Verne, né le 8 février 1828 à Nantes, mort le 24 mars 1905 à Amiens, est un écrivain français dont une grande partie de l'oeuvre est consacrée à des romans d'aventures et de science-fiction (appelés du temps de Jules Verne romans d'anticipation). L'année 2005 a été déclarée «Année Jules Verne», à l'occasion du centenaire de la mort de l'auteur. La légende affirme qu'en 1839, à l'âge de 11 ans, le petit Jules se serait embarqué sur un long courrier à destination des Indes, en qualité de mousse. Son père l'aurait alors récupéré inextremis à Paimboeuf. On dit que Jules Verne aurait avoué qu'il était parti pour rapporter un collier de corail à sa cousine, Caroline Tronson, dont il était amoureux. Rudement tancé par son père, il aurait promis de ne plus voyager qu'en rêve.

empty