Peut-être pas immortelle

À propos

Frédéric Boyer a écrit les trois poèmes qui composent ce livre après la mort tra- gique de sa compagne, l'été dernier.
Le premier, qui donne son titre au livre, et se construit autour de la lettre A, initiale du prénom de la morte, est une invocation, tout autant qu'une évocation, un texte pour dire la douleur, la stupéfaction, l'incompréhension.
Le deuxième est « Une Lettre » à celle qui a disparu, une lamentation et une interro- gation.
Le troisième, qui s'intitule « Les Vies », élargit l'interrogation sur la mort, qui sous- tend le livre entier, aux autres vies dans laquelle s'insérait celle qui n'est plus.
Ces trois poèmes font ensemble plus qu'un livre de deuil. On y voit passer une ombre qui fut vivante, on y voit de la vie, plus forte que la mort.


Rayons : Littérature > Poésie


  • Auteur(s)

    Frédéric Boyer

  • Éditeur

    P.O.L.

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    05/04/2018

  • Collection

    Fiction

  • EAN

    9782818045657

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    92 Pages

  • Longueur

    16.5 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    0.8 cm

  • Poids

    78 g

  • Diffuseur

    CDE - Centre de Diffusion de l'Edition

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Frédéric Boyer

Écrivain, traducteur et éditeur, Frédéric Boyer (né en 1961 à Cannes) est l'auteur d'une trentaine de livres, romans, essais, poèmes et traductions, tous publiés aux éditions P.O.L. Son ?uvre associe l'écriture personnelle et la relecture et traduction de grands textes anciens. Prix du Livre Inter en 1993 pour son roman Des choses idiotes et douces, prix Jules Janin de l'Académie française pour sa nouvelle traduction des Confessions de Saint Augustin (Les Aveux, 2008), iIl a dirigé le chantier de la nouvelle traduction de la Bible, avec de nombreux écrivains contemporains (Olivier Cadiot, Jean Echenoz, Florence Delay, Jacques Roubaud, Valère Novarina...), parue en 2001 (éditions Bayard).
En 2010, sa nouvelle traduction de Richard II de W. Shakespeare (P.O.L, 2010) est montée par Jean-Baptiste Sastre, avec Denis Podalydès, dans la Cour d'honneur du Palais des papes au festival d'Avignon. Où il fait lui-même ses premiers pas de comédien.
En 2012, création au Théâtre de Lorient et au Centre dramatique de Châteauvallon de sa première pièce : Phèdre les oiseaux (P.O.L, 2012), avec la comédienne Hiam Abbass.

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